No Game No Life : Tome 11 Épilogue

Épilogueː Fin Temporaire

Partie 1

Il restait encore beaucoup d'obstacles à franchir et de problèmes à résoudre.

Néanmoins, le château royal d'Elkia avait retrouvé un semblant de normalité, marqué par les échos d'un cri d'étonnement dans ses couloirs.

"Un espace que seuls les couples peuvent quitter ? ! Pourquoi n'ai-je pas été invité ? !"

Lorsque Til apprit le jeu auquel Foeniculum s'était livré avec Sora et les autres lors de la disparition d'Elkia, elle poussa un cri strident du fond de son âme. Sora et Shiro la rejoignirent dans la salle du trône et se bouchèrent les oreilles pour lui répondre.

"Je pense que tout ce qui s'est passé entre toi et Hardenfell a beaucoup trop à voir avec le poison... Attends un peu. Tu voulais venir aussi... ?"

"...Si tu l'as fait...qui serais-tu...allé chercher ? Moi... ou Frère... ?" "Hein ?

! Alors, comment ça s'est terminé ?!"

Til ne remarqua pas le regard acéré de Shiro et insista davantage sur les résultats du jeu.

Sora eut une idée...

Hmmm... Les résultats... ?

En vérité, il n'y a pas de véritables résultats.

Tous leurs sentiments romantiques ont été renforcés pendant qu'ils se trouvaient dans l'espace. Les couples qui en résultent sont le fruit de ces sentiments. Comme l'a dit Foeniculum, une fois qu'ils ont quitté l'espace, leurs sentiments sont revenus à la normale.

En fait... Ce n'est pas tout à fait exact.

Pour Sora, il y a eu un grand changement :

"J'ai été forcé par les Pactes de ne jamais avoir de petite amie pour le reste de ma vie."

"Quelle est la tournure des événements qui a conduit à ce

résultat ? !" s'écria Til. C'était la vérité.

Alors que le jeu consistait à surmonter une myriade de défis différents, c 'était le seul résultat qui restait une fois que tout avait été dit et fait.

"Alors, S-Sir, ça veut vraiment dire que tu seras célibataire pour la vie ? !" "Oui, c'est à peu près ça."

"-...Hein ? Vous n'avez pas l'air très contrarié par ça, vous ne... Monsieur... ?"

Oui... C'est parce qu'il n'y a rien de bouleversant là-dedans. En fait, je ne me suis jamais senti aussi pur de toute ma vie.

Le sourire de Sora était aussi clair et ensoleillé qu'un jour de printemps. Til le regarda, perplexe.

Pourquoi les gens ressentent-ils la douleur et la souffrance ?

Dans l'ancien monde de Sora et Shiro, un grand homme a cherché à répondre à cette question il y a 2 600 ans. Après une longue vie passée à entraîner son âme et son esprit, il a trouvé sa réponse et absout toutes ses souffrances.

La réponse que le grand homme a trouvée, c'est le désir.

Les gens naissent et meurent... C'est une loi inéluctable de la nature. Peu importe la quantité d'argent que vous gagnez, ou l'ampleur de vos réalisations,

toutes les choses du monde finissent par tomber en poussière. Les gens souffrent parce qu'ils tentent de défier la nature - ils veulent arrêter ce cycle.

Mais... Sora a été contraint de renoncer à son désir.

Je n'arriverai jamais à avoir une petite amie.

Les Pactes ont pris ses doutes et, de la même manière que toutes les choses finissent par tomber en poussière, en ont fait une loi immuable de la nature.

Pour Sora, le concept de petite amie n'était plus que le beau reflet de la lune sur la surface de l'eau.

Il n'avait plus besoin de se lamenter sur le fait qu'il n'aurait jamais un enfant à lui. Son cœur et son esprit sont libérés de toute souffrance.

"Regret : Perte définitive de l'avenir brillant de cette unité passé avec le Maître. Rapport : Ré-observation de l'émotion connue sous le nom de 'désespoir'. Plus rien n'a d'importance. Cette unité ne ressent que de la douleur..."

