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Maria-sama ga Miteru (Français):Volume1 Chapitre2
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=== Partie 2 === Il semble que le Japon soit le seul pays à avoir mis en place un système d'obligation de nettoyage à l'école. Aux Etats-Unis et en Europe, les écoles sont considérées comme des endroits pour ''apprendre''. Je ne me rappelais plus vraiment des détails exacts, mais c'était ce qu'avait dit un commentateur étranger à la télévision. (C’est sûrement vrai.) C'était un étrange sentiment : elle nettoyait le sol de l'école alors que sa mère nettoyait sa chambre. On aurait pu associer ces obligations au cours d’économie ménagère mais, nettoyer une école et nettoyer une maison, c’était trop différent. Peut-être que c'était une question de moral. Retourner les choses qu'on vous offrait dans l'état où on vous les avait offert. Yumi était une étudiante des plus ordinaires qui n'aimait pas plus que ça nettoyer, mais quand elle était dans la salle de musique, ça ne l'a dérangeait pas. Pour une raison d’insonorisation, le sol était en moquette, ce qui faisait qu’on n’avait pas besoin de le laver à l'eau ni d'y appliquer le cirage hebdomadaire. Les murs était dans un matériau spécial « insonorisation » et nécessitaient juste d'être dépoussiérés de temps en temps. Les tables et les chaises étaient incrustées dans le sol et ce n'était pas possible de les déplacer. Il fallait donc juste se déplacer avec l’aspirateur, passer un chiffon humide sur les bureaux, nettoyer le tableau et le contour des fenêtres. Les responsables de la salle étaient les seuls qui avaient le droit de s'occuper de nettoyer les portraits de Mozart et de Beethoven. - Yumi-san, on peut te laisser ? lui demandèrent les élèves qui étaient dans son groupe de nettoyage alors qu'elle fermait une fenêtre. - Oui... Elle avait l'habitude de quitter l'école rapidement après avoir terminé ses obligations de nettoyage, mais elle avait envie de prendre son temps aujourd'hui. - Vous pouvez partir devant. Je m'occupe de tout ! Quand on sortait de l'école à cette heure, on était toujours plongé dans la flot des lycéennes qui venaient de terminer les cours. Elle avait l'habitude des bus bondés mais aujourd'hui, elle était au centre des rumeurs et n'avait aucune envie de se jeter d'elle-même dans la gueule du loup. - On devrait rester avec toi jusqu'à ce que tout soit nettoyé. Ça ne se fait pas de te laisser toute seule. Ses gentilles camarades de classe offraient leur aide. - Mais vous avez les activités de vos clubs, non ? Moi, tout ce que j'ai à faire après, c'est rentrer chez moi. Et puis, je dois ramener l’agenda des obligations de nettoyage aujourd'hui, c'est vous qui l'avez ramené hier. Yumi insista alors les trois autres s’interrogèrent quelques instants du regard avant de quitter la salle de musique. - Gokigenyô. - A demain. Tap, tap, tap, le bruit de leur pas diminua rapidement dans le couloir. Ne pas déformer les plis de leur jupe, ne pas froisser leur col marin blanc. Mais, elles étaient tellement pressées que la normale de la décence leur était sortie de l'esprit. - Ah, je m'ennuie... Yumi se sentait toujours très seule à cette heure de la journée, car elle n'avait ni club à rejoindre, ni réunion à participer. Le projet de sa classe était une exposition consacré au « Chemin de la Croix ». Elles avaient prévu de représenter quatorze dessins - depuis la proclamation de l'exécution du Christ jusqu'à son arrivée au mont Golgotha où il sera enterré après avoir été crucifié - et de placer des petites légendes sous chaque image. Comme de parfaites élèves de Lillian, elles avaient terminé la plupart des préparations. Toutes avaient compris que, plus le festival approchait, plus elles allaient être occupé par leur club respectif, et qu'il était donc nécessaire de terminer au plus vite les préparations pour l'exposition de leur classe. - Je me demande combien de temps je dois rester ici... Il ne fallait pas non plus qu’elle attente avec stupidité trop longtemps et que son départ coïncide avec la fin des clubs. - Ah, il faut que j'aille rendre l’agenda. Mais elle n'avait pas envie d'y aller tout de suite. Elle entendait à travers la porte entrouverte, le bruit de pas des étudiantes excitées se rendant à leur salle de classe, au gymnase ou à leur salle de club. Yumi ouvrit sans s’en rendre compte le couvercle qui recouvrait le clavier du piano. Il n'y avait rien à craindre, elle était seule dans la