Date A Live:Tome 1 Chapitre 2: Difference between revisions

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Partie 3: J'ai oublié l'illustration ...
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Capitaine Kusakabe Ryouko. L'officière commandant l'AST auquel Origami appartenait.
Capitaine Kusakabe Ryouko. L'officière commandant l'AST auquel Origami appartenait.


« Tu as était super, chassée cette Esprits toute seule. … J'ai donné une strict leçon à Tomonara et Kagaya. Ils pensaient à quoi, battre en retraite et te laisser seule l'Esprit. »
« Tu as était super, chassée cette Esprits toute seule. … J'ai donnée une strict leçon à Tomonara et Kagaya. Ils pensaient à quoi, battre en retraite et te laisser seule l'Esprit. »


« Je ne l'ai pas fait partir. »
« Je ne l'ai pas fait partir. »

Revision as of 19:46, 9 June 2013

Chapitre 2 : Début du Jeude l’Entraînement

Partie 1

– Ça fait longtemps.

Dans ma tête, une voix que j'avais entendu quelque part auparavant résonna.

– Enfin, enfin on se retrouve, xxx.

Une voix remplit de nostalgie, chaleureuse.

– Je suis ravi. Mais, juste un peu plus longtemps, attends juste un peu plus longtemps.

Qui es-tu, je lui demandai, mais il ne donnait aucune réponse.

– Je ne te quitterai plus jamais. Je ne referai définitivement plus jamais d'erreur. C'est pourquoi,

Et là, la voix mystérieuse fut coupée.

Partie 2

«  … Haa ! »

Shidou reprit connaissance,

« Uwahh ! »

et lâcha un grand cri.

Eh bien évidement. Après tout, une femme qui ne reconnaissait pas était en train de maintenir sa paupière ouverte avec ses doigts, tout en éclairant son œil avec ce qui semblait être une lampe-stylo.

« … Nn ? Il se réveille. »

Dit la femme avec une étrange tête fatiguée, avec une voix neutre et absente.

Elle semblait être en train de vérifiée le mouvement des globes oculaires de l'inconscient Shidou, et donc son visage était exceptionnellement proche. Il pouvait sentir une légère odeur agréable, probablement l'odeur de son shampoing.

« Q, Qu-Qu-Qu-Qu-QUI ETES-VOUS ? »

« … Nn, aah. »

Cette femme, toujours la tête en l'air, se lava, balayant de façon terne sa frange de coté.

Comme un peu de distance fut créer entre eux deux, il devint possible de totalement voir l'apparence de la femme.

Elle était vêtue d'un sorte d'uniforme militaire, et elle faisait la vingtaine. Ses cheveux en batailles, ses yeux décorés avec des larges cernes noirs, et l'ours en peluche couvert de cicatrice dont la tête était pour une raison ou une autre en train de sortir de la pochette de son uniforme militaire, était son trait caractéristique particulier.

«  … Je suis l'Officière d'Analyse ici, Murasame Reine. Malheureusement l'Officier Médical n'est pas là. – Mais ne t'inquiète pas. Même si je n'ai pas le brevet, je peux au moins m'occuper de quelque soin simple.

« ... »

Il ne pouvait pas s’empêcher de s'inquiéter.

Parce que, cette femme appelée Reine semblait clairement en moins bonne santé que Shidou.

En fait, depuis quelque temps, comme si elle dessinait un petit cercle avec sa tête, son corps était en train de se balancer en titubant.

Shidou, maintenant avec son corps debout, s'est rappelé de ce que Reine lui vient juste de dire.

« – Ici ? »

Il demanda, regardant les alentours.

Shidou était en train de dormir sur un simple lit tubulaire. Il y avait tout autour un rideau blanc qui agissait comme une cloison de séparation. C'était un endroit ressemblant à l’infirmerie d'une école.

Cependant, le plafond était un peu hors du commun. Quelques tubes simples et fils étaient visibles . « C-C'est où, ici … »

« … Ah, C'est le cabinet médical du <Fraxinus>. Tu étais inconscient donc nous t'avons amenés ici.

