Date A Live:Tome 1 Chapitre 1

From Baka-Tsuki
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Partie 1

« Ahhh ... »

C'était le pire des réveils.

Après tout, quand tu te réveilles pour voir ta sœur danser dans un rythme de samba tout en t’écrasant entièrement l'estomac, la poitrine ou la tête, hormis quelque personne spécial, tout le monde serait mécontent.

Lundi 10 Avril.

C'était hier le dernier jour des vacances de printemps, donc aujourd'hui c'est la rentrée.

Tout en frottant ses yeux troublé, Shidou déclara d'une faible voix :

« Ahh, Kotori. Ma mignonne petite sœur. »

« Ohhhhh !? »

C'est qu'à ce moment là qu'elle remarque que Shidou était réveillé. La petite sœur avec un pied dans l'estomac de Shidou–-Kotori, tourna sa tête tout en ajustant l'uniforme scolaire de son collège.

Ses longs cheveux, séparé en deux couettes, oscillèrent, alors qu'elle fixa Shidou à travers ses yeux aussi rond que des glands.

Accidentellement, bien qu'elle a été attrapé en train de marcher sur quelqu'un tôt dans la matinée, elle n'avait pas l'air de secrètement jurer, « Merde » ou « Je me suis fais choper ! ». Tout au contraire, on aurait dit qu'elle était vraiment heureuse que Shidou soit debout.

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Oh, et depuis la position de Shidou, on avait une vue stupéfiante de sa culotte.

Ce n'était pas comme si on avait qu'un aperçu. Même l'impudicité à ses limites.

« Qu'est-ce qu'il y a ? Mon adorable frère ! »

Kotori répondit, sans vouloir bouger ses pieds.

Au cas où vous vous le demandez, Shidou n'était pas adorable.

« Eh bien, descends. Tu es lourdes. »

Kotori fit un hochement de la tête exagéré et sauta du lit.

L’estomac de Shidou demeura avec un dur impact.

« Gfhu ! »

« Ahahaha, gfhu ! Ahahahaha ! »

« ... »

Shidou poussa silencieusement le drap au-dessus de sa tête.

« Ahh ! Hey~ ! Pourquoi tu te recouches ! »

Kotori éleva sa voix, secouant lentement Shidou.

« Juste dix autres minutes ... »

« Pas question~ ! Réveilles-toi à la fin ! »

Après s'être assis et avoir fait une grimace au vertige résultant du secouement de sa tête hébété, Shidou ouvra sa bouche avec un gémissement.

« C-Cours … »

« Hein ? »

« … En fait, j'ai étais infecté par le virus ' si je dors pas 10 autres minutes je chatouillerai ma sœur à mort ', alias le T-virus ... »

« Qu-Quoi !? »

Kotori était aussi surprise qu'une personne ayant trouvé un message caché par des extra-terrestres.

« Cours … pendant que je peux encore me contrôler … »

« M-Mais, qu'est-ce que tu vas faire ? »

« Ne t'inquiètes pas pour moi … tant que tu es saine et sauve … »

« Pas question ! Grand Frère ! »

« Gaaaahh ! »

« Kyaaaaaaaaaaa ! »

Shidou lança sa couette, bougeant ses deux mains et grognant de manière excité, tandis que Kotori fuit avec un cri affreux.

« … pff »

En soufflant, il se recouvrit avec son drap. Regardant l'heure, il n'était pas encore six heures.

« Ce n'est pas une heure pour réveiller les autres ... »

Ronchonnant, il se souvient soudain de quelque chose.

Alors que son cerveau à moitié endormi se réveilla petit à petit, ses souvenirs de la nuit dernière refirent surface.

Ses deux parents étaient parti en voyage d'affaire hier.

A cause de ça, Shidou était temporairement le responsable de la cuisine, et donc Shidou, qui a du mal à se mettre debout, avait demandé à Kotori de le réveiller.

« Ah ... »

Gêné par le fait qu'il avait peut être fait quelque chose de mal, il sortit rapidement de son lit.

Tout en se recoiffant et en retenant un bâillement, il sortit d'un pas lourd de sa chambre.

A ce moment, le petit miroir suspendu au mur attira son attention.

Un garçon dont la frange était sur le point de gêner sa vue, probablement parce qu'il n'est pas allé chez un coiffeur depuis un moment, lança un piètre regard à Shidou.

« ... »

En même temps que sa déclinante vue, son apparence avait également énormément dégradé.

Soupirant, il descendit les escaliers et entra dans le salon.

«  … Hum ? »

Une vision un peu différente de d'habitude le salua.

La table en bois qui était au milieu du salon était retourné sur le coté, comme si c'était devenu une barricade. Derrière ceci, une tête avec deux couettes tremblait légèrement.

« ... »

Marchant silencieusement, Shidou s’approcha de la table retourné.

Bien entendu, Kotori était assis là-bas serrant ses genoux et tremblant.

« Graaaaahh ! »

« Kyaa ! Kyaaaaaaa ! »

Puisque Shidou la saisit par les épaules, Kotori lâcha un cri de désespoir tandis que ses membres se relâchèrent.

« Calme-toi, calme-toi ! Je suis redevenu normal »

« Gyaaaa ! Gyaa … ah ? G-Grand frère ? »

« Ouais, c'est ça. »

« Tu … Tu n'es plus du tout effrayant ? »

« Tout va bien maintenant. Je suis l'awi de Kotowi. »

« Oh, ohhhhhh. »

Tandis que Shidou lui parla comme un bébé, le visage de Kotori se relaxa lentement.

C'était comme si elle était un écureuil fauve sauvage qui ouvrit son cœur.

« Désolé, désolé. Je vais tout de suite faire le petit déjeuner. »

Après avoir lâché la main de Kotori et s'être levé, Shidou remit la table où elle était et alla à la cuisine.

Travaillant dans une large société d’électroniques qu'ils ont eux-même créé, les parents de Shidou étaient souvent absent de la maison en même temps.

A ces moment-là, c'était toujours la responsabilité de Shidou de préparer les repas, il était donc déjà habitué. En fait, il était même sûr qu'il pouvait mieux utiliser les instruments de cuisine que sa mère.

Pendant que Shidou était en train de chercher quelque œufs dans le frigo, il entendit le son de la télé venant de dernière lui. Il semblerai que Kotori s'était calmé et avait allumé la télé.

Maintenant qu'il y pense, il semblerai que Kotori a une habitude quotidienne de manger tout en regardant l'horoscope ou de la voyance.

Et bien, la plus part des prédictions viennent habituellement à la fin des programmes principaux, et sont bien entendu que des spéculations. Après avoir zappé toutes les chaînes, Kotori commença à regarder ce qui semblait être un journal télévisé ennuyeux.

« –- Plus tôt ce matin, dans la banlieue de la ville de Tenguu –- »

« Huh ? »

Entendant par hasard le contenu inutile du journal télévisé qui habituellement sert seulement de musique d'arrière-plan, Shidou leva un sourcil.

La raison était simple. Depuis la voix clair du journaliste, il entendit le nom d'une rue familière.

« Mmm ? C'est très proche d'ici. Quelque chose c'est passé ? »

Se penchant sur le plan de travail, il réduit sa vision et fixa la télé.