salle de musique. - La Vierge Marie protège cette école. Il n'y avait donc ici ni histoire d'horreur sur des pianos qui se mettaient à jouer seuls à minuit, ni Beethoven qui vous suivait du regard. Mi. De son index droit, elle appuya sur la touche Mi la plus aiguë. Oui, tout a commencé par ce son, pensa-t-elle. Yumi tira une chaise et s'assit proprement devant le piano. Cela faisait quelques temps qu'elle n'avait pas touché un piano. Une fois par semaine, elle était allée à des cours de piano pendant ses six années passées à l'école primaire, mais comme le piano n'était jamais vraiment devenu une passion pour elle, elle avait arrêté à son entrée au collège. Mi. Elle appuya sur la note une seconde fois. Cette fois, se concentrant sur le son, elle essaya de reproduire à l'oreille le morceau qu'elle avait entendu il y a 6 mois. Elle pourrait certainement réussir à reproduire la mélodie si elle n'utilisait que son index. Fa. So. Re. Mi. C'était le « Ave Maria » de Guno. Il y a six mois, Sachiko Ogasawara, présentée sous le titre de Rosa Chinensis en bouton, avait joué ce morceau devant les nouvelles premières années lors de la cérémonie d'accueil aux nouveaux élèves organisée par le Yamayurikai. C'était la première fois que Yumi voyait Sachiko. Elle avait joué sur l'orgue du sanctuaire, le son avait résonné aussi profondément dans la salle que dans son âme. Sachiko ressemblait à la Vierge Marie. Même après la performance, les yeux de Yumi n'avaient pu quitter Sachiko. Il n'y avait pas que sa beauté physique, non, c'était aussi tous ses gestes, sa conduite distinguée, sa voix qu'elle employait avec ses aînées qui, la rendait absolument magnifique. Elle voulait devenir comme Sachiko. Elle voulait se rapprocher ne serait-ce qu'un peu de Sachiko. Quand elle avait pensé cela, il y six mois, jamais elle n'aurait pu imaginer que les choses se dérouleraient de cette façon. Non, même hier, à la même heure, elle n'aurait pu imaginer cela. Sa vie quotidienne avait pris un tournant si soudain - et alors qu'elle regardait d'un air absent le piano, plongée dans ses pensées, quelque chose rentra dans son champ de vision. - ☆×■◎※△――――!? Incapable d'identifier ce qui venait d'apparaitre, un son extrêmement indescriptible et bizarre s'échappa de la gorge de Yumi. C'était une main humaine qui venait de passer devant elle, en direction du clavier. Pas étonnant que son cœur cogne si fort dans sa poitrine. - Quel bruit tu fais, comme si je t'attaquais... Elle sursauta une nouvelle fois, levant les yeux vers le visage qui appartenait à cette main. - N'importe qui crierait si vous vous approchez aussi silencieusement, Sachiko-sama. Et si ce « n’importe qui » était justement en train de penser à vous, la surprise est encore plus grande. - C'était de la gentillesse, je ne voulais pas interrompre ta performance au piano. Sachiko appuya sur la touche du Do de sa main gauche toujours tendue. C'est la première note qu'on apprenait à jouer avec le pouce de la main droite quand on commence le piano. - Joue. - Hein ? - Recommence, joue ce que tu jouais tout à l'heure. - Heeeiin ? Elle essaya de se lever de son siège, mais Sachiko lui appuya doucement sur l'épaule de sa main droite. - Le rythme est... Un, deux, trois, quatre. Deux, deux, trois, quatre. - Ah, heu... [[Image:MM_v01_03.jpg|thumb|''« Le rythme est... Un, deux, trois, quatre, deux, deux, trois, quatre. »'']] Sachiko, des doigts de sa main droite, tapotait l'épaule de Yumi en rythme, comme un métronome et murmura « Commence » à la troisième répétition. Quand on dit à quelqu'un « Commence », il faut se mettre à faire quelque chose, alors Yumi commença à jouer. Et un deuxième son se produisit, rejoignant et se joignant à la mélodie de Yumi. Do-Mi-So-Do-Do-Mi-So-Do. Sachiko jouait la partie de la main gauche. Et elle utilisait les pédales, pour rajouter un son d'écho. (C'est une performance à quatre mains...) La mélodie qu'elle jouait, se mêlait à la deuxième, et retournait à ses oreilles harmonieusement. Le sentiment d'amusement ne dura cependant qu'un instant. Bientôt, elle se souvint que Sachiko était si proche, et son excitation se transforma en peur. Le morceau n'était pas fait pour être joué à quatre mains, c'était la main droite de Yumi et la main gauche de Sachiko, donc deux personnes se tenaient dans un endroit qui ne pouvait en contenir qu'une seule. La poitrine de Sachiko n'arrêtait pas d'effleurer le bras gauche de Yumi, les longs cheveux lisses et brillants tombaient sur