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Talk:Spice and Wolf Tome 1 Acte 1
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== Commentaires de Kira == 1. Je peux offrir une traduction du Chinois, et rectifier des fautes en Français, mais pas en Japonais. Cependant, ăăăăăŁăĄăäžćæă»ă»ă»ăăăŸăăăæŻćșŠă©ăăă *«Ouais, '''sâ'''en en fais... exactement 70 morceaux. Comme toujours, câest un plaisir». Le s' devrait ĂȘtre un c', entre la virgule et en. * Les livres sont en Japonais, mais la contribution en français va ĂȘtre utile, parce que je me concentre beaucoup plus sur la traduction que la grammaire, en fesant tout Ă la fois attention. et je corrige par '''ça en''' vu que j'ai du faire la faute Ă cause que j'ai Ă©cris vite cette phrase et Ă l'oral, ça peut sonner comme un '''s'en'''. *ăăăȘăă€ăăźăăćăăăăăăć±±ć„„ăźæăćșçșăăăźăŻăăăăäșæéăćă ă(1) LâĂ©change se fit comme Ă lâhabitude et cinq heures câĂ©tais Ă©coulĂ© depuis son dĂ©part du village au fin fond des montagnes. Kira: En Chinois, j'ai: Ă la fin de l'Ă©change, comme d'habitude, il s'est Ă©croulĂ© cinq heures depuis que je me suis Ă©loignĂ© du village dans les fins finds des montagnes. Glatiatorixx: Je ne sais pas pour le mandarin, mais en japonais, je ne lis aucun «à la fin» (et ses similaires) dans la phrase japonaise. ======ăă©ă©ăł====== Bonjour. Voici ma trad de la premiĂšre partie du chapitre 01, si vous trouvez ça acceptable je pourrais mettre la suite au fur et Ă mesure (soyez indulgents c'est ma premiĂšre trad). J'ai privilĂ©giĂ© l'esprit du texte plutĂŽt qu'une traduction trop littĂ©rale "Alors, c'est la derniĂšre?" "Hmm, on dirait... soixante-dix peaux, Ă vue de nez. C'est toujours un plaisir." "Hey, un moment. Vous ĂȘtes le seul Ă venir aussi loin dans les montagnes Lawrence. C'est plutĂŽt moi qui devrait vous remercier." "Ah, mais pour ma peine j'ai obtenu de trĂšs belles peaux. Je reviendrai." Une fois Ă©changĂ©es les plaisanteries d'usage, Lawrence pu quitter le village aux alentours de cinq heure du matin. Le soleil se levait tout juste lors de son dĂ©part, et Ă midi il quittait les montagnes pour entrer dans les plaines. Il faisait beau; il n'y avait pas de vent. C'Ă©tait une journĂ©e parfaite pour somnoler dans la charrette pendant qu'il traversait les plaines. Il lui semblait absurde d'avoir ressentit rĂ©cemment le froid de l'hiver qui approchait. C'Ă©tait la septiĂšme annĂ©e de Lawrence en tant que marchand itinĂ©rant, et la vingt-cinquiĂšme depuis sa naissance. Il poussa un Ă©norme bĂąillement dans le compartiment du conducteur. Il y avait peu de plantes ou d'arbres de taille notable, de sorte qu'il avait une vue dĂ©gagĂ©e. A l'extrĂȘme limite de son champ de vision, il pouvait voir un monastĂšre qui avait Ă©tĂ© bĂąti quelques annĂ©es plus tĂŽt. Il ne savait pas quel jeune noble Ă©tait cloĂźtrĂ© dans ce lieu Ă©loignĂ©. La maçonnerie du bĂątiment Ă©tait magnifique, et Ă©tonnement il y avait mĂȘme un portail en fer. Lawrence croyait se souvenir qu'environ vingt moines vivaient ici, assistĂ©s du mĂȘme nombre de valets. Au dĂ©but de la construction du monastĂšre, Lawrence avait prĂ©vu d'en faire de nouveaux clients; cependant les moines furent en mesure de garantir leur approvisionnement sans recourir Ă des marchands indĂ©pendants, ainsi, ses rĂȘves s'Ă©taient envolĂ©s. Il est vrai que les moines vivaient simplement, labourant leurs champs, de sorte que commercer avec eux n'aurait pas Ă©tĂ© particuliĂšrement rentable. Il y avait un autre problĂšme dans le sens oĂč ils auraient sans doute sollicitĂ© des dons et auraient laissĂ© leurs factures impayĂ©es. Concernant le commerce, ils Ă©taient des partenaires pires que