Tout d'abord, un grand merci à toi, Lery.
Lery wrote:Proposition : "Robot ouvrière travaillant sur un(le?) site de démolition/désassemblage"
J'ai traduit par chantier dans l'histoire (c'est le terme qui revenait dans la version anglaise). Mais en l'espèce, à bien y réfléchir, on dirait plus une décharge qu'autre chose, j'hésite même à changer le terme maintenant, mais, le terme utilisé dans la VA est vraiment "chantier" (construction site). Peut-être est-ce une partie d'un chantier s'occupant de collecter et transporter les déchets issus du chantier lui-même ? Après, par souci de continuité, il est peut-être préférable de garder "chantier" ici (je crois avoir employé chantier de désassemblage à un moment, mais j'ai pas l'impression que ça existe). Je verrai à l'édition. La page est déjà prête de toute façon, il manque juste les textes.
Lery wrote:En revanche, il n'y clairement pas comparaison avec Lilith (pas de "comme" donc).C'est vraiment insistant sur le "Lilith et lui ensemble" à cause du "と共に".
Moi, ce qui me gêne le plus ici, c'est que c'est faux hahaha. Lilith n'a jamais été robot militaire, ou en tout cas, il n'en a jamais été mention dans le récit (une erreur de l'illustrateur peut-être ?). J'ai retrouvé un passage dans le chapitre "Jour 78" :
Cinq ans auparavant, Lilith avait été achetée par la prestigieuse famille Sunlight. Comme ils n’arrivaient pas à avoir d’enfant, ils avaient adopté un jeune robot à la place.
Au début, Lilith vivait une vie heureuse là-bas, avec l’amour de ses « parents ». Ils lui achetaient des vêtements, jouaient avec elle, la traitaient comme si elle était de leur chair et de leur sang. Le large panel d’expressions qu’elle possède prouve que ses parents avaient dépensé sans compter pour elle.
La situation changea deux ans après son arrivée. Ses parents avaient fini par avoir un enfant. Bien que Lilith fût dans un premier temps ravie de la naissance de sa petite soeur, les choses n’étaient pas si simples.
Les parents de Lilith l’abandonnèrent.
L’incident arriva du jour au lendemain. Un jour, des recycleurs de robots entrèrent dans la maison sans crier gare, et la tirèrent presque de force dehors. Ses parents n’avaient même pas assisté à son départ.
Peu après, elle fut vendue une fois encore en tant que « robot d’occasion ». Elle travailla dans un premier temps comme serveuse dans un restaurant, avant d’être vendue à une société de BTP, et de se retrouver sur ce chantier. Même si elle avait l’air fragile, ses batteries étaient d’une immense capacité, et elle pouvait porter de lourdes charges, ce qui explique qu’elle ait pu tenir le coup jusqu’ici.
Bon, après, c'est pas bien grave, ta phrase me convient, sachant qu'il est difficile de l'adapter, puisqu'elle est fausse intrinsèquement.