"Merci, Emir-Eins. Vos sentiments ont été honnêtement gaspillés pour moi. Je ne pourrai pas te rendre la pareille, mais je te serais vraiment reconnaissant si nous restions ensemble en tant que joueurs à l'avenir. Je suis vraiment désolé."

Il ne pouvait pas l'aimer en retour. Les Pactes ne le permettraient pas ! !

"La petite amie du maître est une position bien trop élevée pour moi. Je continuerai à te désirer de loin."

"Merci, Jibril. Je sais que tu n'as pas besoin de m'entendre dire ça, mais tu es toujours là pour moi quand j'ai le plus besoin de toi. Est-ce que Shiro et moi pouvons continuer à compter sur vous, en tant que maîtres et compagnons de jeu ?"

"Ah... Vos mots sont trop forts pour moi... ! Ce serait le plus grand des honneurs !" Hélas... Il n'était plus capable de rendre la pareille à ces belles dames !

Sora était divorcé de tout amour ! Il n'était plus que la lueur d'une étoile lointaine ! !!

Il ne pouvait que contempler la beauté intrinsèque née de son inaccessibilité avec un faible sourire placide.

Pourquoi n'ai-je pas de petite amie ?

Une question qu'il n'avait pas à se poser comme il l'avait fait pendant toute sa vie... car de tels désirs étaient désormais physiquement impossibles à réaliser !

Après s'être débarrassé de ses désirs et avoir atteint la vérité du monde, Sora arriva au même endroit que l'homme éclairé mentionné plus haut dans son monde précédent. Sa nouvelle présence d'esprit l'amena à une nouvelle conclusion, issue d'une autre école de pensée. Il s'agissait d'une phrase écrite sur les portes de l'enfer :

"...Abandonnez tout espoir, vous qui entrez ici."

Il s'agissait certainement d'une révélation délivrée par les dieux eux-mêmes, un salut final

.

Même si vous êtes condamné à une éternité en enfer, tant que vous vous débarrassez de tout espoir, vous n'aurez au moins pas à passer ces jours dans le désespoir...

"C'est ton tour, petite Dora. Tu as perdu ta chance, comme nous l'avons perdue. "Qu'est-ce qu'il y a ? Je n'ai rien perdu avec Sora-"

"Recommandation : Cet amour ne sera jamais comblé. Lady Dol devrait se rendre à l'évidence.

les faits. Kommen sie."

Tout ce que Sora pouvait faire était de regarder avec tendresse l'ancienne Alliance Fille contre Fille se reformer momentanément.

Ah... Comme j'ai été stupide.

J'ai Shiro à mes côtés et toutes ces belles femmes à contempler.

C'est plus qu'une bénédiction en soi ; mon monde était déjà rempli d'une lumière brillante. Toute ma souffrance est née du fait de les considérer comme des petites amies potentielles,

de mes désirs charnels superflus.

Et maintenant, je ne pourrai plus jamais sortir avec aucun d'entre eux.

Sora en était convaincu. Libéré de toutes les préoccupations du monde, il pouvait apprécier ces précieuses demoiselles avec un esprit pur...

C'était comme convoiter une fleur qui finirait par perdre ses pétales. Ou verser une larme sur les étoiles qu'il ne pourra jamais atteindre.

Il avait l'impression de regarder un tableau, ému par la beauté qui se dégageait de la toile.

Il pouvait simplement être présent, ne ressentant rien d'autre que de la tendresse...

Ah oui, maintenant je peux apprécier ces choses sérieusement. Comme l'amour d'une femme est sacré quand il n'a pas de rapport avec le moi, comme il est sublime. Je comprends maintenant ce que doivent ressentir les Fées et les Foeniculum... !

L'esprit de Sora était enveloppé de toute la sérénité de la surface d'un lac sans vent...

"Hmm ? Sora, tu réalises que tu as juré sur les Pactes de ne jamais avoir de petite amie pour le reste de ta vie ?

petite amie pour le reste de ta vie, n'est-ce pas ?"