« <Fraxinus> … ? Et j'étais inconscient … , ah– »

C'est vrai, Shidou a été mêlé dans la bataille entre la fille mystérieuse et Origami, et il a été assommé.

« … Um, uhm, puis-je poser quelque question ? Beaucoup trop de choses qui me sont incompréhensibles se sont passés ... »

Shidou dit tout en se grattant la tête.

Cependant, Reine ne répondit pas, se détournant silencieusement de Shidou.

« Ah– S'il-vous-plaît attendez … »

« … Suis-moi. Il y a quelqu'un que je veux te présenter. … Je sais que tu as beaucoup de questions, mais je suis mauvaise pour expliquer les choses. Si tu veux plus de détails précis tu dois demander à cette personne. »

Disant cela, elle ouvrit les rideaux. En dehors des rideaux il y avait une salle un peu plus grande. Environ six lit étaient alignés, et au fond de la pièce se trouvait quelques outils médical inhabituels.

Reine tourna vers se qui était apparemment l'entrée, et oscilla vers sa direction.

Elle trébucha immédiatement, et avec un 'bang', elle frappa sa tête contre le mur.

« ! E-Est-ce que vous allez bien ? »

« … Uuuu. »

Elle n'est pas tombée. Reine, gémissant, s'appuya contre le mur.

« Aah, désolé. Ces derniers temps je n'ai pas eue suffisamment de sommeil. »

« Ça fait combien de temps depuis la dernière fois que vous avez dormi ? »

Shidou demanda, et Reine, après y avoir un peu réfléchit, leva trois doigts.

« Trois jours. C'est évidant que vous seriez fatiguée. »

« … Peut être environ trente ans ? »

« L'échelle est trop différente ! »

Shidou s'était même préparé à une réponse d'environ trois semaines, mais cette réponse était totalement inattendue.

Et ça outrepassait évidemment l'age qu'elle semblait faire.

« … Eh bien, c'est vrai que je ne me rappelle plus de la dernière fois que j'ai dormi. J'ai quelque chose comme une insomnie extrême. »

« C'est-C'est donc ça ... »

« … Oh. Ahh, excuse moi, c'est l'heure pour mes médicaments. »

Reine chercha soudainement dans sa poche, et y sortit une boîte de comprimés.

Elle ouvra ensuite la boîte, et elle déversa les comprimés dans sa bouche comme si elle les buvait.

« Hey ! »

Sans aucune hésitation, le grand nombre de comprimés dans la bouche de Reine firent 'crunch crunch crunch gulp', et ils se lancèrent involontairement dans un tâche quotidienne comique.

« … Qu'est-ce qu'il y a, tu es bruyant. »

« Combien vous en avez avalés ! Et de toute façon, c'était quoi votre médicament !? »

« … C'était tous des somnifères. »

« Vous allez mourir ! Ce n'est pas une bonne blague ! »

« … Mais ce n'est pas très efficace de tout façon. »

« Quel genre de corps avez-vous ! »

« … Eh bien c'est sucré et délicieux donc c'est bon. »

« Ce n'est pas du Ramune[1] à la place ? »

Après l’enchaînement de cri, Shidou expira un profond souffle.

« … Quoi qu'il en soit, par ici. Suis-moi. »

Reine remit la boîte vide dans sa poche, et une nouvelle fois elle commença à marcher avec une démarche dangereuse, ouvrant la porte du cabinet médical.

« ... »

Shidou se pressa de mettre ses chaussures, et quitta la pièce en la poursuivant.

« Qu'est que, c'est … »

A l'extérieur de la pièce, il y avait un édifice comme un couloir étroit.

Les murs et sols de couleur pâle et de style mécanique rappela sans raison à Shidou l'intérieur d'un cuirassé spatial qui apparaissait dans quelques films de space opéra<sous-genre de la science-fiction, les plus connus des films de space opéra sont Star Wars et Star Trek</ref> ou les couloirs d'un sous-marin.

« … Qu'est-ce que je suis en train de faire ? »

Shidou, ne savant déjà pas qu'est-ce qu'est quoi, commença lentement à bouger ses pieds.

