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Kagerou Days : Tome 1 Chapitre 1
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=Ennemie Artificiel= ==Partie 1 Ë== Je me rĂ©veillai au son d'une sirĂšne. Tout d'un coup, mon cĆur commença Ă battre la chamade. Je regardai vers le haut pour voir le plafond au-dessus de moi. Incapable de comprendre la situation dans sa totalitĂ©, je tombai de mon lit, me cognant sur une petite table. « âŠâŠAh !» Je me fis mal, la douleur calcinante arrivant Ă mon cerveau quelque moment plus tard. Alors que mes yeux s'emplissaient de larmes de douleur et de peur Ă cause du son explosif, je ramassai le Futon qui Ă©tait tombĂ© avec moi, et alors que je l'entourai autour de mon corps, le son de la sirĂšne sâarrĂȘta. « Bonjour, maĂźtre.» Le moment oĂč j'entendis ce bruit, je saisis entiĂšrement la situation dans laquelle je me trouvais. Il y avait moiâKisaragi Shintaro les larmes aux yeuxâ dans une position Ă©trange, ne portant qu'un caleçon, un Futon entourĂ© autour de moi, et une fille âEneâ regardant de l'intĂ©rieur de lâĂ©cran, les larmes aux yeux, essayant de retenir son rire. âââ Une journĂ©e dâĂ©tĂ©, calcinante. Pas si longtemps, la sociĂ©tĂ© ne parlait que de la fin du monde et des choses du mĂȘme genre. Des chutes de mĂ©tĂ©orite, de la chute de la civilisation Maya, etc. Maintenant, les nouvelles les plus importantes Ă©taient des sujets paisibles comme, « Il a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© que lâidole ultra populaire jouera dans sa premiĂšre sĂ©rie TV !» Pour quelqu'un comme moi, dont le boulot Ă©tait dâĂȘtre extraordinairement bien informĂ© des informations les plus populaires, et qui avait combattu dans le front dans les discussions enflammĂ©es sur la polĂ©mique de lâapocalypse sur Internet, je dois dire que les sujets actuels sont beaucoup moins fun, moins intĂ©ressant. Mon job Ă©tait celui d'un lycĂ©en ordinaire de dix-huit ans. En ce temps, je mâĂ©tais confinĂ© volontairement tout en Ă©changeant des commentaires avec les habitants de l'Internet. Et pendant mon temps libre, je protĂ©geai ma maison, comme un garde. Et pour mon boulot, j'ai commencĂ© Ă faire de la musique amateur, et d'un autre cĂŽtĂ©, je laissai toujours des commentaires d'amour, et des critiques, sur les nouvelles vidĂ©o d'un certain site de vidĂ©o. J'ai fait ce boulot pendant plus de deux ans dĂ©jĂ . Et... je n'ai encore rien fait de concret. Mais aujourd'hui, jâĂ©tais inhabituellement motivĂ© ! Assis devant mon ordinateur, je mangeai le sandwich que ma mĂšre m'avait donnĂ© ce matin tout en jetant un regard noir au logiciel d'enregistrement sur mon Ă©cran. Mon but Ă©tait dâĂȘtre Ă la premiĂšre place dans un certain site de vidĂ©o, puis une sonnerie pour tĂ©lĂ©phone et la distribuer ensuite Ă des karaokĂ©s, et finalement un album.... ! AprĂšs que tout ce que j'ai dit fut fait, je voulais devenir quelqu'un de reconnu, d'important. Normalement, cette grande ambition Ă©tait vaine, et au bout de dix minutes, elle tomberai en ruine, critiquĂ© par tous*. Ă l'exception de l'amour de ma mĂšre qui se trouvait dans ce sandwich, je me demandais quel ingrĂ©dient spĂ©cial il contenait. Comme si Dieu Ă©tait descendu, l'effusion de phrases continua. « Ăa ... ça se vendra Ă coup sĂ»r !!» Je dis Ă haute voix, et me remis Ă travailler sur le logiciel. MĂȘme si j'arrivai bien Ă composer quelque chose, jâĂ©tais rempli de peur. Depuis tout Ă l'heure, quelque chose que je qualifierai de " virus " virevoltait Ă lâintĂ©rieur de mon Ă©cran, comme s'il voulait interfĂ©rer avec mon travail. « On dirait qu'il va faire extrĂȘmement chaud aujourdâhui. Wow ! La tempĂ©rature maximale prĂ©vue est de 35°C au centre de Tokyo.! » « Quoi ? Il paraĂźt qu'il y a dĂ©jĂ des personnes, au centre de Tokyo, qui ont Ă©tĂ© transportĂ©es Ă cause de coup de chaleur. MaĂźtre, quand tu sors, tu ne dois pas oublier de prendre des mesures pour t'en protĂ©ger !» Je suis incapable de comprendre la raison qui pousse quelqu'un Ă sortir par un temps pareil. OĂč devrais-je dire, je suis incapable de comprendre la raison pour laquelle quelqu'un sort de chez lui? « Oh, et Ă propos de la sirĂšne d'aujourd'hui, c'est une alerte utilisĂ©e dans un certain pays pour les menaces de niveau 4 ou supĂ©rieur. J'ai augmentĂ© la frĂ©quence au niveau que MaĂźtre haĂŻ le plus â » « Que veux-tu dire par " la sirĂšne d'aujourd'hui " ! Tu en as prĂ©vu une pour demain aussi ?! ...... Ah.» Je n'aurai pas dĂ» le dire... Je le sens mal. Se dĂ©plaçant de droite Ă gauche dans lâĂ©cran, elle sâarrĂȘta soudainement aprĂšs avoir parlĂ© de la mĂ©tĂ©o. Elle s'approcha de lâĂ©cran le sourire aux lĂšvres, comme pour dire " Bingo ! " et elle continua joyeusement. « Oh, c'est gĂąchĂ© maintenant, n'est-ce pas ~? Dans ce cas, je vais devoir prĂ©parer quelque chose d'encore plus excitant