son épaule, et le doux parfum commençait à faire tourner sa tête. Mais, la performance continuait. Sachiko ne s'arrêterait pas tant que la main droite de Yumi jouait la mélodie. D'un côté, elle aurait voulu que tout dure pour l'éternité, mais une autre partie d'elle-même voulait que tout s'arrête le plus rapidement possible. Les deux sentiments contradictoires se livraient une guerre terrible au fond de Yumi. La respiration de Sachiko faisait doucement bouger les cheveux de Yumi. Cette respiration était horriblement calme. Contrairement à Yumi, Sachiko n'était pas le genre de personne à perdre l'esprit pour si peu ça. La belle harmonie fut brisée. Yumi avait fait exprès d'appuyer sur la mauvaise note. - Je suis désolée. Je n'ai pas réussi à vous suivre, Sachiko-sama. Souriant gentiment, elle repoussa la chaise et fit quelques pas en arrière. - Vraiment ? Tu jouais pourtant très bien. Sachiko referma doucement le couvercle. Le son de la fermeture résonna bizarrement fort dans cette pièce où elles étaient seules. Elle vit que Sachiko s'approchait lentement vers elle. Le sol doux absorbait les bruits que faisaient ses chaussures d'intérieur. Ah, ce n'est pas étonnant que je n'ai pas remarqué son arrivée tout à l'heure, pensa-t-elle. - Bon, on y va alors ? - Hein ? - Qu'est-ce que c'est que ce « hein » ? Pourquoi penses-tu que je suis ici ? - Oui, pourquoi êtes-vous ici ? - Je viens te chercher, bien sûr. Sachiko leva un sourcil, le ton de sa voix était sûr. Puis, elle se mit à parler, évitant à Yumi le besoin de lui demander « Pour aller où ? ». - A partir d'aujourd'hui, jusqu'au jour du festival, tu vas participer aux répétitions de la pièce avec tout le monde. C’est ton devoir. Voici quel était le raisonnement de Sachiko. C'était quasiment impossible que elle de parvenir à convaincre Yumi dans le peu de temps libre qu'il lui restait avant le festival. En conclusion, pour rendre les choses plus justes, Yumi - qui n'avait pas grand choses à faire après les cours de toute façon - devait participer à la pièce du Yamayurikai avec elle. - Ce n'est pas possible. - Comment ça, ce n'est pas possible ? Les Roses sont déjà au courant. Et puis... Sachiko posa son index sur le menton de Yumi et la regarda droit dans les yeux. - Réfléchis-y. Tu es la remplaçante de Cendrillon. Bien sûr que tu dois aller aux répétitions. - Remplaçante... Mais, seulement si j'accepte le rosaire... - Alors, tu comptes rater les répétitions parce que tu es sûre de ne pas accepter ? Dans ce cas, moi aussi, je peux ne pas aller aux répétitions ! - Mais... Sachiko réprimanda Yumi d’une voix calme et douce. - Mais, je vais aller aux répétitions. Il n'y a rien d'absolu sur cette planète. Si on ignore ma confiance et les probabilités, il n'y a que deux résultats possibles au pari que j’ai fais avec les sœurs. Que le rôle de Cendrillon soit à toi ou à moi, pour l'instant, je m'entrainerai. Même si ça contredit la confiance que j'ai, c'est mieux que de courir le risque de perdre la face lors de la vraie représentation. Sachiko rit, jouant avec les cheveux bouclés au-dessus de l'oreille de Yumi. - Sachiko-sama... Elle ne sut quoi dire. Elle pouvait refuser, s'énerver, Sachiko resterait dans le vrai. Il n'y avait aucun doute que dans son esprit, le bon et le mauvais étaient séparés en deux tas bien nets, comme les ordures recyclables et non-recyclables. Son cœur se serra. Est-ce que je l'ai déçu ? C'était le même sentiment lors de la performance à quatre mains, un sentiment totalement différent de l'excitation ou de la peur. C'était plutôt un état d'esprit qui faisait que, si elle avait été seule en cet instant, elle aurait fondu en larmes. Comme une enfant, qui a perdu de vue sa mère dans la foule. Si Sachiko n'avait pas relevé la tête à ce moment-là, Yumi se serait certainement serrée contre elle en pleurant « Je suis désolée ». - Bien sûr, laissa échapper Sachiko - comme si elle venait de penser à quelque chose. Tu à ta propre façon de réfléchir. Je ne vais pas te forcer. Mais, tu ne voudrais pas au moins assister à la répétition ? - ... D'accord. - Alors, prends ton sac. Yumi se dépêcha de prendre le sac qu'elle avait laissé sur une table et l'agenda des obligations de nettoyages. Elle se demanda quelques instants si elle ne venait pas de se faire complètement manipuler par Sachiko. Mais, agitant légèrement la tête, elle s'interdit une telle pensée. Malgré son attitude de la veille, Sachiko était censée être comme la Sainte Vierge : pure, juste