Comptant seulement sur le dos de Reine qui était en train de chanceler avec des pas instables, dans le couloir qui était comme un plateau de cinéma, les pas résonnaient.

Après avoir marcher pendant un certain temps.

« … On y est. »

Au bout du chemin, en face d'une porte avec un petit panneau électrique à coté, Reine s'arrêta et dit.

L'instant d'après, le panneau électrique fit un léger 'bip', et la porte s'ouvra sans heurt en coulissant.

« .. Là, s'il-te-plaît rentre. »

Reine marcha à l'intérieur. Shidou la suivit derrière.

« … C'est ... »

Il admira le paysage de l'autre coté de la porte.

Pour expliquer en une seule phrase, c'était un endroit comme le pont d'un navire. En face de la porte que Shidou passa à travers, le sol s’étendait en un demi-ovale, et positionné au centre il y avait un siège qui semblait être celui du capitaine.

En outre, suivant les escaliers gentiment incliné sur les deux cotés menant au niveau inférieur, où les membres de l'équipage pouvait être vus en train de faire fonctionner des consoles qui ont l'air compliqué. C'était globalement sombre, et les écrans éparpillés par-ci et par-là dégageaient de la lumière qui affirmait désagréablement leurs présences.

« … Je l'ai amené. »

Reine balança vertigineusement sa tête tout en parlant.

« Bon boulot. »

Le grand type se tenant à coté du siège du capitaine donna une légère révérence comme un majordome. Il a des cheveux ondulés et un nez qui n'a pas l'air japonais. C'était un homme jeune avec une apparence qui pouvait apparaître dans des romans BL[2].

« Bonjour. Je suis le Vice-Commandant ici, Kannazuki Kyouhei. Heureux de te rencontrer. »

« O-Ok ... »

Tout en se grattant la joue, il donna une petite révérence avec sa tête.

Pendant un instant, Shidou avait pensé que Reine était en train de parler à ce type.

Cependant– il se trompait.

« Commandante, l'Officière d'Analyse Murasame est revenue. »

Kannazuki appela, et depuis le siège du capitaine qui avait son dos qui leur faisait face, un petit gémissement fut émit, pendant que le siège tourna lentement vers eux.

Et ensuite.

« – Je te souhaite le bienvenu. Bienvenu, au <Ratatoskr>. »

La voix de celle appelée 'commandante' sonnait un peu trop charmante, tandis que la silhouette d'une jeune fille portant un uniforme militaire cramoisi sur ses épaules devint visible.

Ses cheveux était attachés par deux larges rubans noirs. Elle avait une petite carrure, des yeux aussi rond que des glands, et une Chupa Chups dans sa bouche.

Shidou regarda en fronçant les sourcils. Après tous, qu'importe de quelle manière vous la regardez.

« … Kotori ? »

C'est vrai, qu'importe si vous allez selon l'apparence, la voix, ou l'aura qui l'entourait, bien qu'ils y aient plusieurs différences, cette fille était sans l'ombre d'un doute la mignonne petite sœur de Shidou, Itsuka Kotori.

Partie 3

« –Itsuka, Shidou. »

Marmonnant d'une faible voix que personne ne pût entendre, son visage apparut dans la tête d'Origami.

Sans aucun doute, c'était le garçon de cette époque. Il n'a y aucun moyen que la mémoire d'Origami se trompe.

C'était un peu honteux, mais ils ne se sont rencontrés que cette seule fois, et donc on ne pouvait rien n'y faire si il ne reconnaissait pas Origami. Depuis qu'elle est rentrée au lycée elle avait essayée divers moyens pour se rapprocher de lui, mais ils ont tous échoués.

Et maintenant, il y avait un problème encore plus urgent.

« Pourquoi, était-il dans un tel endroit ? »

Elle ne pouvait pas comprendre pourquoi il était sorti dans la rue après le bruit de l'alerte à la déchirure spatiale.

Et aussi-- il l'avait définitivement vu.

Origami, dans l'équipement spécial– et l'Esprit.

« Sergente-chef Tobiichi, les préparatifs sont prêts ! »

« ... »

A la voix soudaine du mécanicien, Origami secoua droit son visage rabaissée.