A l'écran, l'image d'une rue qui a été ridiculement détruite était en train d'être diffusé.

Les bâtiments et les routes ont été réduites en une montagne de gravats.

La dévastation était tel un impact de météorite, ou peut être un bombardement aérien.

Shidou froissa ses sourcils, et en relâchant son souffle il dit :

« Ahhhh … C'était donc une déchirure spatiale[1]

Comme si il était rempli, il secoua sa tête.

Une ' déchirure spatiale ' faisait référence au phénomène de tremblement dans une large zone.

C'est un terme générique donné aux explosions, aux tremblements, aux disparitions, et autre choses similaires qui arrivaient pour des raisons inconnus à des lieux et moments hasardeux.

Comme les caprices d'un monstre géant, détruisant les rues pour son plaisir, c'était des phénomènes extrêmement irraisonnables.

La première apparition d'une telle chose date d'il y a trente ans.

C’était arrivé en plein milieu de l'Eurasie – cette région qui contenait des pays comme l'Union Soviétique, la Chine et la Mongolie, causant leurs disparitions en une seul nuit.

Pour la génération de Shidou, juste regarder les photos des manuels scolaires étaient déplaisants.

C'était comme si tout sur terre avait était raclé, ne laissant rien derrière.

Le nombre de victime a été comptés à environ 150 millions de personnes. C'était la catastrophe la plus grande et la plus meurtrière de l'histoire de l'humanité.

Dans les six mois qui suivis, des incidents similaires se produisaient à plus petite échelle partout dans le monde.

Shidou ne pouvait pas se rappeler du nombre exacte, mais c'était dans les environs de cinquante.

Sur terre, aux pôles, dans les océans, même sur des petites îles, de tels cas ont été confirmés.

Bien entendu, le Japon n'était pas un exception.

Six mois après le Désastre du Ciel d'Eurasie, les régions du sud de Tokyo jusqu'à la préfecture de Kanagawa sont devenu des sphères de terre retournés, comme si une gomme leur avait gratté dessus.

C'est vrai – cela inclus la zone où Shidou vit en ce moment.

« Mais ça s'est soudainement arrêté pendant un moment, non ? Pourquoi ils redeviennent de plus en plus fréquents ? »

« Je me demande pourquoi … ? »

A la question de Shidou, Kotori, toujours en train de regarder la télé, inclina sa tête.

Après cet incident au Sud du Kanto, les déchirures spatiales n'avaient plus été détectés depuis un certain temps.

Cependant, il y a cinq ans, en commençant par un coin de la ville redeveloppé de Tenguu, ces phénomènes mystérieux commencèrent à refaire surface de nouveau un peu partout.

En outre, la plupart se passaient – au Japon.

Bien entendu les humains ne sont pas restés les bras croisés à ne rien faire pendant ces vingt-cinq ans d'intervalle.

Commençant il y a trente ans par les zones qui ont finit leur redéveloppement, les refuges souterrain se sont rependus de manière explosive.

Ceci avec le fait qu'il est maintenant possible d'observer des signes précurseurs de déchirure spatiale, une équipe certifiée de réponse au désastre JSDF a été fondé.

Leur objectif était de voyager aux zones sinistrés pour pouvoir reconstruire les bâtiments et les routes détruites, mais leur travailles ne pouvaient être décrit que comme magique.

Après tout, des rues complètement détruites pouvaient, en une période excessivement courte, être restaurée comme si de rien n'était.

Leur travailles étaient top secret et donc aucune information était disponible au public, mais quand tu vois un bâtiment effondré restauré en une seule nuit, tu ne peux pas t’empêcher de penser que tu as vu un tour de magie.

Cependant, même si les réparations étaient très rapides, cela ne voulait pas dire que les déchirures spatiales étaient sans danger.

« Tu n'as pas l'impression que la zone alentour à eut beaucoup de déchirure spatiale ? Spécialement l'année dernière. »

« … Hmm, on dirait, huh. Peut être que c'est trop tôt ... »

Kotori marmonna, tout en appuyant son corps contre l'accoudoir du sofa.

« Trop tôt ? De quoi ? »

« Nnn …, riem. »

Cette fois ce fut Shidou qui pencha se tête.

Ce n'était pas à cause de ce que Kotori a dit, mais plutôt parce que la dernière partie semblait un peu étouffée.

« ... »

Silencieusement, il contourna le plan de travail, et marcha vers le coté du sofa où Kotori c'était appuyée.

Peut être que Kotori la remarqué, mais pendant que Shidou se rapprochait, elle tourna doucement sa tête ailleurs.

« Kotori, tourne de ce coté un instant. »

« ... »

*bonk*

« Guhh ! »

Kotori cacha sa tête avec ses mains, et se retourna avec un choc. Un bruit bizarre venait de sa gorge.

Voyant l'objet à l'intérieur de sa bouche comme espéré, Shidou lança un léger soupir, « Comme je le pensais. »

Même si c'était avant le petit déjeuner, Kotori avait son bonbon préféré, un Chupa Chups, dans sa bouche.

« Hey ! Je ne t'ai pas dis de ne pas manger de sucreries avant les repas ? »

« NNNnnn ! NNNnnnnn ! »

Confisquant le bonbon et ne prenant que le bâton, il trouva Kotori en train de résister en boudant.

Shidou froissa son visage quant il regarda vers où il allait frapper, puisqu'il ne voulu pas frapper quelqu'un avec de si mignon traits.

« … Mince alors. Tu as intérêt à finir ton petit déjeuner ! »

A la fin ceux fut Shidou qui abandonna. Il caressa la tête de Kotori, et retourna dans la cuisine.

« Ohh ! Je t'adore, grand frère ! »

Shidou fit convenablement un geste de la main et retourna au travail.

« … Maintenant que j'y pense, aujourd'hui c'est la cérémonie d'ouverture du collège, non ? »

« C'est vrai~ »

« Tu reviendras donc pour le déjeuner … Kotori, tu veux quelque chose pour ce midi ? »

Après que Kotori aie fini de réfléchir avec un « Hmmmm », elle secoua sa tête, et se leva soudainement.

« Le plat deluxe pour enfant ! »

C'était un menu pour les enfants offerts dans un restaurant familiale proche.

Shidou redressa son corps, et ainsi, donna une révérence de pardon.

« Ceci ne peut pas être préparé dans ce magasin. »

« Ehh~ »

Tout en suçant sa sucette, Kotori répondit avec une voix mécontente.

Shidou lança un lourd soupir et haussa ses épaules.

« Peu importe, je peux rien y faire, c'est un événement spécial donc allons au resto pour le déjeuner. »

« OHHHH ! Vraiment ? »

« Ouais. Alors, retrouvons-nous au restaurant familiale de d'habitude après les cours. »

Shidou dit, et Kotori frotta ses mains ensemble d'excitation.

« Tu ne retires pas ce que tu viens de dire ! C'est une promesse ! Tu dois être là-bas même si un séisme commence ou un incendie surgit ou une déchirure spatiale se produit ou le restaurant est occupé par des terroristes ! »

« Non. Si il y a des terroristes sa sera pas possible de manger. »

« Tu dois être là ! »

« Très bien, très bien, j'ai compris. »

Entendant la réponse de Shidou, Kotori leva vigoureusement ses mains en l'air avec un « Whoooo~ ! ».