pour demain ! Oh non, tu n'as pas besoin de me payer, puisque tu es mon invitĂ©.» « Qu'est-ce que tu es, une sorte de vendeur !? N'ai-je pas eu ce bleu Ă cause de toi ? N'est-ce pas Ă cause de cet accident que je suis blessĂ© ?! Et alors, qu'elle laissa Ă©chapper un rire menaçant tout en frottant ses mains, je pointai du doigt mon lamentable bleu, me rĂ©fĂ©rant Ă lui dĂ©sespĂ©ramment. Mais tout ce que je fis Ă©tait vain contre elle, un point d'interrogation apparut au-dessus d'elle, elle pencha juste sa tĂȘte sur le cotĂ© tout en arborant un visage innocent. Le 14 aoĂ»t Ă trois heures de lâaprĂšs-midi. Le son de la sirĂšne qui rĂ©sonna dans toute la maison avait mĂȘme rĂ©veillĂ© ma mĂšre. Alors que ma mĂšre vint en courant dans ma chambre, la premiĂšre chose que ses yeux rencontrĂšrent fut " la jolie fille " sur mon Ă©cran, cependant les cris de colĂšre eux dirigĂ©e vers son fils. Les cris de colĂšre qui rĂ©sonnĂšrent semblaient pouvoir dĂ©ranger les voisins plus que ne le pouvait la sirĂšne. Et comme je le pensais, je vis un poing serrĂ© devant mes yeux, et ensuite on Ă©tait le lendemain. Et c'est comme cela que je suis arrivĂ© au moment prĂ©sent. Je ne mâĂ©tais pas regardĂ© dans un miroir mais jâĂ©tais sĂ»r que j'avais maintenant des marques de bleu sur mon visage, aussi. « Fiche moi la paix, sĂ©rieusement... Qu'est-ce que je ferai si mon ordinateur se casse... ? Je mourrai sĂ»rement.» « Aw, MaĂźtre, que c'est gentil de votre part de vous inquiĂ©ter de moi avant de vous-mĂȘme ! Vous ĂȘtes directement venu me voir quand vous vous ĂȘtes rĂ©veillĂ© ce matin, aussi, non !? Pendant que ses yeux Ă©tincelaient, comme dans un vieux (manga) Shoujo, elle zooma en avant pour remplir tout lâĂ©cran, je criai, encore une fois, furieusement contre elle. « Je me suis levĂ© tĂŽt, exprĂšs pour te supprimer !! Aussi, si je perds mon ordinateur, je vais vraiment mourir !! « Oh, vous ĂȘtes juste modeste... MaĂźtre est tellement un gentleman.... Et il est si ravissant ! Elle nâĂ©coutait pas. Elle nâĂ©coutait vraiment pas. J'en ai vraiment marre de ça. Comment les choses sont devenues comme ça..... Il y a de cela un an environ, un mystĂ©rieux mail arriva d'un expĂ©diteur anonyme. Je ne savais que cela en ce temps-lĂ , mais aprĂšs que je lâeus ouvert, ma vie est devenue si oppressante que cela en devenait presque ridicule. DĂšs que "elle", qui Ă©tait cachĂ© dans les donnĂ©es de lâĂ©mail, infiltra mon ordinateur, tout ce qu'il y avait dans le terminal fut occupĂ© en un instant. Ă cette Ă©poque je ne savais pas ce qui sâĂ©tait passĂ©. J'ignorai la fenĂȘtre de lâapplication, et au moment oĂč je pensai avoir vu une forme gĂ©omĂ©trique sâĂ©tendre sur tout le bureau, une magnifique fille, ayant des nattes avec ses cheveux bleus, se matĂ©rialisa, son corps entier brillant d'une faible lumiĂšre. Sur le moment, je pensai qu'elle Ă©tait assez " mignonne ". Il y a eu ce moment, oĂč je le pensais. Oui, il y avait, certainement, ce moment Elle, qui venait d'apparaĂźtre si soudainement, dĂ©gageait une atmosphĂšre qui caractĂ©risait lâhĂ©roĂŻne d'une histoire. Quelque chose comme, « Tu es celui qui m'a sauvĂ©, non..? S'il te plaĂźt, combattons ensemble.... Ă ce moment, en tant qu'habitant d'une chambre cloĂźtrĂ© au fin fond de la sociĂ©tĂ©, jâĂ©tais heureux de penser. « J'ai tirĂ© la carte du hĂ©ros !» et qu'Ă partir de maintenant, je combattrai une mystĂ©rieuse organisation, et de partout des Ă©vĂ©nements paranormaux commencerai Ă se produire, des monstres Ă©tranges commenceront Ă apparaĂźtre et l'on formera un groupe avec des alliĂ©s....! Pour un premier Ă©pisode quelle histoire passionnante ; CâĂ©tait trop parfait pour que notre rencontre ne soit qu'un malentendu. OĂč en tout cas c'est ce que lâon pourrait croire. Bon... pas de super pouvoir qui sâĂ©tait rĂ©veillĂ©, aucun Ćil dĂ©moniaque ne s'ouvrit ; Rien, beaucoup moins d'alliĂ©s sont arrivĂ©s. La chose qui se rapprochait le plus de l'apparence d'un monstre Ă©tait un cafard. Et pour commencer, notre toute premiĂšre conversation devait ressembler Ă quelque chose comme ça. « Ah, Ă partir d'aujourd'hui, traite-moi bien s'il te plait~» « Oh, ok...» Je n'ai jamais entendu ça, dans un film d'action aventure. On a commencĂ© comme ça, chacun parlant dans son coin.... Bien que, ce ne fĂ»t pas si profond, on a quand mĂȘme rĂ©ussi Ă avoir une conversation dĂ©cente. « Qu'est-ce que tu es ? Je n'ai jamais vu ou entendu parler d'un logiciel comme ça...» Ă cette Ă©poque, je l'ai demandĂ© dâune maniĂšre assez polie, et la seule rĂ©ponse que j'avais eue en retour Ă©tait. « Je n'en sais rien moi-mĂȘme ~» VoilĂ , câĂ©tait ça notre conversation. Mais, câĂ©tait tout de mĂȘme un bon dĂ©but. Puisqu'elle rĂ©pondait au moins Ă mes questions. Peut-ĂȘtre parce quâelle sâĂ©tait Ă©chauffĂ©e au bout d'une semaine, mais son comportement