Difference between revisions of "Takarakuji de 40-oku Atattandakedo Isekai ni Ijuu Suru: Tome 01 Chapitre 02 – At The Village, Part 1"

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Chapitre 2 [Au Village, Partie 1][edit]


“C'est incroyable, je me demande comment ça marche.”, murmura Kazura, avec un côté de son visage dans la pièce de tatami et l'autre côté dans le passage en pierre.


Et à propos, il avait étalé une bâche dans la pièce adjacent le passage afin de pouvoir marcher avec ses chaussures.

Ce qui pouvait être vus avec les yeux de Kazura était une étrange scène, avec un passage en pierre dans l'œil gauche et pièce de tatami dans l'œil droit.

Il s'amusa de cette nouvelle sensation pendant un moment, mais son cerveau devint confus et cela lui donna la nausée, il décida donc d'aller dans le passage.


“Je me demande ce qu'il y a l'intérieur. C'est vraiment brillant par contre.”


Regardant dans le passage, il y avait, à environ 30 mètres, un virage dans le chemin. Une brillante lumière s'en dégageait alors c'était bien visible.

Le passage en lui-même était vivement éclairé par une sorte de mousse lumineuse.


“Je suis assez sûr que la mousse lumineuse[1] est une espèce protégée, devrais-je contacter le gouvernement?”, pensa Kazura alors qu'il marchait vers la lumière. Alors qu'il tourna dans un coin, il vit une étrange chose.

“Hm? Qu'est-ce que…. Guh!”


En regardant de plus près, il semblerait que ce soit un squelette humain portant des vêtement japonais érodés et en lambeaux.

Takarakuji (02).png


“Tu te moques de moi j'espère… à qui appartiennent ces os. En fait, les os sont décolorés et les vêtements sont en lambeaux, ça doit faire un bon bout de temps.”


Il recula d'un pas du squelette, en se plaignant “Et moi qui pensait avoir enfin trouvé un endroit tranquille, en fin de compte il faut que j'appelle la police.” et en prenant son téléphone pour appeler la police.


“Hein? Je n'ai pas de réseau?”


Quand il arriva à la résidence, il était sûr que son indicateur de signal affichait trois barres, cependant, il n'y avait curieusement plus de réseau.

Il pensa que c'était peut-être parce qu'il était dans ce passage, il essaye donc de tourner dans le virage pour aller dehors. Alors qu'il tourna au coin, il y avait un petit bois et il fut immédiatement dehors.

Il vérifia le signal de son téléphone à nouveau, mais il affichait toujours l'indicateur hors de portée.


“C'est bizarre, pourquoi est-ce que je n'ai pas de réseau.”


Kazura pencha sa tête pleine de doutes, et essayant de trouver un endroit où il y aurait du réseau, il chercha les alentours pour trouver où est-ce qu'il avait garé sa voiture.


“….. où est ma voiture. Au fait, où est la maison. En y repensant, il n'y avait pas de bois aux alentours de la maison, juste une forêt de bambou.”


Avec son téléphone en main, Kazura regarda les alentours mais ne vit rien à part le passage de pierre et le bosquet.

De l'intérieur de la maison jusqu'ici, Kazura n'avait bougé que de 50 mètres tout au plus.

En y pensant rationnellement, il était impossible que le paysage change autant en allant si peu loin.


“…est-ce qu'il se peut que…”, murmura Kazura avec un visage sérieux et retourna vers le passage en courant.


Sur le chemin il salua le squelette “désolé, je ne fais que passer.”


“……. C'est bien ce que je pensais.”


Il retourna dans la pièce de tatami et vérifia l'indicateur de signal à nouveau, il montrait fièrement trois barres.


“Maintenant, je suis sûr que cette porte connecté à quelque part de très loin. Pas étonnant qu'on y a mis un cadenas et que ça été scellé.”


Comprenant ce fait après un moment, son esprit se remplit d'excitation, “c'est un incroyable phénomène surnaturel!”, et il alla chercher son sac de voyage qu'il avait laissé à l'entrée et traversa à nouveau le seuil vers le bois.

Son salut pour le squelette de côté, il alla satisfaire son esprit d'aventurier.


“En parlant de phénomène surnaturel à travers le monde, j'en ai entendu parler d'un où on allait instantanément d'un bout de l'Amérique jusqu'à l'autre bout. Il est possible que celui-ci aille quelque part en dehors du Japon.”