Shidou n’envisagea même pas le fait qu'il était un peu trop généreux. Eh bien, aujourd'hui était spécial tout de même.

A partir de ce soir ils devront avoir leur repas chez eux pour un bon moment, mais aujourd'hui c'était la cérémonie d'ouverture pour eux-deux. Autant de luxe devrait être permis.

Eh bien, qui sait si un déjeuner pour enfant qui coûte 780 yens compte vraiment comme de la luxure.

« Mmmm ... »

Shidou s'étira légèrement, et ouvra la petite fenêtre dans la cuisine.

Le temps s'était éclairci. On dirai qu'aujourd'hui vas être un bonne journée.

Partie 2

Il était environ 8:15 quand Shidou arriva au lycée.

Après avoir vérifié les listes des classes affiché dans le couloir, il entra dans la salle de classe où il alla passer cette année.

« Deuxième année[2], classe 4, huh ? »

Depuis la déchirure spatial trente ans plus tôt, les régions du Sud de Tokyo jusqu'à la préfecture de Kanagawa – en d'autre mots, les vides région de terre créé par les déchirures spatiales, ont été reconstruites comme des villes tests utilisant de nouvelle technique.

L'école publique où Shidou était inscrit, le Lycée Raizen, était un de ces exemples.

A la pointe de la technologie, cette école qu'on peut difficilement croire qu'elle était public, fut construite il y a quelque année seulement, c'était donc encore presque tous neufs. Bien entendu, étant un lycée construit dans une vielle région sinistrée, il était équipé avec les derniers modèles d'abri souterrain.

Pour ces raisons le taux de candidature était plutôt haut, et donc Shidou, qui a décidé de candidater juste parce que « c'est proche de la maison », a dû travailler très dur.

« Mmmm ... »

Avec un léger fredonnement, il jeta un coup d’œil à la classe.

Il y avait encore pas mal de temps avant les débuts des cours, mais un grand nombre de personne était déjà rassemblé.

Il y avait des personnes ravis d'être dans la même classe, d'autres assis seul qui avaient l'air ennuyé, et des gens avec d'autre réactions variés … mais il n'y avait pas l'air d'avoir des connaissances de Shidou.

Lorsque Shidou bougea sa tête pour chercher son siège marqué sur le tableau.

« – Itsuka Shidou[3]. »

Subitement, de derrière lui, une faible voix lui parla sur un ton monocorde.

« Huh … ? »

Il ne reconnut pas la voix. Curieux, il se retourna.

Une fille svelte était là.

La fille avait des cheveux qui atteignait à peine ses épaules et un visage ressemblant à une poupée. Il n'y avait sûrement personne d'autre qui pouvait plus ressemblé à une poupée qu'elle.

Quoique noble comme un être artificiel précisément créé, en même temps, son visage n'exprimait aucune émotion.

« Eh … ? »

Shidou jeta un coup d’œil au alentour, puis inclina sa tête.

« … Moi ? »

Puisqu'il ne trouvait pas d'autre Itsuka Shidou proche, il se pointa du doigt.

« Oui .»

Sans rien ressentir, la fille répondit immédiatement, donnant un petit hochement de tête vers Shidou.

« Pourquoi tu connais mon nom … ? »

Shidou demanda, et la fille, comme si confus, inclina sa tête.

« Tu ne te souviens pas ? »

« … Um. »

« Je vois. »

Shidou répondit avec hésitation, et la fille, semblant exagérément abattu, donna un petit commentaire et marcha vers un siège près de la fenêtre.

Comme ça, elle s'assit sur sa chaise, sortant quelque chose ressemblant à un manuel technique épais, et commença à le lire.

« Qu'est-ce … qu'il se passe, exactement ? »

Shidou se gratta la tête et fronça les sourcils.

Dans tous les cas, on aurait dit qu'elle connaissait Shidou, mais se sont-ils rencontrés quelque part avant ?

*whack*

« Gefhuu ! »

Pendant que Shidou était plongé dans ses pensés, une sublime tape le frappa dans le dos.

« QU'EST CE QUE TU FAIS, TONOMACHI !? »

Il sut immédiatement qui était le responsable, et cria en frottant son dos.

« Hey, tu sembles bien en forme, votre bête sexuel Itsuka. »

L'ami de Shidou, Tonomachi Hiroto, avant même d'être ravis d'être dans la même classe, comme si il montrait ses cheveux bien coiffés et son corps musclé, il croisa ses bras et pencha légèrement son corps en rigolant.

« … Sex … Qu'est-ce que tu as dit ? »

« Bête sexuel, satané brute. Je te lâche des yeux quelque instant et tu deviens plus viril. Depuis quand et comment es-tu devenu proche de Tobiichi, huh ? »

Lui demanda Tonomachi, en serrant la tête de Shidou avec son bras tout en souriant d'un air narquois.

« Tobiichi … ? C'est qui ? »

« Allez, ne joue pas l'idiot. Tu viens d'avoir une heureuse discutions avec elle, n'est-pas ? »

Tonomachi montra de la tête le siège près de la fenêtre.

Là-bas, il y avait la fille de tout à l'heure.

Comme si elle remarqua leurs regards, la fille leva les yeux du livre, et tourna son regards vers eux.

« ... »

Shidou serra sa gorge pendant qu'il détourna pitoyablement son regard.

D'un autre coté, Tonomachi sourit et la salua de la main d'une façon trop amicale.

« ... »

La fille, ne montrant aucune réaction, et repris sa lecture.

« Là, regarde, elle est tout le temps comme ça. Parmi toutes les filles, elle est la plus difficile, ayant été comparé au pergélisol[4] , à la Guerre Froide ou au Mahyadedosu[5]. Comment tu as fais pour qu'elle s'ouvre à toi ? »

« Huh … ? D-De quoi tu parles ? »

« C'est pas vrai, tu ne sais vraiment rien ? »

« … Hum, était-elle vraiment dans notre classe l'année dernière ? »

Lorsque Shidou lui dit ceci, Tonomachi tendit ses mains comme pour dire « je ne peux pas y croire », en faisant une tête surprise. C'était quelqu'un qui aimait imiter les réactions occidentales.

« Allez mec, c'est Tobiichi, Tobiichi Origami. C'est la super génie dont notre école est fière d'avoir. Tu n'as jamais entendu parler de ça ? »

« Non, c'est la première fois que j'entends ça mais … est-elle si extraordinaire que ça ? »

« Extraordinaire ne peut même pas la décrire. Ses notes sont toujours les meilleurs de l'année, et dans l’examen blanc y a pas longtemps elle a eut des résultats de fou et elle a été directement classé dans le top national. »

« Huuuh ? Pourquoi une telle personne est dans une école publique ? »

« Je sais pas. Peut être un truc comme des raisons familiales ? »

Donnant un haut haussement d'épaule, Tonomachi continua.