-C'est alors qu'une certaine fée surgit de nulle part et s'apprête à faire voler en éclats son calme retrouvé.

C'est vrai, elle était sur le point de déverser un énorme rocher dans son lac calme et sans vent.

"Il y a beaucoup d'autres relations que tu peux avoir, comme des amants, des amis avec des avantages - tu peux même créer ton propre harem. Tu as toujours le droit, en vertu de ton alliance, de sauter l'étape de la petite amie et de te marier si tu le souhaites vraiment.

"

À cet instant, le temps s'est pratiquement arrêté.

Du moins, il s'est certainement arrêté dans la salle du trône du château royal d'Elkia. Et puis il a basculé est revenu sur - à quel point... """" """"

...même Sora remarqua la passion ravivée dans les yeux de ses belles compagnes, attristées.

Espèce de petite merde Pourquoi as-tu fait ça alors que j'ai réussi à abandonner tout

espoir et à atteindre le nirvana. !

Sora communiqua ce sentiment à Foeniculum par un simple regard, mais un sourire suffit à faire passer sa réponse :

Parce que c'est bien plus intéressant ainsi, duh. ". Oookay,

prenons le temps de réfléchir à tout ça. D'accord, les gars ? Les gars ?" Le

groupe se rapproche lentement de Sora.

Mais il a tout juste réussi à empêcher le rocher de s'écraser. Sora tendit les bras, stoppant les femmes dans leur élan.

Heh, heh-heh. Vous avez failli m'avoir, mais je reste maître de la situation.

Le jeu de Foeniculum a produit un autre résultat - enfin, pas exactement un résultat, mais plutôt une reconfirmation.

Shiro et moi sommes deux en un.

Nous serons toujours ensemble - jusqu'à ce qu'elle me r e p o u s s e . Cette promesse

signifie

plus pour moi que n'importe quelle alliance.

Ils ne signifient rien ! J'ai peut-être perdu de vue cette vérité absolue tant elle est évidente, mais maintenant je vois à nouveau la lumière !

Même si j'avais envie de m'engager avec l'une de ces femmes... ce n'est pas à moi seul de prendre cette décision !

Si mon autre moitié-Shiro dit non, alors la réponse est un retentissant non !

Par conséquent, les paroles de Foeniculum n'ont aucun effet sur moi !

Inébranlable dans ses convictions, Sora regarda ses genoux, où sa sœur était assise. Cependant, elle répondit comme elle l'avait fait lors de leur rencontre :

Elle répondait comme elle l'avait fait lors de leur première nuit dans ce monde. Il y avait comme un air de déjà-vu ; Shiro lui donna un coup de pouce et répondit :

"...Frère, merci d'avoir perdu ta virginité." "Pourquoi es-tu d'accord avec ça maintenant ? !"

Pourquoi ? ! POURQUOI MAINTENANT, DE TOUS LES TEMPS ?!

Sora paniqua ; il tenta d'éloigner les femmes qui se concentraient sur lui en criant "Whoooa, whoa, whoa, Shiro !!". Et vous autres ! Tout le monde se calme un instant ! Shiro, c'est toi qui m'as empêché d'avoir une copine ! !! Je n'ai aucune idée de la raison pour laquelle tu me donnes le feu vert ici et maintenant ! !!"

Shiro resta cependant silencieuse face aux interrogations désespérées de son frère. Elle sourit faiblement - sa réponse était basée sur une simple logique.

...Mon frère ne m'abandonnera jamais...

C'est vrai, Shiro savait que son frère ne la quitterait jamais. Personne ne pouvait l'éloigner d'elle, et elle ne l'abandonnerait jamais. Leur lien avait depuis longtemps dépassé celui d'amants, sans parler de celui d'époux.

Alors... alors... s'il il fait a passe à quelqu'un - ou vice versa ? Non problème.

...Frère a promis...qu'il me ferait des avances, plus t a r d ... Perdre sa virginité...plus tôt que plus tard...c'est mieux...pour moi.

perdre sa virginité... plus tôt que plus tard... c'est mieux... pour moi.