Puis elle se concentra immédiatement sur un ordre dans sa tête.

L'ordre progressa le long de la tenue de câblage qui enveloppait le corps d'Origami, passant par les propulseurs dans son dos, et activa le Realizer intégré.[3]

Enveloppée dans un équipement dont la forme ne semblait pas être adaptée pour voler, le corps d'Origami se mit à légèrement flotter en l'air.

JGSDF – La Base de Tenguu.

Dans un hangar situé sur l'un des coins de la base, suivant les instructions du mécanicien Origami atterrit dans son dock personnelle comme si elle s'asseyait, remit les armes à leurs places désignées, et finalement, expirant un profond souffle, elle désactiva tous les Realizers.

En même temps, le poids de l'équipement et le stress accumulés dont elle n'a pas ressentie même un fragment il y a quelque instant pesa sur son corps tout en même temps.

Le bruit d'une machine démarra derrière elle, et les propulseurs qu'elle portait furent déconnectés.

Cependant, ce ne fut pas avant environ trois autres minutes, que Origami put partir de cet endroit.

Cela arrivait à chaque fois après l'utilisation du CR-Unit. Retournant d'un état surhumain à un état normal, le corps devenait anormalement lourd.

Combat Realizer Unit[4]. Généralement appelé CR-Unit.

C'était le nom donné à l'équipement tactique qui utilisait la technologie miraculeuse, le Realizer, que les humains ont obtenus après la large déchirure spatiale d'il y a 30 ans.

Il prend les résultats calculés par ordinateurs, et déformant les lois de la physique, il les manifeste dans le monde réel.

En gros, même si il y a quelques restrictions, c'est une technologie qui transforme l'imagination en réalité. Ç’a était appelé un système qui produisait la fameuse 'magie' par des moyens scientifiques.

En même temps, c'était le seul moyen pour les humains de se battre contre les Esprits.

« Libérez le passage ! Les brancards arrivent par ici. »

Une voix hurlante vint de la droite.

Bougeant seulement ses yeux, Origami remarqua un membre d'escouade couvert avec la même tenue de câblage sur le brancard.

« … Fait chier, merde, cette salope … ! Je le jure, je vais la tuer putain … !

Le membre d'escouade sur le brancard était en train de garder un bandage trempé de sang sur son front et grommela amèrement des insultes tout en étant transporté ailleurs.

« ... »

Il ne devrait y avoir aucun problème si il pouvait jurer avec tant de vigueur. Perdant son intérêt, Origami replaça son regard où il était.

En fait, si le traitement est effectué en utilisant un Realizer à usage médical, du moment que la blessure n'est pas extrêmement grave, ça pouvait être soigner en un rien de temps. Quand Origami s'était brisée la jambe avant, le lendemain elle pouvait marcher de nouveau.

« – »

Tout en expirant un long souffle, Origami jeta un léger coup d’œil vers le haut.

Elle se rappela du combat d'aujourd'hui.

– La calamité qui détruira le monde, les Esprits.

C'était une anormalité que même un groupe de surhumain comme Origami ne pouvait espérer égratigner.

Apparaissant de nul part, disséminant la destruction sur un coup de tête, c'étaient des monstres du même niveau que des désastres naturels.

« ... »

A la fin, même le combat d'aujourd'hui finit avec l'Esprit étant perdue, bien que c'était plutôt l'Esprit qui décida de quitter la scène.

Perdu ne voulait pas dire que l'Esprit était mort.

Tout ce que ça voulait dire est que l'Esprit s'est échappé par une autre dimension.


Bien qu'il ait des archives dans les registres où il semblerait que les actions de l'AST repoussaient les Esprits, Origami ainsi que tous les autres membres directement impliqués dans le combat le savaient.

Les Esprits ne ressentent absolument aucune menace d'eux, et quand les Esprits sont perdus, c'est purement à cause d'un coup de tête des Esprits.

« ... »

Son expression ne changea pas du tout.

Cependant, Origami se mordit fortement les molaires.