« En tout cas, ce n'est pas tout, ses notes d'EPS sont également très bonne, et en même temps c'est une beauté. Elle fut troisième dans le « Classement des Copines les Plus Voulus – Top treize », je crois. Tu ne l'as pas regardé ? »

« Je ne savais même pas que ça existé. Ou plutôt, top treize ? Pourquoi c'est un nombre si hasardeux ? »

« Parce que les filles qui ont organisé ceci étaient treize. »

« … Aaah. »

Shidou rigola faiblement.

« Au passage, le « Classement des Copains les Plus Voulus » va jusqu'au meilleur 358ème. »

« Autant !? La fin du classement doit être proche du top des moins voulus non ? Est-ce que c'est également le choix de l'organisateur ? »

« Ahh. Il ne savait vraiment pas quand abandonner. »

« Tu es dans quelle place Tonomachi ? »

« 358ème place. »

« C'était toi l'organisateur !? »

« Les raisons qui mon amené à cette place sont : « il est trop passionné », « il a l'air d'être poilu », et « il a l'air de puer des pieds ». »

« Comme je le pensait, c'est la pire des places ! »

« Eh bien, au dessus il n'y a que les gens qui n'ont reçus aucun vote. Du moins avec les points minus que j'ai réussis à gagner. »

« C'est pousser le bouchon un peu trop loin ! Avec une telle place, ça aurait été meilleur d'abandonner. »

« Ne t'inquiète pas Itsuka. Tu as participé en tant que Mr. Anonyme et tu as eut 1 vote et la 52ème position. »

« Mauvaise réponse ! »

« Eh bien les autres raisons sont : « il n'a pas l'air intéressé par les femmes », et « sérieusement, il a l'air d'être homo ». »

« C'est un marteau de fer apportant la mort par la calomnie peu raisonnable ! »

« Calme-toi. Dans le « Meilleur Couple Sélectionné par les Fujoshis[6] », notre couple est en tête. »

« ÇA NE ME REND PAS DU TOUT HEUREUX ! »

Shidou cria. Il était un peu inquiet d'être dans le couple à la première place.

Cependant, Tonomachi n'avait pas l'air de s'en préoccuper ( ou plutôt, il semblait avoir tourner la page ), tandis qu'il se croisait les bras et retourna au sujet initial.

« Eh bien de toute façon, ce n'est pas exagéré de dire que c'est la personne la plus connu de l'école. Itsuka, ton ignorance parvient même à surprendre le grand Tonomachi. »

« Quel genre de personnage tentes-tu d'être ? »

Au moment où Shidou dit sa phrase, l'habituel cloche dont il a pris l'habitude de l'entendre depuis sa première année sonna.

« Oups. »

Maintenant qu'il y pense, il n'a pas encore vérifié sa place.

Shidou suivi les instructions sur son emplacement écrit dans le tableau, et posa son sac dans un siège deux rang à coté de la fenêtre.

A ce moment, il le remarqua.

« … Ah »

Comme si c'était un coup du destin, le siège de Shidou était à coté de la personne qui a eu les meilleurs résultats de l'année.

Tobiichi Origami avait fermé et mis de coté son livre avant que la cloche ai fini de sonné.

Elle réajusta sa position pour regarder tout droit, dans une posture si belle qu'elle avait l'air d'être faite au centimètre près.

« ... »

Se sentant légèrement mal à l'air pour aucune raison, Shidou tourna ses yeux vers le tableau tout comme l'avait fait Origami.

Comme si il attendait le bon moment, la porte de la classe s'ouvrit bruyamment . De là une petite femme portant de mince lunette à monture apparut et marcha derrière le bureau du professeur.

Au alentour, les élèves murmurèrent de manière excité.

« Donc c'est Tama-chan ... »

« Ah, c'est Tama-chan. »

« Sérieusement ? Ouaiiis ! »

– En général, de bonne chose était dit.

« Très bien, bonjour tout le monde. Pour l'année qui suit, je serais votre professeur principal, mon nom est Okamine Tamae. »

Le professeur en charge des sciences sociales, Tamae Okamine – surnommé Tama-chan – parla d'une voix lente et s'inclina. Peut être la taille n'était pas très bonne, comme ses lunette glissèrent un peu, et elle se hâta se les remettre en place avec ses deux mains.

Son visage enfantin et son petit corps qui faisait bien plus jeune que son âge, combiné avec son attitude décontracté, lui fit gagner une très grande popularité auprès des élèves.

« … ? »

Au beau milieu de tous les élèves excités, l'expression de Shidou devint rigide.

S’asseyant à sa gauche était Origami, qui regarda intensément vers Shidou.

« ... »

A un moment, leurs yeux se croisèrent. Shidou détourna à la hâte son regard.

Pourquoi regardait-elle Shidou – non, elle ne devait pas forcément le regarder, il y avait la possibilité que c'était quelque chose derrière lui, mais pour le moment Shidou ne pouvait pas se calmer.

« … Qu–Qu'est-ce qu'il se passe exactement … ? »

Il murmura silencieusement, tandis qu'une goutte de sueur lui tomba du visage.


Depuis, environ trois heures ont passés.

« Itsuka~, tu n'as de toute façon rien à faire, non, tu veux manger quelque chose ? »

La cérémonie d'ouverture avait fini, et pendant que les élèves finirent leur préparation et quittèrent la classe, Tonomachi, son sac suspendu au dessus de son épaule, engagea la conversation.

A part pendant les périodes de contrôle, c'était rare que les cours de finissent le matin. Par-ci et par-là, des groupes d'amis étaient en train de choisir où déjeuner.

« Désolé, j'ai quelque chose de prévu aujourd'hui »

« QUOI ? Une fille ? »

« Ahhh, eh bien … ouais. »

« PAS POSSIBLE !! »

Tonomachi fit un V avec ses bras tout en soulevant un genou, faisant un réaction ressemblant à Glico[7].

« Qu'est-ce qui c'est passé pendant les vacances d'été nom de dieu !? Tu n'es pas satisfait même après avoir réussit à gentiment parler avec cette Tobiichi, mais maintenant tu as promis à une fille de déjeuner avec elle !? Nous nous étions pas promis de devenir des magiciens[8] ensemble !? »

« Non, je ne me souviens pas d'une telle promesse … et de tout façon, c'est juste Kotori. »

Shidou répondit, et Tonomachi lança un soupir de soulagement.

« Nom de Dieu, ne me fais pas peur ! »

« Tu es le seul qui as sauté des étapes. »

« Meh, si c'est Kotori-chan donc il n'y a aucun problème. Je peux venir aussi ? »

« Mm ? Ahh, je pense que c'est peut être d'accord ... »

Pile au moment où Shidou finit, Tonomachi plaça ses coudes sur le bureau de Shidou, et parla d'une voix faible.

« Hey hey, Kotori-chan est en seconde année au collège[9], non ? Est-ce que c'est bon pour elle d'avoir un copain ou un truc du genre maintenant ? »

« Huh ? »

« Uhm, il n'y a aucun sens caché derrière cette phrase mais, quel est l'avis de Kotori-chan sur un type qui a trois ans de plus qu'elle ? »

« … En fait, ne t'en préoccupe pas. N'ose même pas venir. »

Shidou plissa ses yeux, et poussa de façon agaçante le visage de Tonomachi qui c'était rapproché.