Mettant une marque avec une pierre sur l'arbre d'où il arrivait, afin de ne pas se perdre, Kazura marcha, et après 5 minutes le bosquet donna place à des terres agricoles.

Au delà des champs, il y avaient des bâtiments en bois simples et quelconques, apparaissait comme une sorte de village, on pouvait aussi y voir quelques villageois travailler les champs.


“Oooh, premier village aperçu. …. D'après les cheveux blonds, je suppose que c'est soit l'Europe ou l'Amérique.”


Les mots “immigrant clandestin” apparurent instantanément dans l'esprit de Kazura, mais il était optimiste et pensait qu'il ne serait pas découvert très vite s'il se faisait passer pour un touriste.

Et lorsque Kazura était sur le point de prendre une photo avec sa caméra, un villageois semblait l'avoir remarqué et regarda dans sa direction tout en disant quelque chose aux villageois à ses côtés.

Parce que Kazura pensa que ça causerait beaucoup de problèmes s'ils venaient à penser qu'il était quelqu'un de suspect, il décida de prendre l'initiative et de leur parler avant qu'ils ne le rapportent à quelqu'un.

Tenant un sac de voyage, c'est vrai qu'il ressemblait à un touriste.


“Hello-! I'm a tourist! I'm Japanese!”


Kazura fit un sourire et les salua de la main tandis qu'il marchait sur le chemin entre les champs et se dirigeai vers eux. Le petit homme blond, et étrangement maigre, était en train de dire quelque chose aux autres…


“Hein? C'était quoi ça!?”


… répondit dans un japonais parfait.

La main avec laquelle Kazura les saluait tomba comme si elle avait fané.


“Bordel…. je pensais que c'était un pays étranger mais il s'avéra que c'est un village d'étrangers comme le village Néerlandais à Nagasaki ou le village Américain à Aomori”, dit-il d'un air découragé, même s'il était assez soulagé de savoir qu'il était encore au Japon.

“Je suis venu ici pour visiter. Je me demandais où se trouve la station la plus proche?”


Il marcha vers les villageois et leur parla, essayant de confirmer sa localisation. Le villageois qui venait de répondre sembla troublé et échangea des regards avec les autres villageois, cependant tous les autres villageois semblaient troublés eux-aussi.


“Umm, nous ne comprenons pas vraiment ce que vous dîtes, mais…. seriez-vous un messager de Narson-sama [2]?”

“Hein?”


Cette fois-ci, c'est Kazura qui fut rendu perplexe par la réponse de l'homme .

Il ne comprit pas pourquoi les villageois dire “de quoi est-ce que vous parlez” quand il demanda à propos des stations.

Au fait, juste qui était ce “Narson-sama”.


“Aah, j'étais en train de chercher une station où je pourrais prendre le train….” [3]

“….. Nos plus plates excuses. Nous ne comprenons vraiment pas de quoi vos parlez.”


Entendant les mots quelques peu crispés de l'homme, Kazura croisa les bras et grogna, “Humm…”

Il pensa que les mots “station de train” n'était pas dans leur vocabulaire, donc il utilisa immédiatement le peu de macaronique[4] qu'il connaissait, mais il semblerait qu'ils ne comprirent pas l'idée.

En fait, partant de fait qu'ils pouvaient parler un japonais si fluide, il était impossible qu'ils ne connaissaient pas le mot “station”.

“(…. leur réaction était comme s'ils avaient entendu le mot “station” lui-même pour la première fois.)”

Le moment où cette pensée entra dans son esprit, Kazura fut déconcerté et leva son visage, il examina ses alentours à nouveau.

Ce qu'il y vit n'était que des maisons trop simples en bois, sans étages, avec quelque chose qui ressemblait à de la paille en guise de toit, on ne pouvait pas vraiment appeler ça une maison, même pas en tant que compliment.

Aussi, ce que portaient les villageois en face de lui, même s'il ne savait pas en quoi est-ce que c'était fait, c'était simple et grossièrement cousu.

En regardant les champs, les houes laissés avaient des manches et des lames en bois, et ne semblaient pas du tout facile à utiliser.

Ensuite, les villageois ayant parlé à Kazura étaient très maigres, et montraient clairement des signes de malnutrition.

“(Est-ce que c'est vraiment le Japon? Est-ce que ce ne serait carrément pas un autre monde?)”

Il y avait aussi le cadenas qui avait disparu devant ses yeux, et la porte où l'espace changeait juste en la traversant.