excentrique devint de plus en plus notable car elle commençait Ă interfĂ©rer avec mon travail et Ă me harceler ouvertement. Le dossier dans lequel j'avais accumulĂ©, des lyrics embarrassants et sentimentaux avait Ă©tĂ© renommĂ© " PIED DE PORC ", et le dossier qui contenait ma collection d'images soigneusement sĂ©lectionnĂ©es fut changĂ© en " cimetiĂšre de DĂ©sir Sexuel "...... Il a fallu un mois pour quâEne renomme tout ce qui se trouvait dans mon PC, et mĂȘme la dĂ©mo de la musique que j'avais rĂ©alisĂ©e a vu son nom changer pour un titre si sentimental, que cela faisait pouvait faire croire que je pensais Ă quelque chose comme « Si je peux faire un album avec cela, alors je pourrais inventer un tout nouveau genre de musique.... Naturellement, je gardais en moi des cris de colĂšre Ă chaque fois, si souvent que ma gorge en brĂ»lait, mais puisque il semblait que cela n'aurait aucun effet, je ne les vocalisai pas. « Hey.... tu as changĂ© mon mot de passe, non ? Depuis ce jour, je n'avais pas Ă©tĂ© capable de me connecter dans le site de vidĂ©o. Mais, je ne me rappelle pas l'avoir changĂ©. Quand des choses comme ça arrive, elle est souvent la personne a blĂąmĂ©. « Ohh! Comme je m'y attendais de vous, MaĂźtre ! Je suis si heureuse que vous l'ayez remarquĂ© ! » « Remets mon ancien mot de passe... Maintenant...» « Oh, aller, il n'y a rien de pressant, non ? Ceci Ă©tant dit, j'ai prĂ©parĂ© quelque chose de spĂ©cial !» Une boĂźte demandant « Voulez vous sauvegarder ?» apparut, l'option "Non" Ă©tait sĂ©lectionnĂ©e, et en un instant toutes les fenĂȘtres affichĂ©es sur l'Ă©cran furent non pas rĂ©duites, mais fermĂ©es. « Gyaaaaaah !!!» AprĂšs ça, un quiz Ă quatre choix apparut sur lâĂ©cran. « Bon, premiĂšre question : Si tu rĂ©ponds à ça correctement, je te dirai le premier mot de pâ » « Est-ce que t'es stupide ? Je vais mourir, tu le sais ça ? Oi!! Ma chanson!! Oi!! » Je me levai de ma chaise et criai sur l'Ă©cran. Je me demandai, Ă quel point je semblai ridicule en faisant ça. La personne en face de moi avait une expression qui semblait dire. « Wow... Quelle personne dangereuse...» C'est de ta faute si jâagis comme ça, d'abord. « Haa...aah ~.....» Perdant soudainement ma force, j'allongeai ma tĂȘte sur le bureau. Ă cet instant, je sentis que mon coude toucha quelque chose. « Ah !! MaĂźtre, MaĂźtre !! Votre boisson !!» « Eh ?» ââ Mon soda partiellement consommĂ© sâĂ©tait renversĂ© sur mon clavier et ma souris. Pour la deuxiĂšme fois maintenant, un cri rĂ©sonna dans la chambre. Je tapotai minutieusement mon clavier avec des mouchoirs en papier. Le liquide sucrĂ© l'avait trempĂ©, causant le pire des scĂ©narios Ă se dĂ©rouler dans mon esprit. Cela ne servait Ă rien d'y penser. Maintenant, je devais me concentrer pour le sauver avec mon corps et mon Ăąme ! Je finis dâessuyer, puis j'appuyai dĂ©sespĂ©ramment sur toutes les touches du clavier. Seules les touches "o, r, t" marchaient. Il sembla qu'il Ă©tait trop tard. Des larmes de regrets coulĂšrent sur mes joues. « MaĂźtre ! La souris, la souris !» Cette voix me rappela. C'est vrai, il y a peut-ĂȘtre encore une vie que je pourrais sauver ! Retenant mes larmes, je pris la souris. « Je t'en prie....! Reviens.... !» Je continuai de l'essuyer avec dĂ©vouement. Une durĂ©e de temps sâĂ©coula, et encore une fois, je vĂ©rifiai sâil y avait une rĂ©ponse. Seul le clic droit marcha. Le menu apparut d'une façon presque moqueuse. Ă quel point ce monde peut-il ĂȘtre dĂ©raisonnable ? Qu'ont-ils fait pour mĂ©riter ça ? CâĂ©tait juste trop cruel. « Oh ! MaĂźtre, vous pouvez Ă©crire tororo ! Ah, attendez, totorâ» « ArrĂȘte ... juste ... de parler ....» Je voulus juste disposer de mon ordinateur, et elle avec, mais je mourrai si je le fais. Mes mains couvrirent mon visage alors que je m'apitoyai sur mon sort, me laissant engouffrer par la colĂšre qui n'avait pas de pore par lequel sâĂ©chapper. âââ Un moment de silence. Le son de l'air conditionnĂ© remplit la chambre, portant de l'air frais qui me rafraĂźchit le corps entier. Bon. VoilĂ la chose la plus ennuyante avec elle. Par le passĂ©, Ă chaque fois que je ne pouvais plus la supporter Ă cause de son Ă©trange comportement, je lâeffaçai. Cependant, il devait y avoir des sauvegardes d'elle sur Internet, donc aussi longtemps que mon ordinateur y Ă©tait connectĂ©, elle pouvait toujours revenir aprĂšs sâĂȘtre faite effacer. Alors dans ce cas, peut-ĂȘtre que la solution est de me dĂ©connecter d'Internet. Bien sĂ»r, il Ă©tait Ă©vident que je ne pouvais supporter quelques heures de ce genre de cet enfer. Et c'est ainsi, que ce cercle vicieux naquit. JâĂ©tais sĂ»r qu'elle Ă©tait une menace créée par quelqu'un. Une ennemie, dâoĂč le nom " Ene ". Je ne savais pas qui il pouvait ĂȘtre... mais pour donner une personnalitĂ© si ridicule Ă une Hyper AI* comme elle, il devait certainement