« Haha. Dans tous les cas, je ne suis pas un si pauvre type que je vous dérangerai lors de votre rassemblement familial. J'essayerai de jouer fair-play. »

« Tu en dis toujours trop. »

S'arrachant la joue, Tonomachi fit une expression inattendus tout en parlant.

« Mais mec, ne penses-tu pas que Kotori-chan est super mignonne ? Pouvoir vivre avec elle sous le même toit doit être super. »

« Si tu avais actuellement une petite sœur, je pense que tu aurais une opinion différente. »

« Ah … On entend ça beaucoup. C'est donc vrai que les gens avec des petites sœurs n'ont pas ce genre de fétiche. »

« Ouais, ce ne sont pas des filles. Ce sont des créatures appelé petite sœur. »

Shidou affirma fortement, et Tonomachi sourit humblement.

« C'est vraiment le cas, huh ? »

« C'est vraiment le cas. Si tu veux en venir avec quelque chose qui n'est pas vraiment une fille, cela sera probablement une petite sœur. »

« Alors, une grande sœur ? »

« … Onnashi[10]? »

« Wooow, une femme de ville ! »

En rigolant, Tonomachi répondit.

– A ce moment.


UUUUUUuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu----------------


« Huh !? »

Les fenêtres de la classe secouèrent violemment tendis qu'une sirène désagréable résonnait depuis la rue.

« Qu-Qu'est-ce qui se passe ? »

Tonomachi ouvrit la fenêtre et regarda dehors. Surpris par la sirène, un nombre incalculable de corbeau s'envolèrent vers le ciel.

Les élèves restant dans la classe ont tous arrêté leur conversation et se fixèrent du regard, les yeux écarquillés.

Suivant la sirène, une voix mécanique qui faisait une pause entre chaque mot, probablement pour mieux comprendre, retentit.

« – Ce n'est pas, un exercice. Ce n'est pas, un exercice. Des signes précurseurs, ont été observés. L'apparition, d'une déchirure spatial, est prédite. Les personnes à proximité, s'il-vous-plaît bougez dans le plus proche abris, immédiatement. Je répète --  »

A cet instant, le silence d'argent qui régnait dans la classe fut remplacer par le halètement des élèves.

– Une alerte à la déchirure spatiale.

Les pré-sentiments de tout le monde était confirmé.

« Hé hé … Sérieusement ? »

Tonomachi s'exprima d'une vois sèche tout en transpirant profondément.

Cependant, en terme de tension et d'anxiété, Shidou, Tonomachi et leur camarade de classe étaient relativement calme.

Du moins, aucun étudiant n'étaient en crise de panique.

Après que la ville eut été sévèrement endommagé il y a trente ans, les enfants comme Shidou était constamment entraîné au consigne d'évacuation depuis l'école maternelle.

En plus, c'était un lycée. Un abri souterrain pouvant abriter tous les élèves existé.

« L'abri est par là-bas. Si nous nous cachons calmement tout devrait bien se passer. »

« D-D'accord, c'est vrai. »

Tonomachi hocha sa tête au mots de Shidou.

Aussi rapide que possible sans courir, ils quittèrent la classe.

Le couloir était déjà rempli d'élèves, formant une ligne vers l'abri.

– Shidou froissa ses sourcils.

Il y avait une seule personne allant dans la direction opposé de la ligne – une étudiante était en train de courir vers la sortie.

« Tobiichi … ? »

C'est vrai, se précipitant hors du couloir avec sa jupe battante ce n'était que cette Tobiichi Origami.

« Hey ! Qu'est-ce que tu fais ! L'abri est dans l'autre direction – »

« Je vais bien »

Origami s’arrêta pendant un moment, ne disant que ça, et elle repris sa course.

« Bien … qu'est-ce que … ? »

Hébété, Shidou tourna sa tête et joignit la queue avec Tonomachi.

Il était un peu inquiet pour Origami, mais peut être à telle oublié quelque chose et est allé le chercher.

En effet, même si l'alerte a été déclenché, cela ne voulait pas dire qu'une déchirure spatiale va tout de suite se passer. Si elle revient rapidement elle sera en sécurité.

« C-Calmez-vous s'il-vous-plait ! Tout, va bien donc, doucement ! Rappelez-vous « okashi », O-Ka-Shi ! Ne pas pousser, ne pas courir, craaaane[11]  ! »

En face résonnait la voix de Tamae, qui dirigeait les élèves.

En même temps, quelque petit gloussement s'échappèrent des élèves.

« … Voir quelqu'un qui est encore plus nerveux que moi me calme sans aucune raison. »

« Ahh, je comprends un peu ce que tu veux dire. »

Shidou lança un petit rire, et Tonomachi en fit de même.

Confrontant un professeur qui n'apparaît pas du tout fiable comme Tama-chan, plutôt que de se sentir en danger, en réalité le stress des élèves semblait avoir chuté.

Et ainsi, Shidou se rappela de quelque chose, chercha dans sa poche et il en ressortit son téléphone portable.

« Hm ? Qu'est qu'il y a, Itsuka ? »

« Rien. 'xcuse moi un instant. »

Tout en évitant la question, il sélectionna le nom « Kotori Itsuka » dans son répertoire et appela.

« … Fais chier. Est-ce qu'elle a réussi à évacuer ? »

Si elle n'a pas encore quitté l'école tout devrez bien se passer.

Le problème est qu'il y avait la possibilité qu'elle a quitté l'école et qu'elle se dirige vers le restaurant.

En fait, il devrait y avoir des abris public proche, donc normalement il n'y a aucun problème … mais pour une raison inconnu Shidou ne pouvait pas se débarrasser de se mauvais présentement.

Ne faisant pas attention au fait que l’avertissement avait déjà été émis, pour une raison inconnu une image avec la silhouette de Kotori attendant Shidou comme un chiot obéissant apparut dans ses pensés.

Dans sa tête, les mots de Kotori, « C'est une promesse ! », tourbillonna et résonna.

« E-Et bien on avait bien fait une promesse absolue de se rejoindre là-bas même si une déchirure spatiale se passait, mais … même elle, elle ne sera pas aussi idiote … Oh, c'est vrai, j'ai ça. »

Le portable de Kotori devrait avoir la localisation GPS installé.

Manipulant son portable, il afficha une carte de la ville dans l'écran, dans lequel été affiché une icône rouge.

« ... » Voyant cela, la gorge de Shidou s'obstrua.

L'icône affichait la position de Kotori juste en face du restaurant familial où il devait déjeuner.

« Cette grosse idiote ... »

Jurant, il ferma d'un coup sec son portable sans quitter l'application, et s'échappa de la queue d'élève.

« H-Hey, où tu vas, Itsuka ! »

« Désolé ! J'ai oublié quelque chose ! Passe devant ! »

Répondant à Tonomachi tout en fessant face de l'autre coté, il courra vers la sortie en lutant contre le flux de la queue.

Ainsi Shidou changea rapidement ses chaussures et, ayant l'air de presque tomber en l'avant, il se précipita dehors.

Passant le portail de l'école, il dégringola la colline en face.