de parfaits voleurs. Cependant, parfois commercer avec eux s'avĂ©rait pratique. Par consĂ©quent Lawrence regarda en direction du monastĂšre avec quelques regrets, mais alors ses yeux se plissĂšrent. Depuis la direction du monastĂšre, quelqu'un lui faisait signe. "Qu'est-ce?" La silhouette ne ressemblait pas Ă un valet. Ils portaient des vĂȘtements de travail brun foncĂ©. La silhouette qui saluait Ă©tait vĂȘtue d'habits gris. Son approche dĂ©libĂ©rĂ©e signifiait certainement quelques ennuis, mais l'ignorer aurait pu aggraver les choses dans le futur. Lawrence fit faire demi-tour Ă son cheval en direction de la silhouette. Sans doute aprĂšs avoir rĂ©alisĂ© que Lawrence se dirigeait maintenant dans sa direction, la silhouette arrĂȘta de faire des signes mais ne s'approcha pas. Il semblait attendre l'arrivĂ©e de la charrette. Ce ne serait pas la premiĂšre fois qu'une personne liĂ©e Ă l'Ăglise ferait preuve d'arrogance. Lawrence n'Ă©tait pas d'humeur Ă prendre ce genre d'insulte personnellement. Comme il approchait du monastĂšre et que la silhouette devenait plus nette, Lawrence murmura pour lui-mĂȘme: "...un chevalier?" Il avait d'abord repoussĂ© une idĂ©e aussi ridicule, mais alors qu'il approchait il vit qu'il s'agissait sans aucun doute d'un chevalier. Les vĂȘtements gris Ă©taient en fait une armure argentĂ©e. "Vous, lĂ -bas! Que faĂźtes vous ici?" La distance entre eux Ă©tait encore trop grande pour pouvoir parler, ce qui explique pourquoi le chevalier avait criĂ©. Il ne semblait pas ressentir le besoin de se prĂ©senter, comme si ce qu'il faisait lĂ Ă©tait Ă©vident. "Je suis Lawrence, un marchand itinĂ©rant. Auriez-vous besoin de mes services?" Le monastĂšre Ă©tait Ă prĂ©sent juste devant lui. Il Ă©tait assez proche pour compter le nombre de serviteurs travaillant dans les champs au Sud. Il remarqua Ă©galement que le chevalier devant lui n'Ă©tait pas seul. Il y en avait un autre dans le monastĂšre, montant probablement la garde. "Un marchand? Il n'y a pas de ville dans la direction d'oĂč vous venez, marchand," dit le chevalier avec hauteur, bombant le torse comme pour exhiber la croix dorĂ©e qui y Ă©tait gravĂ©e. Mais le manteau couvrant ses Ă©paules Ă©tait gris, indiquant un chevalier de bas rang. Ses cheveux blonds avaient l'air d'avoir Ă©tĂ© fraichement coupĂ©s, et son corps ne ressemblait pas Ă celui de quelqu'un ayant traversĂ© de nombreuses batailles; donc son arrogance Ă©tait celle d'un jeune chevalier. Il Ă©tait important de traiter avec de tels individus prudemment. Ils avaient tendance Ă s'Ă©nerver. Donc au lieu de rĂ©pondre, Lawrence sorti un sac en cuir de la poche de sa chemise et dĂ©fit lentement la ficelle qui le maintenait fermĂ©. A l'intĂ©rieur il y avait des bonbons Ă base de miel cristallisĂ©. Il en prit un et l'expĂ©dia dans sa bouche, puis tendit le sac ouvert au chevalier. "Vous en voulez un?" "Mmm," dit le chevalier, hĂ©sitant un instant avant que son dĂ©sir de sucrerie ne l'emporte. Pourtant, peut-ĂȘtre Ă cause de son statut de chevalier, il s'Ă©coula un long moment entre son hochement de tĂȘte et l'instant oĂč il prit un morceau de miel. "A une demi-journĂ©e de voyage Ă l'Est d'ici il y a un petit village dans les montagnes. J'ai vendu du sel lĂ -bas." "Ah. Je vois qu'il y a un chargement dans vĂŽtre chariot. Du sel aussi?" "Non, des fourrures. Regardez," dit Lawrence, se retournant et enlevant la bĂąche qui couvrait sa cargaison, rĂ©vĂ©lant un tas de magnifiques peaux de martres. Une annĂ©e de salaire du chevalier face Ă lui Ă©tait dĂ©risoire en comparaison de sa valeur. "Mm. Et ça?" "Ah, c'est du blĂ© qu'on m'a donnĂ© au village." La gerbe de blĂ© dans le coin