et belle, la description artistique d'une sœur parfaite. Oui, c'est ainsi qu'elle devait rester dans les pensées de Yumi. - Qu'est-ce qui se passe ? Yumi, tu viens ? - Ah ! J'arrive ! Alors que Yumi courait dans sa direction, Sachiko l'arrêta d'un « Calme-toi » et redressa la cravate de Yumi. C'était la même scène que la veille. Un court instant, ses gestes furent les mêmes que ceux qu’elle avait fait dans l'allée aux ginkgos. - Ah. Sachiko lâcha la cravate, s'immobilisa et dévisagea Yumi. - La photo. Elle a été prise hier ? - Hé ? Incroyable, Sachiko venait juste de se rappeler. - Vous ne vous étiez pas souvenue avec la photo ? - Je voyais bien que c'était moi et que tu étais avec moi. Mais, je ne pouvais pas me rappeler quand ça s'était passé. La photo de Tsutako Takeshima-san n'avait pas de date. Ce n'est pas le problème. Pas la peine de confirmer une nouvelle fois que Yumi était à ce point facile à oublier. - Alors, nous ne sommes vraiment rencontrées qu'hier. - Oui. Yumi hocha la tête en fermant la porte de la salle de musique. Oui, juste quelques heures avant que qu'elle ne la déclare être sa sœur. Elles n'avaient pas eu tort de l'appeler une « warashibechôja ». - Je me sens mieux maintenant que je me souviens. Elles marchèrent côte à côte dans le couloir. C'était vraiment très bizarre de marcher ainsi le jour même où les rumeurs se répandaient comme de la poudre, mais Sachiko semblait y être totalement indifférente. Les couloirs étaient déserts, elle ne devait donc pas y prêter attention pour le moment. - Sachiko-sama, est-ce que vous vous occupez souvent des cravates des premières années ? Si c'était le cas, Yumi avait l'impression que ce n'était pas si grave si elle avait oublié Yumi si facilement. Mais, la réponse de Sachiko ne répondit pas à ses attentes. - C'est plutôt l'inverse. - Hein ? - Très rarement... Non, en fait, jamais. Je me demande pourquoi j'ai fais ça. Tout en descendant l'escalier, Sachiko réfléchissait profondément. Après avoir posé le pied sur la dernière marche, elle semblait avoir trouvé une réponse. - Je ne suis pas vraiment du matin. Je ne suis jamais très réveillée, j'ai du inconsciemment t'appeler. Ça pourrait expliquer pourquoi je ne me suis pas rappelée immédiatement de l'incident. - Vous n'avez pas l'air de quelqu'un qui n'est pas du matin. - C'est ce qu'on me dit toujours... Mais, en réalité, j'ai une tension assez basse. - Ah, une tension basse. C'était comme si le personnage de Sachiko Ogasawara était de plus en plus un mystère. Près d'elle se tenait la personne qu'elle admirait, mais son image était si différente de celle qu’elle croyait connaître. D'habitude, on en apprend de plus en plus sur quelqu'un au fil du temps, non ? ≈≈≈≈≈≈ « Et bien ! » s'exclama Yamamura, la professeur principal de la classe de Yumi, quand toutes deux s'arrêtèrent devant la porte de la salle des professeurs. - Je pensais que c'était faux, mais il semble que la rumeur soit vraie finalement ! L'histoire s'était répandue jusqu'aux professeurs. - Mais, c'est incroyable. On m'avait dit qu’Ogasawara-san avait été rejeté par Fukuzawa-san ? Pourquoi êtes-vous ensembles ? Elle avait accepté en réalité ? C'était bien une ancienne étudiante de Lillian. Ses yeux brillaient et elle posait ses questions avec la curiosité d'une jeune fille, comme si leur différence de vingt ans n'existait pas. - Heu, et bien... C'est... Yumi ne savait que dire, mais Sachiko lui coupa la parole. - Nous sommes désolées pour tous ces bruits. Je vous laisse imaginer ce qui a pu se passer entre nous deux. Elle sourit et, après un « si vous voulez bien nous excuser », elle saisit la main de Yumi et s'éloigna élégamment dans le couloir. Yamamura sourit amèrement, comprenant qu'elle n'en apprendrait pas plus. - Sa-Sachiko-sama ! Sachiko lâcha enfin la main de Yumi après avoir parcouru une bonne distance de la salle des professeurs. - Ce n'est pas la peine de dire des choses qui ne sont pas nécessaires. - Mais... - Plus tu parles et plus la rumeur devient folle et incontrôlable. Si tu veux t'expliquer, explique-toi une seule fois, de façon très détaillée, devant une grande audience, plutôt que d'expliquer petit à petit. Sois un saule dans le vent, tant que la rumeur est forte. Mais il était impossible pour une lycéenne normale de réduire au silence un professeur par un simple sourire, comme le faisait Sachiko. Son raisonnement était bon mais... difficile à mettre à l'œuvre.
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