Courant aussi vite que possible, Shidou éleva un cri.

S'étalant dans le champs de vision de Shidou était une scène vraiment étrange.

Des routes sans aucune voiture qui circule, une ville dévoué de trace d'activité humaine.

Dans les rues, dans les parcs, même dans les supérettes, il n'y avait pas une seule personne.

La présence des gens qui étaient là il y a à peine quelque minute était toujours présente, mais leur silhouette avait disparus. C'était comme une scène d'un film d'horreur.

Depuis le désastre d'il y a trente ans, c'était ce Tenguu qui s'est prudemment redeveloppé tout en fessant face nerveusement aux déchirures spatiales. Qu'importe les lieux publics, même le pourcentage de famille ayant un abri était le plus haut du pays.

A cause des déchirures spatiales fréquentes récemment, les gens évacuaient rapidement.

Mais cependant …

« Pourquoi cette idiote ne bouge pas d'ici … ! »

Il lâcha un cri, puis ouvrit son portable tout en continuant de courir.

L'icône montrait que la position de Kotori n'avait pas changé.

Tout en décidant que la punition de Kotori serait une rafale déchaîné de pichenette au front, il continua de bouger ses pieds très vite vers le restaurant familial.

Il ne faisait rien pour réguler sa course. Juste il sprinta sans relâche vers le restaurant familial aussi vite qu'il le peut.

Ses pieds lui faisait mal, et le bout de ses doigts devinrent engourdi.

Sa tête était étourdi, sa gorge commença à se serrer, et un cliquetis pouvait être entendus depuis sa bouche.

Cependant, Shidou ne s’arrêta pas. Des choses comme le danger ou la fatigue ne parvenait pas à son cerveau, puisque il était rempli par la simple pensée de se rendre où était Kotori.

Mais–

« … ? »

Tout en courant, Shidou avait jeté un coup d’œil vers le haut. Il pensa qu'il a vu quelque chose bouger au bord de sa vision.

« Qu'est-ce que c'est … que ça ... »

Shidou plissa ses sourcils.

Il était trois … ou peut être quatre. Dans le ciel, des choses ressemblant à des humains était en train de flotter.

Mais, Shidou arrêta immédiatement de se préoccuper de ça.

La raison–

« Uwahhhh … !? »

Shidou couvrit instinctivement ses yeux.

La rue en face de lui est soudainement engloutit dans une lumière aveuglante.

Ce fut suivit d'une explosion assourdissant, et une féroce onde de choc attaqua Shidou.

« Qu'est-ce– »

Shidou se protégea la tête avec ses bras par réflexe et y mit toutes ses forces dans ses jambes mais c'était futile.

La force du vent qui était telle celle d'un énorme typhon le balaya en l'air et il dégringola plus loin derrière.

« Que … Qu'est-ce qui c'est passé nom de dieu … ? »

Tout en frottant ses yeux toujours vacillant, il se remit debout.

« –Huh– ? »

Voyant le paysage qui s'étendit à travers sa vision, Shidou lâcha un bruit stupéfait.

Après tout, la rue qui était en face de lui il y a quelque seconde, pendant le court instant où Shidou avait fermé ses yeux–

Sans laisser une trace, elle avait « disparu ».

« Qu-Qu'est-ce que c'est, que c'est-il passé nom de dieu, c'est ... »

Il bafouilla, dans la confusion.

Qu'importe la métaphore que vous utilisiez, ça ne serait pas une blague.

C'était comme si une météorite s'était écrasée.

Non, tout au contraire, c'était comme si tout sur terre avait totalement disparu.

La rue en face avait été raclé en un bol peu profond.

Et, au coin de la rue qui est devenu comme un cratère–

Il y avait quelque chose comme un amas de métaux qui s'éleva.

« Qu'est-ce que … ? »

A cause de la distance, il ne pouvait pas discerner les petits détails mais – il vit une forme qui ressemblait à quelque chose comme un trône où un roi dans un RPG s'assiérait.

Cependant, ce n'était pas le plus important.

Il y avait une fille vêtu d'une étrange tenue, qui semblait s'être levé sur le trône avec son pied sur l'accoudoir.

« Cette fille – pourquoi est-elle dans un tel lieu ? »

Il ne pouvait que vaguement voir, mais il pouvait distinguer ses long cheveux noir et sa jupe qui émettait une lueur mystérieuse.Quoique il n'avait sûrement pas faux à propos de son sexe.

La fille analysa nonchalamment la zone, tournant soudainement vers la direction de Shidou.

« Un … ? »

Elle remarqua Shidou … Probablement. C'était trop loin donc il ne pouvait pas vraiment savoir.

Pendant que Shidou s’interrogea dessus, la fille fit un mouvement supplémentaire.

Avec un mouvement ondulant, elle avait l'air d'avoir saisit un manche qui avait poussé de l'arrière du trône, et fut doucement retiré.

C'était – avec un large lame, une grosse épée.

Donnant un éclat irréel comme celui d'un arc-en-ciel, ou une étoile, c'était une bien étrange lame.

La fille agita l'épée, et la trace laissé dessina un chemin de lumière flou.

Et ensuite –

« Eh … !? »

La fille se mit en face de Shidou, et avec un grondement, elle balança fortement l'épée horizontalement.

Il baissa instantanément sa tête. Non, pour être plus précis, les jambes de Shidou, qui avaient jusqu'à présent supporté son corps, perdes de leur force, et du coup la position de son corps chuta.

« Qu'est-ce– »

La trace de l'épée passa à l'endroit où la tête de Shidou avait été.

Bien entendu, ce n'était pas une distance où l'épée pouvait physiquement l'avoir.

Cependant, il a vraiment –

« … Haaah– »

Avec ses yeux grands ouvert, Shidou tourna sa tête derrière lui.

Les maisons, les magasins, les arbres, les panneaux et ex-cetera, qui étaient derrière Shidou ont tous été réduits à la même taille en un instant.

Une seconde plus tard, le son de la destruction résonna comme un tonnerre lointain.

« Eeek … ?! »

C'était au-delà de la compréhension de Shidou. Tremblant, son cœur se resserra.

– Qu'est-ce que cela veut-il dire ?

La seule chose qu'il comprit fut que sa tête n'a pas était abaissé à l'instant, sinon il aurait été comme la scène derrière lui, raisonnablement rétrécit.

« A-Arrête de te moquer de moi … !"

Comme si il traîné un corps qui a était découpé à la taille, Shidou rampa derrière lui. Au plus tôt, aussi loin que possible, je dois m'échapper de cet endroit … !

Cependant.

« – Toi aussi … huh »

« … !? »

Une voix extrêmement fatigué retentit au-dessus de sa tête.

Sa vision, qui était laissé de coté, repris le dessus.

En face de lui se dressé une fille qui n'était pas là plus tôt.

C'est vrai, c'était la même fille qui de tenait au milieu du cratère jusqu'à présent.

« Ah– »

Involontairement, sa voix s’échappa.

Elle avait environ le même age que Shidou, ou peut être un peu plus jeune.

A l'intérieur de ses cheveux atteignant ses genoux, il y avait un visage qui était à la fois beau et noble.

