Editing Moonlight Sculptor~French : Tome 1 Chapitre 10 (section)

=== Part 02 ===
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Régulièrement, le Duc était en réunion avec les chevaliers. Au sein de la citadelle, tous les chevaliers sans exception y participent. Au cours de la réunion, ils discutaient de la manière de repousser les monstres hors de Rosenheim, du projet de recrutement pour service militaire et d'autre sujets militaires pressant.
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« Tu as fait un excellent travail Sire Midvale et les soldiers qu'on vous a assignés, ont été complètement formés. Je suis impressionné qu'ils aient tous un niveau supérieur à cinquante. »<br />

Dit le Duc Kanus.
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« Ce ne fut pas mon œuvre votre Excellence. » Répondit Sire Midvale.<br />

« Huh ? Pourtant j'ai vous personnellement accordé cette mission. Dites moi ce qui c'est passé. »<br />

Dit le Duc.
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« Si vous insistez votre Excellence. » Répliqua Sire Midvale. Il fit alors son rapport détaillé des événements qui eut lieu dans l'Antre de Livart.
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« Hmm...Je vois. » Dit le Duc Kanus, en passant ses doigts dans sa moustache bien brossée.
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Le reste des chevaliers étaient aussi étonnés par cet étranger puisqu'en dehors d'un native de Versailles, cet étranger avait accompli un très bon résultat. Dans le Continent de Versailles, les NPCs se reconnaissaient comme des natives et pour eux, les utilisateurs étaient des hommes libres envoyés par le Divin Prophète Gaea. Les NPCs avaient des émotions, parlaient et agissaient comme de vrai gens grâce à la programmation de l'Intelligence Artificielle.
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« En effet, un excellent personnage Sire Midvale. Mais pourquoi ne pas l'avoir recruté dans l'armée de Rosenheim ? » Demanda le Duc Kanus.
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« Je lui ai demandé par deux fois d'être un officier militaire mais il voulait garder sa liberté et terrasser les monstres à sa façon. » Répondit Sire Midvale.
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« C'est un homme éprit de liberté. » Dit le Duc Kanus, impressionné.<br />

« Oui votre excellence. Bien qu'il n'appartient pas à notre Royaume, il semble qu'il puisse dans un avenir proche, de nouveau se dévouer à Rosenheim. » Dit Sire Midvale.
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« Si vous le dites. Un jour, nous verrons de nouveau à nos côtés sa lame. »<br />

Dit le Duc puis il ferma le sujet de l'Antre de Litvart et passa à un autre sujet.