ĂȘtre quelqu'un de dĂ©plaisant. « Phew...» J'expirai. J'ai tout tentĂ© contre elle, plusieurs fois dĂ©jĂ . Mais, aujourd'hui il y avait trop de choses qui sâĂ©taient empilĂ©es. N'importe qui dâautre serait devenu fou s'ils Ă©taient sujets Ă son niveau excessif de harcĂšlement. Je pensais que câĂ©tait dĂ©jĂ assez impressionnant, pour moi, d'ĂȘtre arrivĂ© si loin. Je voulais quelqu'un pour me faire des Ă©loges, mais malheureusement, jâĂ©tais seul. En tant que Hikkineet*, câĂ©tait sans espoir. Je me demandai combien de temps passa alors que ces pensĂ©es futiles trainaient dans ma tĂȘte. Soudainement, je remarquai qu'il y a eu un Ă©trange silence. Bien que, je lui aie dit dâarrĂȘter de parler, câĂ©tait rare qu'elle Ă©coute ce que je lui disais. Lentement, je dirigeai mes yeux vers elle. Au milieu de lâĂ©cran se trouvaient des informations sur les dates de livraison de plusieurs sites dâĂ©lectronique. Cependant, ce nâĂ©tait pas ça qui me surpris. Ce qui me surprit Ă©tait qu'elle me lança un regard furtif, la tĂȘte inclinĂ©e vers l'avant comme pour s'excuser. Le moment oĂč nos yeux se rencontrĂšrent, elle dĂ©tourna son regard, murmurant, « Ah, euh, um....» et pointa du doigt le clavier et la souris dĂ©jĂ mort. « Euh... Je ne pensais pas que ça irait si mal... Je voulais juste te faire une petite farce, donc...» De quoi Ă©tait-elle entrain de parler...? Ătant confus, je penchai ma tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, mais quand j'ai ensuite vu qu'elle attendait une sorte de rĂ©ponse, j'ai finalement compris. « Euh... ? Te sens-tu coupable de ce qu'il s'est passĂ© âŠ?â « ...Ah !» Surprise, elle baissa immĂ©diatement les yeux. Ses jambes se tortillaient, et pour une raison qui mâĂ©chappa, ils me rappelĂšrent le sentiment que j'ai ressenti lors de notre premiĂšre rencontre, et je dĂ©tournai mes yeux, aussi. Une tension mystĂ©rieuse se forma entre nous. D-Dans tous les cas, je devais dire quelque chose... ! « Puisque, c'est trop tard, on ne peut rien y faire.... E-Et puis ils devenaient vieux, alors j'avais pensĂ© que je devais bientĂŽt les changer de toute façon...» Alors que, je venais de parler et redirigeai mon regard sur lâĂ©cran, elle me tourna dĂ©jĂ le dos et elle Ă©tait en train de chercher parmi les sites de livraison. « Vraiment ~?! Je pensais justement Ă comment tu te sentirais mieux si tu en avais de nouveau ! Au fait, câĂ©tait un miracle qu'ils aient durĂ© aussi longtemps ~. Je dirai que c'est une mort paisible, ne le penses-tu pas ?! JâĂ©tais bouche bĂ©e. Avais-je dĂ©jĂ ressenti un sentiment si ambigu ? Ce nâĂ©tait ni une colĂšre extrĂȘme ni de la tristesse, mais seulement une impression de vide qui traversait mon cĆur. « Huh? Oh, ce n'est pas bon ~...» Alors que je commençai Ă cĂ©der Ă cette sensation, son commentaire soudain m'en tira. « Qu'est-ce qu'il y a ? Tout m'ira tant que ça marchera, alors dĂ©pĂȘche-toi de me trouver un site qui fait des livraisons aujourdâhui.» « Ă propos ... je pense que je suis un peu Ă blĂąmer.» « Bien plus que : un peu.» « MaĂźtre, puisque je pensai que vous alliez mourir d'ici un ou deux jours sans ça...» « Ouais, en gros c'est ça.» « J'ai donc essayĂ© de regarder les dates de livraison, mais.... MaĂźtre, quelle est la date aujourd'hui ?» « Hm ? On est le 14... non ? Je pense que c'est....ah !» ĂtonnĂ©, je regardai sur tous les rĂ©sultats de la recherche qui Ă©taient affichĂ©s sur lâĂ©cran. Il Ă©tait Ă©crit sur tout "Pas de livraison possible Ă cette date" « C'est le festival d'Obon*, donc aucun d'eux ne fera de livraison jusqu'Ă aprĂšs demain.» Je pouvais sentir qu'un vertige allait bientĂŽt me prendre. « AprĂšs demain... ? Deux jours....?» Ne pouvant rien faire, je me penchai en arriĂšre sur ma chaise. Deux jours. Pour une personne normale, cela ne semblerait pas spĂ©cialement long. Cependant pour moi, il n'y a pas plus long. CâĂ©tait comme passer deux jours sans manger. Ou deux jours sans dormir âââ Sauf que, câĂ©tait quelque chose d'un tout autre niveau. CâĂ©tait comme si on m'avait ordonnĂ© de mâarrĂȘter de respirer. Pouvez-vous retenir votre respiration pendant deux jours ? Non, ça ne devrait pas ĂȘtre possible. Depuis que j'ai commencĂ© Ă vivre comme ça il y a deux ans, mon corps Ă©tait pratiquement inutile sauf si j'avais accĂšs Ă Internet. Bien que, je possĂ©dasse un tĂ©lĂ©phone, pour une certaine raison, la rĂ©ception dans notre maison Ă©tait trĂšs mauvaise. OĂč peut-ĂȘtre devrai-je dire, je ne lâavais pas assez longuement utilisĂ©, je ne savais mĂȘme pas s'il fonctionnait encore proprement. CâĂ©tait bien que l'ordinateur en lui-mĂȘme ne soit pas cassĂ©, mais le terminal de commande Ă©tant mort, câĂ©tait une boĂźte quasiment inutile. Si la personne se trouvant dans lâĂ©cran Ă©tait un peu plus sympathique, cette situation ne serait probablement pas si sĂ©rieuse. Si