En son centre, une paire d'yeux qui émettait un éclat mystérieux, un peu comme du cristal qui reflétait une variété de couleur dans toutes les directions, était préservé.

Sa tenue était très étrange. Ayant la forme d'une robe de princesse, elle était fait d'une matière qu'on ne pouvait distinguer du tissu ou du métal. En plus, sa couture, l'intérieur, sa jupe, et autre, était composé d'une couche mystérieuse de lumière qui n'avait même pas l'air d'être de la matière physique.

Et dans ses mains, elle était en train de tenir l'immense épée qui fessait à peu près sa taille.

L'anormalité de la situation.

L'étrangeté de son apparence.

La singularité de son existence.

N'importe lequel de ces choses était plus que suffisant pour attirer l'attention de Shidou.

Cependant.

Ouais, cependant.

La chose qui vola les yeux de Shidou n'était pas si impurs.

« – »

A ce moment.

La peur de la mort, même le besoin de respirer, furent oublié, tandis que ses yeux était scotché vers la fille.

C'était autant.

La fille, était juste trop intensément … Belle.

« –Quel est ... »

Hébété, Shidou parle pour le première fois.

Même si ma gorge et mes yeux doivent être détruit pour blasphème, il pensa.

La fille descendit lentement son regard.

« … Ton nom ? »

Sa voix, poussant la question du fin fond de son cœur, vacilla l'air.

Cependant.

« –Je n'ai rien de tel. »

Avec un triste regard, la fille lui répondit.

« -- »

C'est à ce moment-là. Le regard de Shidou et de la fille se croisèrent pour la première fois.

En même temps, la fille sans nom, avec une grande mélancolie, tout en ayant l'ère de vouloir pleurer, dégaina son épée un autre fois avec un bruit fessant 'kachiri'.

« Attends, attends, attends ! »

Avec ce petit bruit, ses tremblement réapparurent. Shidou cria sous le désespoir.

Mais la fille lança uniquement un regard confus à Shidou.

« … Quoi ? »

« Qu-Qu'est-ce que tu as l'intention de faire … !? »

« Évidemment – je vais rapidement te tuer. »

Entendant le fille répondre comme si de rien n'était, son visage devint bleu.

« P-Pourquoi … ! »

« Pourquoi … ? N'est-ce pas évident ? »

Avec un visage épuisé, la fille continua.

« – Après tout, tu n'es pas venu me tuer aussi ? »

« Huh … ? »

Faisant face à une réponse inattendue, la bouche de Shidou s'ouvrit grandement.

« … Il n'y a aucun moyen que je fasse ça. »

« – Quoi ? »

La fille regarda Shidou avec un mélange de surprise, de doute et de confusion.

Cependant, la fille détourna immédiatement son regard, tournant son visage vers le ciel.

Comme si y poussé aussi, Shidou regarda également vers le ciel –

« Quoooo … !? »

Ses yeux s'ouvrit encore plus largement qu'avant, son souffle coincé dans sa gorge.

Après tout, il y avait quelques humains habillé bizarrement qui flottaient dans le ciel – et en plus de ça, depuis les armes en leur mains, un grand nombre de chose ressemblant à des missiles furent tiré vers Shidou et la fille.

« W-Woaaaaaaaaaaaaah !? »

Instinctivement, il lâcha un cri.

Cependant – même après quelque secondes, Shidou était toujours en vie.

« Hein ? »

Stupéfait, sa voix s'échappa.

Les missiles qui furent lancé depuis le ciel flottaient sans bouger en l'air plusieurs mètres au-dessus de la fille, comme si ils étaient saisis par une main invisible.

La fille donna un soupir exaspéré.

« … Ce genre de chose est inutile, ils n’apprennent jamais rien. »

Disant cela, la fille leva la main qui ne tenait pas l'épée, et la serra fermement.

Ainsi, le nombre innombrable de missiles se déformèrent, comme si ils étaient compressé, et ils explosèrent là où ils étaient.

Même l'ampleur des explosions étaient terriblement petites. C'était comme si toute la puissance avait été absorbé à l'intérieur.

Il pouvait en quelque sorte comprendre la confusion de ces personnes flottant autour en l'air.

Cependant, ils n’arrêtèrent point leurs attaques. Un après l'autre, des missiles furent tiré.

« – Hmpf. »

La fille lança un autre léger soupir, faisant un tête qui donnait l'air que des larmes allait peu être sortir à tout moment.

C'était le même visage que quand elle avait dirigé son épée vers Shidou avant.

« – »

Voyant cette expression, Shidou sentit son cœur battre encore plus fort que quand il était sur le point de perdre sa vie.

Quel étrange scène c'était.

Qui était la fille, il n'avait aucune idée. Qui étaient les personnes en l'air, il n'avait aussi aucune idée.

Cependant, le fait que la fille était plus forte que ces gens volant en l'air, il avait au moins comprit

C'est pour ça qu'il pensa à peine à cette question :

Elle est la plus forte.

– Donc pourquoi est-elle en train de faire de genre de tête ?

« … Disparaissez, disparaissez. Tout et n'importe quoi … juste disparaissez … ! »

Tout en disant cela, elle dirigea l'épée qui dégagea une lueur aussi mystérieuse que ses yeux, en direction du ciel.

D'un pas lourd, d'un air triste, elle balança ingénument l'épée.

En un rien de temps – le vent hurla.

« … W-Wah … ! »

Une onde de choc féroce attaqua la zone, tandis que les taillades volèrent en direction du ciel le long de la lame.

Les personnes volant en l'air se pressèrent de l'esquiver, et abandonnèrent leur position.

Mais juste après, venant d'une autre direction, un rayon laser avec une énorme puissance de sortie fut tiré vers la fille.

« … ! »

Il se couvrit involontairement les yeux.

Sans surprise, le rayon laser semblait avoir toucher un mur invisible dans l'air autour de la fille et fut arrêté. Comme un feu d'artifice explosant dans un ciel nocturne, il se propagea dans toutes les directions, scintillant à la perfection.

Cependant, comme si le rayon laser avait continué, quelque chose atterri derrière Shidou.

« Q-Qu'est-ce qui se passe nom de dieu ... »

Depuis un bon bout de temps, Shidou n'avait pas réussit à comprendre quoique se soit de ce qui se passé à l'instant.

Il avait l'impression de regarder une mauvaise rêverie.

Cependant – voyant la silhouette qui vient juste d’atterrir, le corps de Shidou raidit.

C'était en train de porter un machine, ou quelque chose du genre.

Couvert de haut en bas d'une combinaison inhabituel était une fille.

Elle portait des gros propulseurs dans son dos, et une arme en forme de sac de golfe dans sa main.

La raison pour lequel le corps de Shidou se figea était simple. Il reconnut cette fille.

« Tobiichi … Origami … ? »

Il marmonna le nom que Tonomachi lui avait appris ce matin.

La fille avec un apparence trop mécanique était sa camarade de classe Origami.

Origami jeta un coup d’œil à Shidou.

« Itsuka Shidou … ? »

Comme une réponse, elle appela le nom de Shidou.

Bien qu'elle était surprise, son visage ne montra aucune expression. Cependant, c'était juste un peu, mais sa voix portait un ton perplexe.