« Origami »

La voix qui provenait de l'intérieur du hangar stoppa les pensées d'Origami.

« ... »

Silencieusement, elle se retourna vers la voix. Son corps ne s'était probablement pas encore habitué, comme sa tête était encore extrêmement lourde.

Le Basic Realizer[5] équipé dans la tenue de câblage, une fois commencé, pouvait étendre un territoire personnel quelques mètres autour de la personne.

Ce territoire est l'essence du CR-Unit. Comme son nom l'indique, c'était un espace dans lequel les pensés de l'utilisateur pouvaient prendre réalité.

Ça avez la capacité de modérer tous les impacts externes, ainsi que même permettre à la gravité à l'intérieur d'être librement contrôler. Aussi longtemps que le territoire est étendu, les membres de l'AST pouvaient devenir des surhumains.

C'est pourquoi en contre-coup, pour un court instant après l'utilisation d'un CR-Unit, il est difficile de bouger le corps librement.

« Bon Boulot. »

Là-bas, portant la même tenue de câblage qu'Origami, demeurait une femme à la mi-vingtaine avec sa main sur sa hanche.

Capitaine Kusakabe Ryouko. L'officière commandant l'AST auquel Origami appartenait.

« Tu as était super, chassée cette Esprits toute seule. … J'ai donnée une strict leçon à Tomonara et Kagaya. Ils pensaient à quoi, battre en retraite et te laisser seule l'Esprit. »

« Je ne l'ai pas fait partir. »

Origami répondit, et Ryouko haussa ses épaules.

« Eh bien, Je vais devoir le rapporter comme ça au supérieur. Si on ne montre pas quelques résultats le budget va tomber. »

« ... »

« Allez, ne fais pas cette tête. Je te félicite après tout. Dans cette situation où la position d'as est encore vide, tu fais des supers efforts. Aussi, si tu n'étais pas là, le nombre de personne en plus qui viennent de mourir ne serai pas qu'une ou deux.

Fuuuu, elle expira son souffle.

« Mais, hé, »

Ryouko affûta son regard, attrapa la tête d'Origami et la tourna vers elle.

« Tu en as fait un peu trop. –Veux-tu tant que ça mourir ? »

Avec son regard fixe aiguisé toujours fixé sur Origami, Ryouko continua.

« Est-ce que tu comprends vraiment quel genre d'adversaire tu affrontes ici ? C'est un monstre pour l'amour de dieu. Un ouragan avec de l'intelligence. –Est-ce que tu comprends ? Dans le cadre de tes compétences, réduits les dégâts au minimum, dans le cadre de tes compétences, rend le perdu aussi vite que possible. C'est notre job. Ne t'expose pas inutilement au danger. »

« –C'est faux. »

Origami répondit tout en regardant Ryouko droit dans les yeux, et une nouvelle fois elle ouvra un peu ses lèvres.

« Battre les Esprits, c'est le devoir de l'AST. »

« ... »

Ryouko fronça les sourcils.

Comme capitaine de l'AST, elle était supposée avoir compris le nom de l'Anti Spirit Team bien mieux qu'Origami.

Parce qu'elle le comprenait, elle stipula.

– On ne peut rien faire d'autre que de réduire les dégâts.

Cependant, tout en admettant ça, Origami se répéta une nouvelle fois.

« Je vais, battre, les Esprits. »

« ... »

Ryouko lâcha un soupir, et enleva ses mains de la tête d'Origami.

« … Je n’envisageait pas d'entendre ton opinion personnelle. Pense ce que tu veux. –Cependant, si il semblerait que tu vas contre les commandes en plein dans le champ de bataille, tu sera retirée de l'équipe. »

« Je comprends »

Origami donna une réponse courte, leva son corps qui s'était enfin ajusté, et s'en alla.

Partie 4

Partie 5

Notes de traduction

  1. Boisson gazeuse non alcoolisé japonaise
  2. Boys Love, romance homosexuel entre homme
  3. Si vous ne comprenez pas cette phrase, dites-vous que l'ordre est devenu un signal électrique.
  4. Unité de Combat au Realizer
  5. Realizer basique