Il est tout à fait possible que cet endroit soit un monde complètement différent.

Kazura pensa que même s'ils étaient en train de jouer la comédie et de se moquer de lui, il décida “d'interagir avec eux comme s'ils n'étaient pas en train de jouer.”


“Ah, désolé. Mon dialecte local est ressorti. Je suis un marchant ambulant, mon nom est Kazura. J'étais en train de chercher un endroit où passer la nuit.”


Kazura déplia ses bras et afficha un sourire commerçant, il trouva une excuse sans problèmes.

Vraisemblablement, ce monde…. ou du moins cet endroit, avait un faible niveau de culture.

Il devrait pouvoir se faire passer pour un marchand, juste en utilisant son sac de voyage dans sa main droite.


“Un marchand vous-dîtes? Jusque maintenant il n'y a jamais eu de marchand venant dans notre village, mais….”

“Ah vraiment. Je me suis perdu sur le chemin et je suis soudainement arrivé sur ce village, donc je suis le premier marchand à jamais venir ici. Même si ce n'est qu'une coïncidence, sachez que c'est un honneur.”


Kazura montra un sourire amicale, et l'homme et le reste des villageois se détendirent.

Ils ont probablement pensé que Kazura était un servant, ou quelque chose du même genre, de ce gros bonnet local Narson.


“En symbole de notre nouvelle connaissance, j'aimerais donner une part de mes marchandises à ce village. Pourquoi pas du sel, ou peut-être quelques médicaments pour soulager la douleur?”

“Hein, du sel?…. Du sel vous-dîtes!? Et des médicaments!?”


Voyant la surprise de l'homme, Kazura ricana intérieurement.


“Oui, du sel et des médicaments. Comme symbole d'amitié, je vous en donnerais, ça ne sera qu'un peu par contre.”, il souria.


Si Kazura s'en souvenait bien, dans les temps anciens, juste en disant du sel et des médicaments ils comprennent à quels points ces choses sont de grandes valeurs.

Le sel de côté, pour les roturier devant lui, les médicaments sont des choses qu'ils ne pourront jamais mettre la main dessus.


“At-Attendez pendant que j'appelle le chef du village…. Non, je vais vous emmener à sa résidence, veuillez me suivre s'il-vous-plaît.”


Kazura, tout en souriant, dit “d'accord” à l'homme confus qui l'avait invité, tout en murmurant “hell yeah!” à l'intérieur.

Ensuite, s'il pouvait faire bonne impression sur le chef du village, il pourrait utiliser ce village comme base pour explorer ce nouveau monde.

Après avoir marché pendant 10 minutes, suivant l'homme à travers le village, il arriva devant une maison semblant plus robuste que les autres.

L'homme dit à Kazura, “Veuillez attendre un moment s'il-vous-plaît”, et toqua fortement sur la coulissante de la maison.


“Valletta-san, c'est Roselou![5] J'ai amené un marchand ambulant avec moi! Il dit qu'il va nous donner du sel et des médicaments!”


L'homme qui avait ramené Kazura semblait s'appeler Roselou — attendit après toqué à la porte.

Après 10 secondes, la porte s'ouvrit, et une maigre jeune fille sortit.


“Ah, Roselou-san…. j'ai cru t'entendre parler de médicament…”


Il y avait de grosses cernes sus les yeux de la fille, et ses membres étaient aussi fins qu'un bâton.

Peu importe où on la regardais, on pouvait dire, sans honte, qu'elle était l'image même de la malnutrition et du surmenage.

Couplée c'est sa stature qui faisait une tête de moins que Kazura, qui faisait 1 mètre 70, elle donnait une impression fugace.

Les cheveux blonds de la fille, lui arrivant jusqu'aux épaules, étaient attachés en queue de cheval, mais à cause de la malnutrition ils manquaient d'hydratation et semblaient secs.

“(Si elle prenait un bon repos et une bonne alimentation, elle serait vraiment mignonne.)”

Malgré sa maigreur dû à la malnutrition, d'après le jugement de Kazura, elle avait des traits que l'on compte comme mignon.

En mettant de côté Kazura, qui était absorbé par l'impression qu'il avait de la fille, très excité, Roselou commença à parler.


“Oui! Avec les médicaments de Kazura-san nous pourrons soigner la maladie du chef!”

“Eh, est-ce que c'est vrai!? La vie de mon père peut être sauvée!? Merci infiniment!”