« … Huh ? Qu-Qu'est-ce que tu fais avec cette combinaison– »

Il réalisa lui-même que c'était une question stupide, mais qu'après l'avoir dit.

Bouleversé par tout ce qui venait de se passer, il ne savait même plus pour quoi s'inquiéter.

Cependant, Tobiichi détourna rapidement son regard de Shidou, vers la fille en tenue.

Après tous,

« –Fmph »

La fille balança son épée de la même façon qu'avant vers Origami.

Origami se rua immédiatement, évitant les endroits où l'épée fut balancé, et se rapprocha de la fille à une vitesse incroyable.

Depuis le dessus de l'arme dans la main d'Origami, une lame faite de lumière avait apparu.

Visant la fille, Origami la balança en bas de toutes ses forces.

« –Ugh »

La fille unit légèrement ses sourcils, arrêtant le coup avec l'épée dans sa main.

– A ce moment.

Depuis l'endroit où les épées se croisèrent, une onde de choc violente fut crée.

« Wa-W-Waaaahhhhhhhh !? »

Avec un cri pitoyable, il se mit en boule et parvint d'une certaine manière à le supporter.

Origami fut repoussé, et pendant un moment elles se séparèrent et se lancèrent des regards furieux avec leur armes posé.

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« … »

« … »

Entourant Shidou, les regards fixes aiguisé de la mystérieuse fille et d'Origami se mélangèrent.

Ça pouvait vraiment être appelé une situation critique. Elles étaient dans un état où il semblerait que n'importe quel provocation provoquerai la continuation du combat.

« ... »

Shidou d'un autre coté se sentit mal à l'aise.

Transpirant au front, et en pensant qu'il doit s'échapper de cet endroit, il traîna doucement son corps horizontalement à travers le terrain.

Cependant, à ce moment, son téléphone portable dans son poche se mit soudainement à sonner avec une mélodie enjoué.

« – ! »

« – ! »

C'est devenu le signal.

La fille et Origami sautèrent du sol à peu près en même temps, s'affrontant pile en face de Shidou.

« Gyaaaaaaaah ! »

Affrontant l'écrasante pressure du vent, Shidou fut balayé sans pitié, et il s'évanouit après avoir frappé un mur.

Partie 3

« – Quel est la situation ? »

Portant une jupe et un uniforme militaire cramoisi suspendu à ses épaules comme une cape, une jeune fille entrait au pont et posa la question.

« Commandante »

Le type attendant à coté du siège du capitaine donna un salut aussi parfait que ceux que l'on pouvait voir dans des manuels militaires.

La fille qui fut appelé commandante n'y jeta qu'un coup d’œil, puis donna un coup de pied à l'orteil du type.

« Oww ! »

« Laisse tomber les salutations et explique la situation. »

Tout en disant ceci au type qui avait une expression tourmenté, ou plutôt, ravi, elle s'assit dans le siège du capitaine.

Le type se redressa immédiatement.

« Oui. L'attaque a commencé aussi tôt que 'l'Esprit' a apparu. »

« AST ? »

« On dirait. »

AST, Anti Spirit Team[12]

Portant des armures mécanique pour chasser les Esprits, attraper les Esprits, tuer les Esprits ; supérieur au humains, mais pas tout à fait au même niveau que des monstres ; ce sont des magiciens moderne.

En d'autre mots – la fait est que même être à un niveau super-humain n'était pas assez pour se battre sérieusement contre un Esprit.

La puissance des Esprits est d'une autre ampleur.

« – Nous avons confirmés dix personnes. En ce moment nous somme en train de suivre une, qui s'est engagé au combat. »

« Montrez-moi le visuel. »

Au mot de la commandante, des séquences en temps réel furent visible dans l'écran large du pont.

Dans une large rue autour de deux dalle du centre-ville, deux fille en train de se battre tout en agitant de grosse arme au alentour était montré.

Avec le choc des armes, des éclats de lumière s’échappaient, le sol se fissurait, et les bâtiments s’effondrait. Il était difficile de se dire que cette scène était réel.

« Elle est plutôt bonne. Mais bon, contre un Esprit elle ne va probablement pas faire grand chose. »

« C'est comme vous l'aviez dit, mais c'est aussi un fait que nous ne pouvons rien faire non plus. »

« ... »

La commandante leva son pied, et avec le talon de sa botte elle écrasa le pied du type.

« Guhgii ! »

Ignorant le type qui était en train de faire un visage extrêmement heureux, la commandante soupira rapidement.

« Je l'ai compris sans que tu me le disse. Je suis également fatigué de pouvoir seulement observer. »

« Donc, vous voulez dire que ... »

« Oui. La Table Ronde a enfin donné son accord. La plan commence maintenant. »

Avec ces mots, on pouvait entendre les membres de l'équipage dans le pont prendre un grand souffle.

« Kannazuki. »

La commandante s'inclina légèrement sur le dossier du siège, et la leva une petite main droite avec son index et son majeur tenu droit. C'était comme si elle demandait une cigarette.

« Oui, chef. »

Le type chercha rapidement dans sa poche, et tira une petite sucette. Il retira rapidement mais prudemment l'emballage.

Et puis, il s'agenouilla à coté de la commandante, et dit « bonne appétit » tandis qu'il plaça la sucette entre les deux doigts de la commandante.

La commandante la mit dans sa bouche, et le bâton commença à bouger de haut en bas.

« … Ahh, maintenant que j'y pense, ou est notre importante 'arme secrète' ? Il n'a pas répondu au téléphone tout à l'heure. Je me demande si il est correctement allé dans un abris ? »

« Laissez-moi enquêter – et, huh ? »

Le type tordit son cou, perplexe.

« Qu'est-ce qu'il y a ? »

« Eh bien, ça. »

Le type pointa l'image. La commandante déplaça son regard là-bas – « ah », elle fit un petit bruit.

A coté de la bataille entre l'Esprit et le membre de l'AST, la silhouette d'un garçon habillé d'un uniforme scolaire était étalé.

« … Pile au bon moment. Allez le récupérer. »

« Bien reçu. »

Le type donna une autre révérence poli.

Note de Traduction

  1. ou séisme spatial, tremblement de l'espace, ect... le terme "spacequake" étant impossible à traduire correctement en français
  2. L'équivalent de la 1ère au Japon
  3. Au Japon, on dit d'abord le nom d'une personne et ensuite son prénom
  4. http://fr.wikipedia.org/wiki/Perg%C3%A9lisol
  5. Sort de glace dans Dragon Quest
  6. Fille fan d'histoire d'homme homosexuel
  7. http://www.collectiondx.com/files/category_pictures/glico-logo-new3.gif
  8. Il y a longtemps était dit dans un célèbre forum japonais (2ch) que si vous restez vierge jusqu'à vos 30 ans, vous devenez magicien
  9. C'est l'équivalent de la 4ème au Japon
  10. C'est un jeu de mot
  11. O de 'Osanai', Ka de 'Kakenai' et Sha de 'Shaberanai'. Tamae confond 'Shaberanai' avec 'Sharekoube'
  12. Equipe Anti-Esprit