de la montagne de fourrures avait Ă©tĂ© rĂ©coltĂ©e dans le village oĂč Lawrence avait vendu son sel. Il Ă©tait rĂ©sistant au froid et aux insectes. Il avait prĂ©vu de le vendre dans le Nord-Ouest, oĂč les cultures avaient subit de lourds dĂ©gĂąts Ă cause du gel. "Hm. TrĂšs bien. Vous pouvez passer." C'Ă©tait une Ă©trange façon de parler de la part de quelqu'un qui l'avait convoquĂ© de façon si arbitraire un peu plus tĂŽt, mais si Lawrence avait humblement dit, "Oui, monsieur," Ă cet instant, il aurait Ă©tĂ© un marchand avisĂ©. "Alors, Ă quelle occasion ĂȘtes-vous en poste ici, sire chevalier?" Le front du chevalier se plissa de consternation Ă cette question et se rida encore plus en regardant le sac de morceaux de miel. Il Ă©tait bel et bien ferrĂ© Ă prĂ©sent. Lawrence dĂ©lia la ficelle qui fermait le sac et en sorti une autre douceur, qu'il donna au chevalier. "Mmm. DĂ©licieux. Je vous remercie." Le chevalier Ă©tait devenu raisonnable. Lawrence inclina la tĂȘte avec reconnaissance, utilisant son meilleur sourire commercial. "Les moines ont eu vent qu'un grand festival paĂŻen allait avoir lieu. D'oĂč le renforcement de la garde. Savez-vous quoi que ce soit Ă propos de cette fĂȘte?" Si son visage avait trahi le moindre indice de son dĂ©pit face Ă l'explication, qualifier cela de performance de troisiĂšme ordre aurai Ă©tĂ© gĂ©nĂ©reux. Donc Lawrence affecta seulement un air peinĂ© et rĂ©pondit, "HĂ©las, je ne sais rien." C'Ă©tait bien sĂ»r un Ă©norme mensonge, mais le chevalier Ă©tait tout autant dans l'erreur, alors il n'y avait rien Ă y faire. "Peut-ĂȘtre qu'il est vrai qu'il se dĂ©roule en secret, en fin de compte. Les paĂŻens sont extrĂȘmement couards, aprĂšs tout." Le chevalier Ă©tait tellement dans l'erreur que c'en Ă©tait amusant, mais Lawrence acquiesça simplement et pris congĂ©. Le chevalier hocha la tĂȘte et le remercia pour les bonbons au miel. Aucun doute qu'ils aient Ă©tĂ© dĂ©licieux. La majoritĂ© de l'argent d'un chevalier partant en Ă©quipement et en logement; mĂȘme un apprenti cordonnier vivait une vie meilleure. Il y avait certainement longtemps que le chevalier n'avait rien mangĂ© d'aussi doux. Non pas que Lawrence ai eu l'intention de lui en donner un autre. "Tout de mĂȘme, une fĂȘte paĂŻenne, ont-ils dit?" Lawrence rĂ©pĂ©ta pour lui-mĂȘme les mots du chevalier une fois le monastĂšre loin derriĂšre lui. Lawrence avait une petite idĂ©e de ce dont parlait le chevalier. En fait, n'importe qui dans la rĂ©gion devait le savoir. Mais ce n'Ă©tait pas une "fĂȘte paĂŻenne". PremiĂšrement, les vĂ©ritables paĂŻens Ă©taient plus au Nord, ou plus Ă l'Est. Le festival qui se dĂ©roulait ici Ă©tait loin d'ĂȘtre une chose nĂ©cessitant des gardes pour s'en protĂ©ger. C'Ă©tait une simple fĂȘte des moissons, du mĂȘme genre qu'on pouvait trouver Ă peu prĂȘt partout. Certes, le festival de cette rĂ©gion Ă©tait un peu plus grand que les cĂ©lĂ©brations habituelles, ce qui expliquait probablement pourquoi le monastĂšre le surveillait et en avait informĂ© la ville. L'Ăglise avait longtemps Ă©tĂ© incapable de garder le contrĂŽle de la rĂ©gion, ces Ă©vĂ©nements devaient certainement la rendre nerveuse. En effet, l'Ăglise s'Ă©tait empressĂ©e d'organiser des inquisitions et de convertir les paĂŻens, et les altercations entre philosophes animistes et thĂ©ologiens Ă©taient loin d'ĂȘtre rares en ville. Le temps oĂč l'Ăglise pouvait imposer une soumission inconditionnelle Ă la population Ă©tait rĂ©volu. La dignitĂ© de l'institution avait commencĂ© Ă s'effriter â mĂȘme si les habitants des citĂ©s ne disaient rien, tous commençaient Ă s'en rendre compte. En rĂ©alitĂ©, le pape avait rĂ©cemment dĂ» adresser