Entendant le mot “médicament”, le visage fatiguée de la fille, Valletta, s'illumina, et en regardant Kazura inclina sa tête avec des larmes dans ses yeux.”


“Eh? A-Attendez une minute. Est-ce que votre père est malade?”


Au vue du fil de la conversation, Kazura allait être le sauveur du père la fille devant lui.

Si c'est juste des médicaments pour un rhume ou l'estomac il en avait sur lui mais, s'il avait une tuberculose ou un cancer il n'y avait que peu de choses qu'il pourrait faire.


“Oui, il a été confiné dans son lit depuis 5 jours, il a eu une très forte fièvre durant tout ce temps, je voulais le nourrir mais nous n'avons pas de nourriture correcte…. Si on avait de l'argent on aurait appelé un docteur, mais les gens comme nous n'en que très peu… J'étais, sur le point d'abandonner.”


Il semblerait que son père ait une maladie grave.

Ils ont, d'une manière ou d'une autre, pensé que les médicaments que Kazura allait leur donner pourrait soigner la maladie du chef.

Il n'avait pourtant jamais dit qu'elle genre de médicaments il avait.

“(C'est vrai que j'ai médicaments, mais ce sont juste des antiacides et quelques antidouleurs que le docteur m'a prescrit, oh, et aussi un peu de Lipo-D[6].)”

En se souvenant de quels genres de médicaments il avait dans son sac, l'humeur de Kazura devint sombre.

Dans le pire cas, si la maladie du chef se trouva être une sorte de maladie incurable, les médicaments qu'il avait apporté ne serviront à rien, et puisqu'il n'était pas un professionnel du domaine médical, Kazura ne pensa pas pouvoir donner un bon diagnostique.

Il pensa qu'il y aurait peut être des villageois qui se seraient blessés les jambes en travaillant trop dans les champs, et que puisqu'il avait des antidouleurs il pourrait leur en donner, mais c'était trop naïf de sa part.


“Je ne sais pas si le médicament marchera ou pas, cependant, puis-je aller voir l'état du chef pour l'instant?”

“Oui, s'il-vous-plaît!”


Voyant Valletta s'incliner envers lui si vigoureusement, Kazura pria “s'il-vous-plaît, faites que ce soit un mal de dos ou un problème de malnutrition”, et entra dans la résidence, guidé par Valletta.


“Père, cet homme a des médicaments! Tout ira bien maintenant!”

“Chef! Tout va s'arranger!”

“Uu…., mé… dicament…?”


“(….. hee ….)”

Il rentra et le moment où il vit le père de Valletta, Kazura pensa qu'il devrait clairement plutôt leur apporter des cadeaux de condoléances.


“Comment va t-il, Kazura-san? Est-ce que père peut être soigné?”


Tout en tenant la main de son père, elle leva le regard, les yeux en larmes, sur Kazura qui était debout.

“Il y a t-il une maison funèbre aux alentours?”, Kazura pensa l'imprononçable, mais pour le moment il s'assit à côté du père de Valletta et regarda son état.


“Whoa, c'est une fièvre terrible. Ses yeux sont aussi sombre et flou, et il est aussi en train de tremble de partout, il….. ira bien! Il peut être soigné!!”


Même vu avec ses yeux d'amateurs, sa condition était clairement terrible, et Kazura était sur le point de donner son honnête avis, mais le moment où il vit des larmes couler des yeux de Valetta, il changea ses mots immédiatement.

Même s'il pensa immédiatement après “ Ah, merde!”.


“Vraiment!? ….Je suis si soulagée.”

“Ah, non, plutôt que soigné, il va être délivré de ses souffrances…”


Serrant la main de Kazura, Valletta le remercia encore et encore, avec les larmes aux yeux. Kazura commença à sentir de la sueur froide dégouliner.

Le coup final de Kazura vint de Roselou.


“Vraiment! Alors je vais aller le dire aux restes des villageois!”


Tandis qu'il dit ça, il ignora Kazura confus, essayant de le stopper, et quitta la résidence à vive allure.



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  1. J'ai cherché et ça existe, le nom scientifique étant Schistostega.
  2. Naruson
  3. Il parle en anglais, train, ride, station
  4. Macaronique : Utilisation de plusieurs langues dans une même phrase ou texte.
  5. Baretta, Rozuruu
  6. Lipovitan-D, une boisson énergisante