seulement je pouvais lui donner des instructions et qu'elle veuille effectuer ces opĂ©rations pour moi. Cependant, devoir passer deux jours avec elle mĂšnera probablement Ă ma mort via un gigantesque trou dans mon estomac dĂ» au stress ou quelque chose dâautre. JusquâĂ maintenant, j'ai Ă©tĂ© capable dâempĂȘcher la crĂ©ation du trou en l'ignorant tout simplement et ce Ă chaque fois qu'elle mâadressait la parole, mais ne devrais-je pas ĂȘtre obligĂ© de lui demander de m'aider Ă partir de maintenant ? Si je lui proposai cette idĂ©e, elle accepterait probablement, les yeux Ă©tincelant comme si elle venait dâacquĂ©rir un nouveau jouet, le jouet Ă©tant moi Ă©videmment. Au fait, elle me regardait dĂ©jĂ bizarrement depuis tout Ă l'heure, comme pour dire, « Aller... tu n'as plus d'autre choix, non .... Aller fait-le .....! » âââ Deux choix se prĂ©sentaient devant moi. Devrais-je disposer de mon ordinateur et mourir, ou mourir une fois que je serai devenu son jouet ? « Mes options sont nulles ...» Un sentiment de dĂ©sespoir sâĂ©chappa de ma bouche au mĂȘme temps qu'un soupir. Pour ĂȘtre honnĂȘte, mĂȘme moi je trouve ça ridicule, mais je pense que je mourrai si je me dĂ©connecte. Je ne rigole mĂȘme pas. Des larmes commencĂšrent Ă se former dans mes yeux quand je vis que la mort Ă©tait ma seule option dans cette situation extrĂȘmement dĂ©bile. « ... Alors~» « Qu'est-ce qu'il y a ... ?» « Euh.... Je suis sĂ»r que l'on pense Ă la mĂȘme chose, mais... puisque c'est moi qui ai un peu dĂ©passĂ© les bords cette fois....» Alors qu'elle dit cela, elle inclina encore une fois la tĂȘte vers l'avant, comme quand elle m'avait piĂ©gĂ© tout Ă l'heure, combinĂ© avec plus, de mouvement, de gigotement. « Tu ne varies mĂȘme pas tes excuses ! Tu ne mâauras plus maintenant !» « N-non, vraiment !! Attends une minute, je dis la vĂ©ritĂ© ! Je le regrette vraiment ! Pour me faire pardonner je ferai tout ce que tu voudras pour trois, voire quatre, jours ! Elle commença Ă dire des choses qui ne lui ressemblaient pas, et elle avait fait zoomer lâĂ©cran sur son visage, pour rendre cela plus dramatique. « Huh ? « Je veux dire, jusqu'Ă que la livraison arrive, ça ne me dĂ©range pas de remplacer ton clavier, ou ce que tu veux ! Je ne te dĂ©rangerai plus aussi ! Je ferai tout ce que tu me diras de faire... ! Vraiment, je le ferai...» Les larmes aux yeux, l'Ă©cran zooma encore plus sur son visage. Elle... ! Elle avait ce genre de variation ...? [[File:Kage T1-1.png|thumb|]] ==Partie 2 Ë== Pour que le cĆur d'un garçon vierge de 18 ans batte si rapidement Ă cause de quelque chose comme ça. Pitoyable. Cependant, alors que je pensais cela je ne pouvais pas abandonner maintenant, elle recherchait sĂ©rieusement les sites de livraison depuis un moment dĂ©jĂ , peut ĂȘtre se sentait elle un peu coupable... ? Juste au moment oĂč je commençai Ă penser cela, je remarquai que des mots sâĂ©taient affichĂ©s derriĂšre elle. Qu'est ce que câĂ©tait... ? Quand je regardai la fenĂȘtre derriĂšre elle, en bas Ă gauche, l'application du quiz Ă quatre choix Ă©tait entrain dâĂȘtre réécrit. " Question #1 : Si tu rĂ©ponds cette question correctement, je rĂ©vĂ©lerai un lettre du mot que MaĂźtre veux chercher ! Cependant, si tu rĂ©ponds incorrectement, je publierai la collection de photo "prĂ©cieuse" de MaĂźtre, une par une, sur Internet Ă la vu de tous. Par consĂ©quent, rĂ©flĂ©chis bien avant de rĂ©pondre ââ" « ... Oi.» Ses yeux continuĂšrent de se remplir de larmes, et elle pencha sa tĂšte sur le cotĂ© d'une façon adorable. Cependant, je ne ressentais plus rien du tout. « Cette chose derriĂšre toi.» « ... ? ... Ah !» Surprise, elle se retourna et ferma l'application, et comme si rien ne sâĂ©tait passĂ©, elle se remit Ă me regarder avec ses larmes aux yeux. Son expression devint plus maladroite qu'avant, et les larmes dans ces yeux avait augmentĂ©. « ........» « U-umm~... ?» « ... J'en ai marre.» « Eh ?» â Deux ans. Je devins sentimentale parce que je commençai Ă me rappeler de certains souvenirs, mais je n'avais plus le choix; Je devais faire ça afin de survivre Je me levai de ma chaise et ouvrit mon armoire. Parce que je n'allai jamais mĂȘme pas dans le voisinage, je n'avais donc que quelque ensemble d'habits pour me changer. Pour cette raison, je n'utilisai presque jamais mon armoire. Mais aujourd'hui... juste pour aujourd'hui, je l'ouvrirai. « M... MaĂźtre !?» DerriĂšre moi j'entendis une voix surprise, dans un ton qui Ă©tait utilisĂ© pour dire "Non, il ne va pas faire ça !!» Je regardai mon parka Ă capuche et Ă mes pulls qui Ă©taient nettement disposĂ©. Mes souvenirs dâisolation de cette Ă©poque quand j'avais l'habitude de porter ces habits refirent soudainement surface. « Ugh ....» Alors que je me souvenais de certaines choses de mon passĂ©, j'ai Ă©tĂ© frappĂ© par une sensation similaire Ă celle d'une vielle blessure lancinante. Je secouai violemment ma tĂȘte, et pris le jersey qui Ă©tait tout au fond Ă droite, et je fermai l'armoire. Je sortis des pantalons et des shorts (ressemblant Ă ceux de l'armĂ©e) qui Ă©taient bien pliĂ©. De lĂ , je choisis un pantalon militaire, et une fois de plus, je fermai le tiroir. « MaĂźtre ! Qu'est ce que vous avez !?» J'enlevai les habits que je portai jusqu'Ă la, et quand je commençai Ă mettre les habits que j'avais choisi, elle paniqua comme si j'avais fait quelque chose de grave. « Vous ne vous Ă©tiez jamais comme cela auparavant ! Qu'est ce... Qu'allez vous faire ?» « .... Du shopping.» « Eh... ,» « Je vais faire du shopping ! Pourquoi, tu trouves ça bizarre !?» « Shop...ping...?» On dirait qu'elle ne s'attendait pas Ă cette rĂ©ponse. A quoi d'autre elle pouvait penser que j'allai faire aprĂšs mâĂȘtre habiller ?* « Ouai, c'est ça... Je vais juste aller l'acheter moi mĂȘme. Puisque tu n'a Ă©tĂ© d'aucune aide.» « Shopping... !? Tu mâas bien surprise ! Je pensai que tu sortais pour mourir ou quelque chose comme ça.» « Mais non ! Quel genre de personne mourrai Ă cause d'un soda qui s'est renversĂ© sur un clavier ?!» « Bah... MaĂźtre, par exemple...» « ... Pas faux....» Cela ne semblait pas quelque chose que je ne ferai jamais. Bien que ce soit triste, j'avais dĂ©jĂ considĂ©rĂ© faire cela il n'y a pas trĂšs longtemps. On continua notre discussion pendant que je m'habillai. « ... Mmh, je pense que ça fera l'affaire.» Je tirai vers le haut la fermeture Ă©claire jusqu'au maximum, et en ayant fait ça, je fini de me changer. Les habits que je venais de porter me rendait un peu nerveux pour une raison que jâignore, comme si je les portais pour la premiĂšre fois. « Wow~! T'a l'air vachement cool !! MĂȘme si cela met fin Ă ton ancien look.» « Oh... vraiment ? C'est bon comme ça... ?» « Ăa te va trĂšs bien ! Tu es beau comme ça !» « Vraiment ? Je me sens un peu embarrassĂ© maintenant...» Alors que jâĂ©tais embarrassĂ©, je tournai ma tĂšte vers lâĂ©cran pour voir des images de top model. Et de l'autre cotĂ© de ces images j'entendais une voix dire, « Tu as vraiment l'air cool !! Tes goĂ»ts sont aussi Ă©tranges que je le pensais !» « Tu me fais dĂ©primer la, ... tais toi juste.» « Eh ? Pourquoi ?» « Oublie...» En un instant tout mon enthousiasme pour cette sortie me fut enlevĂ©. Cependant, je n'avais pas l'intention de baisser les bras Ă ce point. Je pris le sac qui Ă©tait accrochĂ© sur mon placard, et le mit autour de mon cou. J'avais fini la majoritĂ© des prĂ©parations. Je n'avais plus qu'Ă prendre mon porte feuille. « Voyons voir, porte feuille, et ... Je n'ai besoin de rien d'autre.» Je pris mon porte feuille, que j'utilisai que quand je commandai quelque chose, d'en dessous mon lit. « Je pense que c'est tout. Phew... Bon, il est temps d'y aller maintenant. Je pris une grande inspiration, et approchai la porte de ma chambre. « A-Attendez une minute, MaĂźtre !!» Au moment oĂč j'avais mis ma main sur la poignĂ©e, j'entendis une voix me disant d'arrĂȘter, et je me retournai vers mon ordinateur. « Quoi.... ? J'y vais, donc fais pas de choses bizarres pendant ce temps.» « Euh... Um, ta derniĂšre sortie ne remonte elle pas Ă trĂšs longtemps ? C'est pour ça, que je pensais que⊠um... Deux personnes ne devraient elles pas mieux s'en sortirent qu'une seul personne. « Deux ? Ce n'est pas comme si j'avais une personne Ă inviter.» AprĂšs avoir vĂ©cu deux ans comme ça, je n'avais pas d'ami Ă contacter. Et mĂȘme si j'en avais, ce n'est pas comme si j'allais les inviter. « Non, ce n'est pas ce que je voulais dire... Umm... Je veux dire que, si c'Ă©tait moi, je pourrai servir de navigatrice ou quelque chose d'autre, donc...» La maniĂšre dont elle se comportait semblait fortement insinuer quelque chose. Bien sur, c'Ă©tait Ă©vident qu'elle essayait de me dire de la ramener avec moi, mais qu'est ce que j'Ă©tais supposĂ© faire ? Porter mon ordinateur avec moi ? « Comment t'es supposĂ© venir ? Je t'emmĂšne avec moi, alors sors, si tu peux.» « Eh ? Vraiment !? Okay, alors je sors de suite... !» Elle sourit, pointant du doigt la petite commode Ă cotĂ© de mon lit. ââ Sur celle ci Ă©tait posĂ© un tĂ©lĂ©phone tactile. Une chaude journĂ©e. Une vraiment, chaude, journĂ©e d'Ă©tĂ©. L'Ă©tĂ© a-t'il toujours Ă©tĂ© aussi chaud ? Ayant Ă©tĂ© bĂ©ni par l'air conditionnĂ© en intĂ©rieur jusqu'Ă rĂ©cemment, je jaillissais Ă prĂ©sent tellement de sueur que je pensais que je pouvais l'entendre grĂ©siller. Cela ne faisait que vingt secondes. Bien que je sois parvenu Ă sortir, mes points de vie diminuaient sous mes yeux. « Ah~ test, test. MaĂźtre, pouvez-vous m'entendre ? Ah~ ah~ » « ......Devrais-je rentrer maintenant......? » « Eh ? Vous avez dit quelque chose ? S'il vous parlez un peu plus prĂšs~ » « Non...... Ce n'est rien...... » La