une demande de fonds aux monarques de plusieurs nations, la dĂźme ayant rapportĂ© moins que prĂ©vu. Une telle histoire aurait paru grotesque Ă peine dix ans plus tĂŽt. Ainsi, l'Ăglise dĂ©sespĂ©rait de regagner son autoritĂ©. "Le commerce va en souffrir partout," dit Lawrence avec un sourire triste, tout en expĂ©diant un autre bonbon au miel dans sa bouche. Les cieux Ă l'Ouest avaient une teinte dorĂ©e plus belle que celle du blĂ© dans les champs lorsque Lawrence arriva dans les plaines. Au loin des oiseaux n'Ă©taient plus que de minuscules ombres se hĂątant pour rentrer chez elles, et ici et lĂ les grenouilles commencĂšrent Ă chanter leur berceuse. Il semblait que les champs de blĂ© avaient Ă©tĂ© en majeure partie moissonnĂ©s, de sorte que le festival allait sans aucun doute bientĂŽt commencer â peut-ĂȘtre mĂȘme dĂšs le surlendemain. Devant Lawrence s'Ă©talaient les fertiles champs de blĂ© du village de Pasloe. Plus les rĂ©coltes sont abondantes, plus les villageois sont prospĂšres. En outre, le noble qui gĂšre le pays, un certain Comte Ehrendott, Ă©tait un excentrique cĂ©lĂšbre dans la rĂ©gion qui adorait travailler lui-mĂȘme dans les champs. Naturellement le festival profitait Ă©galement de son soutien, et chaque annĂ©e il y avait profusion de vin et de chants. Lawrence n'y avait jamais assistĂ©, cependant. Malheureusement, les Ă©trangers n'Ă©taient pas autorisĂ©s. "Ho lĂ , beau travail!" Lawrence s'adressait Ă un fermier conduisant un chariot rempli Ă ras bord de blĂ© au coin de l'un des champs. Le blĂ© Ă©tait bien mĂ»r. Ceux qui avaient investi dans l'avenir du blĂ© pourraient pousser un soupir de soulagement. "Qu'y y-a-t'il?" "Pourriez-vous m'indiquer oĂč trouver Yarei?" demanda Lawrence. "Oh, Yarei devrait ĂȘtre par lĂ â vous voyez oĂč la foule est rassemblĂ©e? Ce champ. Il n'y a que des jeunes lĂ -bas cette annĂ©e. Le plus lent deviendra Holo!" dit le fermier avec bonne humeur, son visage bronzĂ© souriant. C'Ă©tait le genre de sourire franc qu'un marchand ne pourrait jamais arborer. Lawrence remercia le fermier avec son plus beau sourire commercial, puis dirigea son cheval vers le lieu oĂč se trouvait Yarei. Comme le fermier l'avait dit, une foule s'Ă©tait rassemblĂ©e en bordure, et ils criaient quelque chose. Ils semblaient se moquer des quelques personnes travaillant encore dans le champs, mais il n'y avait rien de drĂŽle Ă leur retard. Les railleries faisaient partie du festival. Alors que Lawrence s'approchait nonchalamment de l'attroupement, il fut en mesure de discerner leur cri. "Au loup! Au loup!" "Un loup est ici!" "Qui sera le dernier et attrapera le loup? Qui, qui, qui?" criĂšrent les villageois, leurs visages tellement heureux qu'on les auraient cru ivres. Aucun d'entre eux n'avait remarquĂ© Lawrence amenant sa charrette derriĂšre la foule. Ce qu'ils nommaient avec autant d'enthousiasme un loup n'en Ă©tait en fait pas du tout un. Eu t'il Ă©tĂ© rĂ©el, personne n'aurai rit. Le loup Ă©tait le dieu des moissons, et selon la lĂ©gende du village, il vivait dans la derniĂšre tige de blĂ© Ă ĂȘtre rĂ©coltĂ©e. Il Ă©tait dit que quiconque couperait la tige serait possĂ©dĂ© par le loup. "C'est le dernier tas!" "Rappelez-vous, ne coupez pas trop loin!" "Holo fuit la main avide!" "Qui, qui, qui attrapera le loup?" "C'est Yarei! Yarei, Yarei, Yarei!" Lawrence descendit de sa charrette et regarda la foule au moment oĂč Yarei pris la derniĂšre tige de blĂ©. Son visage Ă©tait noir de sueur et de terre comme il souriait en brandissant haut le blĂ©, il pencha la tĂȘte en arriĂšre, et hurla. "Awooooooo!" "C'est Holo! Holo, Holo, Holo!" "Awooooooo!" "Holo le loup est lĂ ! Holo le loup est lĂ !" "Attrapez le, maintenant! Attrapez le vite!" "Ne le laissez pas s'Ă©chapper!" Les hommes qui hurlaient se lancĂšrent tout Ă coup Ă la poursuite de Yarei. Le dieu des moissons abondantes, une fois acculĂ©, devait possĂ©der un humain et tenter de s'Ă©chapper. Le capturer signifiait qu'il resterait une annĂ©e supplĂ©mentaire. Aucun ne savait si ce dieu existait vraiment. Mais c'Ă©tait une vieille tradition dans le coin. Lawrence avait beaucoup voyagĂ©, ainsi il ne misait pas sur les enseignements de l'Ăglise, mais sa foi en la superstition Ă©tait plus grande encore que celle des fermiers d'ici. Trop souvent avait-il traversĂ© des montagnes uniquement pour arriver Ă des villes et y trouver que le prix de ses marchandises avait chutĂ© prĂ©cipitamment. C'Ă©tait suffisant pour rendre n'importe qui superstitieux. C'est pourquoi il n'avait pas bronchĂ© face Ă des traditions que de vrais croyants ou des dignitaires de l'Ăglise auraient trouvĂ© scandaleuses. Mais il Ă©tait gĂȘnant que Yarei soit Holo cette annĂ©e. A prĂ©sent Yarei allait ĂȘtre enfermĂ© dans un grenier rempli de friandises jusqu'Ă la fin du festival â prĂšs d'une semaine â et il serait impossible de lui parler. "Je suppose qu'on y peut rien..." dit Lawrence, soupirant comme il retournait Ă sa charrette pour se rendre Ă la demeure du chef du village. Il aurait voulu dĂ©guster quelques verres avec Yarei et discuter des Ă©vĂšnements au monastĂšre, mais s'il ne pouvait pas vendre les fourrures empilĂ©es sur le plancher de sa charrette, il ne serait pas en mesure de payer les marchandises achetĂ©es ailleurs lorsque les marchandises arriveraient Ă Ă©chĂ©ance. Il dĂ©sirait Ă©galement vendre le blĂ© qu'il avait emportĂ© de l'autre village et ne pouvait se permettre d'attendre la fin du festival. Lawrence parla briĂšvement des Ă©vĂšnements de la mi-journĂ©e qui avaient eu lieu au monastĂšre avec le chef du village, lequel Ă©tait occupĂ© Ă la prĂ©paration du festival. Il dĂ©clina poliment l'offre de rester pour la nuit et laissa le village derriĂšre lui. Des annĂ©es avant que le Comte ne commence Ă gĂ©rer la rĂ©gion, elle avait souffert de lourdes taxes qui avaient augmentĂ© les prix de ses exportations. Lawrence avait achetĂ© une partie de ce blĂ© au prix dĂ©favorable et l'avait vendu pour un faible profit. Il ne l'avait pas fait pour gagner la faveur du village, mais plutĂŽt parce qu'il n'avait simplement pas les ressources nĂ©cessaires pour rivaliser avec les autres marchands pour un grain moins cher et plus fin. NĂ©anmoins, le village Ă©tait toujours reconnaissant pour l'affaire d'alors, et Yarei avait Ă©tĂ© l'intermĂ©diaire de la transaction. Il Ă©tait regrettable qu'il n'ai pu prendre un verre avec Yarei, mais une fois Holo apparu, Lawrence aurait bientĂŽt Ă©tĂ© chassĂ© du village alors que le festival serait arrivĂ© Ă son apogĂ©e. S'il y avait passĂ© la nuit, il n'aurait pas Ă©tĂ© en mesure de rester longtemps. Assis dans son chariot, Lawrence se senti seul et exclu. Grignotant quelques lĂ©gumes qui lui avaient Ă©tĂ© donnĂ© en guise de souvenir, il pris la route de l'Ouest, croisant des fermiers joyeux de retour de leur journĂ©e de labeur. De retour Ă son voyage solitaire, Lawrence envia les fermiers avec leurs amis. __________ Si j'avais vu ça plus tĂŽt, ça m'aurait Ă©conomisĂ© quelques jours de travail ^^' On a quasiment la mĂȘme traduction sur cette premiĂšre partie... Bon, la mienne doit encore subir mon Ă©dition et donc va pas mal changer : je prends des libertĂ©s Ă l'Ă©dition pour franciser au maximum, en gĂ©nĂ©ral. [[User:Lery|Lery]] ([[User talk:Lery|talk]]), 12 March 2013
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