propriĂ©taire de cette voix indiffĂ©rente ne pouvait probablement mĂȘme pas sentir la chaleur. C'Ă©tait quelque chose pour laquelle on pouvait l'envier. Portant des Ă©couteurs, ainsi qu'ayant mon tĂ©lĂ©phone mis en place presque comme un Ă©metteur-rĂ©cepteur, je me demandais si je ressemblais Ă un stratĂšge qui effectuait une opĂ©ration. Jouant la sirĂšne qui a Ă©tĂ© utiliĂ©e ce matin, j'ai Ă©tĂ© menacĂ© de recruter des amis sur le tableau d'affichage de la page d'accueil de mon lycĂ©e en utilisant mon vrai nom, et, Ă la fin, a Ă©tĂ© contraint de donner pour l'amener. Sur l'Ă©cran d'accueil, Ene souriait d'une oreille jusqu'Ă l'autre comme si elle Ă©tait le fond d'Ă©cran du tĂ©lĂ©phone. Toutefois, elle ne semblait pas avoir une quelconque intention de jouer calmement ce rĂŽle, et Ă©tait plutĂŽt en train de se dĂ©placer rapidement. Penser que le jour viendrait oĂč je serais forcĂ© dans une opĂ©ration par un programme...... Bien que l'opĂ©rateur Ă©tait plus comme une certaine sorte de terrible, flĂ©au moderne. Arrivant aux voies publiques, je me suis finalement souvenu de la puissance de l'attaque de l'Ă©tĂ©. Plus loin sur la route, la brume de chaleur se balançait. J'avais l'impression d'ĂȘtre comme une crĂ©ature du PĂŽle Nord ou de l'Antarctique se sentirait si elle Ă©tait soudainement jetĂ©e dans la savane. "Chaud." L'humiditĂ© exacte ou la tempĂ©rature n'avait pas d'importance.... C'Ă©tait juste "chaud." "Es-tu sĂ©rieuse.....? L'Ă©tĂ© a-t'il toujours Ă©tĂ© comme ça......?" "Ne vous l'ai-je pas dis plus tĂŽt ? Aujourd'hui, il semble qu'il y a un certain nombre de personne qui ont Ă©tĂ© transportĂ©es Ă l'hĂŽpital Ă cause d'un coup de chaud. Ah, MaĂźtre, avez-vous emportĂ© votre carte d'assurance ?" "Je l'ai prise... donc ça va aller si je suis transportĂ© Ă un quelconque moment, mon dieu...." Quand j'ai quittĂ© la maison, j'ai apportĂ© diverses choses donc je serais prĂ©parĂ© si quoique ce soit arrivait. MĂȘme dans le cas du pire scĂ©nario oĂč je m'evanouirai quelque part, j'avais mon identifiant sur moi. "Ohh ! Alors il n'y a rien Ă craindre ! Maintenant, marchons vite !" "C'est vrai.... âattends, pourquoi est-ce que tu dis ça ?! C'est de ta faute en premier lieu siâ" "Ah ! MaĂźtre, vous devriez tourner Ă droite de l'intersection juste maintenant ! Ă droite !" "Eh ? La route juste lĂ ? Oh, au temps pour moi... Curieusement, je ne me souviens pas du tout de la route. HonnĂȘtement, je ne sais plus quel chemin est qui." "MaĂźtre n'est vraiment pas sorti dehors, n'est-ce pas? La derniĂšre fois que vous ĂȘtes sorti dehors Ă©tait il y a deux ans, pas vrai ? La carte a complĂštement changĂ© depuis, vous le savez ?" Ătant trop concentrĂ© sur la chaleur, je ne l'ai pas vraiment remarquĂ©, mais cela semblait avoir changĂ© considĂ©rablement. Il y avait un bĂątiment ridiculement Ă©norme d'une certaine sorte, et plusieurs immeubles d'appartements nouvellement construits ; le peu d'informations dont je me souvenais Ă©taient Ă prĂ©sent complĂštement inutiles. Ătait-ce qu'ils appelaient le dĂ©veloppement urbain ? J'avaisvĂ©cu dans cette ville pendant longtemps, mais il n'aurait pas Ă©tĂ© possible que les choses soient modifiĂ©es aussi radicalement en seulement deux ans. Ou peut-ĂȘtre Ă©tait-ce parce que j'avais Ă©tĂ© confinĂ© dans ma chambre, que c'Ă©tait juste la diffĂ©rence que je ressentais de sortir pour la premiĂšre fois depuis si longtemps ? Presque comme si ma propre ville Ă©tait refaite par quelqu'un, peu Ă peu. J'ai Ă©tĂ© frappĂ© par ce genre de sensation. Les rĂ©sidents de cette ville, moi inclus, vivent probablement leur vie quotidienne sans mĂȘme remarquer ces changements. En pensant Ă cela, je suis retournĂ© Ă l'intersection, tournĂ© Ă droite comme on m'a dit, et ai vu la rue principale. Ătonnamment, ma maison Ă©tait situĂ©e dans un assez bon emplacement par rapport Ă ici. La quantitĂ© de trafic Ă©tait raisonnablement Ă©levĂ©e ici, et beaucoup de gens l'empruntaient. Dans la rue qui passait entre les bĂątiments de chaque cĂŽtĂ©, la façon dont les gens apparaissaient et disparaissaient de gauche Ă droite, et de droite Ă gauche, n'avait pas l'air trĂšs diffĂ©rent de l'Ă©cran d'accueil que je regardais tous les jours. "Umm, dans la suivante rue, allez Ă gauche la route jusqu'aaaau bout. Et puis, Ă droiteâ...... Maitre?" "Eh ? Oh, o-ouais. Je vois. Donc, vers quel chemin je vais maintenant ?" "Comme je le disais, la rue suivante est Ă gauche ! Et aprĂšs ça, c'est Ă droite ! Qu'est-ce qui ne va pas, MaĂźtre ? Vous avez beaucoup d'absences... Se pourrait-il que vous ayez dĂ©jĂ eĂ»t un coup de chaleur ??!" "Non, ce n'est pas ça. Je pense que j'ai juste un sentiment Ă©trange.... Y a-t-il vraiment un grand magasin lĂ -bas??" Il n'y avait pas de grand magasin lĂ -bas il y a au moins deux ans. Quand j'envisageais d'acheter de l'Ă©lectronique, je me souviens toujours avoir Ă faire un assez long voyage pour cela. "Je n'en ai aucun doute. Umm... sur la page d'accueil, 'Le grand magasin dans votre ville ! Du mobilier aux appareils mĂ©nagers en passant par les ustensiles de cuisine, nous stockons tout' c'est ce qui est Ă©crit. ......Oh ! Mais il est seulement ouvert depuis le printemps dernier." "Oh..... Pas Ă©tonnant que je ne savais pas. Mais pourquoi est-ce dans un endroit comme ça....." "Hm~ Mais les zones environnantes semblent ĂȘtre activement dĂ©veloppĂ©es. Si vous allez Ă un peu Ă droite Ă partir d'ici, il y a un grand hĂŽpital, et avant ça il y a une nouvelle Ă©cole... et de l'autre cĂŽtĂ© de l'Ă©cole se trouve une grande librairie. Il semble que tous ces bĂątiments ont Ă©tĂ© commencĂ©s l'annĂ©e derniĂšre, et finis cette annĂ©e Ă peu prĂšs en mĂȘme temps." "Quelque chose comme ça est possible !? D'une certaine maniĂšre, cela semble vraiment avoir changĂ©... Oh, on est presque Ă la rue principale...?" AprĂšs avoir quittĂ© la rue Ă sens unique, le panorama de la ville s'Ă©tend devant moi. Des panneaux d'affichage, des arbres aux bord des routes, des bureaux et des restaurants. Un Ă©tudiant en uniforme, un employĂ© de bureau s'excuse profusĂ©ment Ă travers un tĂ©lĂ©phone cellulaire dans une main. Tout cela Ă©met du bruit, du bruit, et du bruit. De cette variĂ©tĂ© d'informations inutiles, j'ai ressenti quelque chose comme des vertiges "Ohh.... Cela semble dĂ©jĂ impossible. Devrions-nous rentrer ? Ok, rentrons." "Il y a beaucoup de gens. C'est donc le pouvoir de la fĂȘte de l'Obon. Faisons de notre mieux!" "Tu n'Ă©coute vraiment pas ce que je dis, n'est-ce pas ? .... Ahh~ Il y a vraiment beaucoup de gens..." Alors qu'il y avait une maintenance en cours, par rapport au sentier d'avant, c'Ă©tait beaucoup plus facile de marcher sur le trottoir, sous l'ombre des arbres au bord de la route. Toutefois, les gens et les voitures qui passaient dans les rues faisaient augmenter considĂ©rablement la tempĂ©rature de mon corps. Tout en marmonnant et rouspĂ©tant, je suis allĂ© dans la rue et approchĂ© une intersection massive. "Ă la fin, n'allez-vous pas, 'Je meeuurs~ Je meeuurs~,' si vous ĂȘtes Ă la maison ? Soyez un petit peu plus patient !" "Toi-...... ahh, c'est inutile. Je ne veux pas gaspiller mon Ă©nergie Ă essayer de te parler plus. Oh, c'est vert maintenant. Devrions-nous traverser.....?" Quand j'ai traversĂ© l'intersection une fois que le feu est passĂ© au vert, j'ai vu un parc un peu plus loin face Ă moi. Une balançoire, une aire de jeux, une fontaine, etc ; il y avait un paquet de beaux Ă©quipements de terrain de jeux alignĂ©s que les enfants ne seraient problament pas en mesure d'aider mais plutĂŽt de se prĂ©cipiter pour jouer dessus. Tandis que je continuais, j'ai vu un aperçu d'un grand, distinct panneau d'affiche au-dessus du cĂŽtĂ© droit de l'Ă©norme, bĂątiment du dĂ©partement qui avait Ă©tĂ© prĂ©cĂ©demment dissimulĂ© par les arbres au bord de la route. "Ă-ça a l'air beaucoup plus grand que je ne le pensais....! Ils ont vraiment construit quelque chose comme ça?....?" "C'est parce qu'il semble ĂȘtre le plus grand magasin de la rĂ©gion ! Que diriez-vous de voir pour des vĂȘtements, aussi ?" "Idiote ! Ne t'ai-je pas dis que je sortais seulement pour aujourd'hui ?Je suis dĂ©goutĂ© de ce monde chaud." "C'est vrai ~! Je pensais que vous diriez ça ! Vraiment, si MaĂźtre disait qu'il allait acheter des vĂȘtements, je devrais composer le 119 *ÂČ !" " Suis-je un homme des cavernes !? J'achĂšte des vĂȘtements, au moins ! Idiote !" "Ohh, alors irons-nous les regarder ?" "N-non... c'est bon pour aujourd'hui..." DĂšs que j'ai dit ça, j'ai entendu un gloussement qui sonnait comme, "Pukkuku....." Sentant mon visage devenir rouge, j'ai fourrĂ© mon tĂ©lĂ©phone portable dans ma poche. "Uwaa ! MaĂźtre, c'Ă©tait une blague ! Revenons une autre fois, d'accord ?" Ă cause du fait que le tĂ©lĂ©phone portable Ă©tait dans ma poche, elle ne pouvait probablement pas entendre ma voix. "Une autre fois...... ouais." j'ai rĂ©ussi Ă marmonner. Utilisant le panneau d'affichage comme point de repĂšre, j'ai vu une autre Ă©norme intersection Ă deux voies. SĂ©parĂ© par la rangĂ©e de bĂątiments sur le cĂŽtĂ© droit, le bĂątiment du ministĂšre est apparu de l'autre cĂŽtĂ© de l'intersection. ââL'image complĂšte ne pouvait ĂȘtre dĂ©crite que par un seul mot : "gigantesque." ==Partie 3Ë== En cours. {| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" style="margin: 1em 1em 1em 0; background: #f9f9f9; border: 1px #aaaaaa solid; padding: 0.2em; border-collapse: collapse;" |- | Back to [[Kagerou Days : Tome 1 Kagerou 1|Prologue]] | Return to [[Kagerou Days - Français|Sommaire]] | Forward to [[Kagerou Days : Tome 1 Kagerou 2|Chapitre 2]] |- |} </noinclude>
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