Elle voulait en fait qu'il fasse un pas vers quelqu'un d'autre. Alors il n'aurait plus d'excuses pour ne pas faire un pas vers elle ! Des amants, des aventures, des amis avec des avantages - même un harem...

Shiro confirma à nouveau que ces relations n'avaient en fait aucune importance par rapport à sa propre position.

En d'autres termes, elle était sa première dame, sa reine.

Elle était la seule et unique véritable héroïne de son histoire, la position ultime à occuper.

Et cette position était inébranlable. Ce fait était tout ce dont elle avait besoin pour poser sa prochaine question.

"...Alors...Frère... Qui vas-tu...faire, en premier ?"

"Heh... Heh-heh-heh-heeeh, en effet ! !! Je vais m'occuper de ça, je vais le faire ! !! Ta première f o i s devrait être avec ta grande soeur, ça devrait ! !"

"Dans quelle culture ? ! C'est comme ça qu'ils font les choses à Hardenfell ? ! Comme un porno à petit budget ? ! Aussi, Til, laisse-moi vérifier quelque chose très rapidement - est-ce que tu te considères toujours comme ma grande sœur ? !"

"J'ai cru comprendre que le monde de Maître avait une pratique selon laquelle un homme atteint l'âge adulte en affinant ses prouesses sexuelles avec une femme plus âgée avant de se marier. Dans ce cas, pourquoi ne pas élire l'aînée d'entre nous pour... ?"

"Vous parlez d'une seule culture d'une partie spécifique de notre monde pendant le Moyen-Âge !!!"

"Conjecture : La présence de la petite soeur inhibe le maître... Rapport : Cette unité est une Ex Machina. Une machine insensible. Un outil. Les relations avec cet outil équivalent à de la masturbation. Il n'y a pas d'obstacle aux relations sexuelles avec cette unité. Umarmen ?"

"On ne peut pas choisir quand on agit comme une machine !!! Même un outil doit avoir une certaine forme de honte !!"

"Si vous ne pouvez pas décider, Maître, pourquoi ne pas nous prendre tous en même temps ? "

"Attendez un instant !" Steph a hurlé. "Tu ferais mieux de ne pas m'inclure dans ce compte

!!!"

"Awww, yeahhh ! C'est le genre d'amour que j'aime voir ! Plus il y a de courses, mieux c'est !

"Où est-ce que tu vas pour appeler ça de l'amour ? !"

On peut dire que Foeniculum était au centre de tout ce chaos.

Sora a vu qu'elle dévorait cet échange comme du pop-corn au cinéma et a commencé à lui crier dessus. Puis il s'est dit :

Oui, je savais que c'était impossible. Je me faisais des illusions en pensant qu'un minable comme moi pourrait un jour atteindre l'illumination comme les grandes figures d'antan.

Je ne sais rien. Littéralement. Pas même les choses les plus simples.

Je suis entouré de belles femmes, et Shiro m'a donné sa bénédiction, alors pourquoi les repousser ? !

Peut-être que je n'ai jamais voulu être populaire auprès des femmes... ?

Je ne sais même plus.

Les règles de ce jeu n'ont aucun sens. Combien de temps encore avant que je ne sorte... ?

"Hé, Sora ! Qu'est-ce que tu penses d'Izuna ? J'aimerais bien qu'une Immanité et une bête-garou se rencontrent ! Maintenant que j'ai dépensé tout notre argent pour libérer Elkia, je n'ai plus d'âmes ! Je peux toutes les récupérer si tu me laisses diffuser tes escapades romantiques ! Et impliquons ce vieux Deus Holou ! Je parie que ce garçon Dhampir travesti serait un succès, aussi ! Ooh, et aussi, mes infos m'ont donné le scoop qu'il y a une Elfe aux seins géants et une Immanité au torse plat qui se lesbianisent ensemble ! Où diable les cachez-vous ? !"

"Arrêtez de rendre ça encore plus confus ! !! Et il n'y a aucune chance que ces deux-là soient ici ! !" Sora hurla à l'appel de la fée qui réclamait encore plus de chaos.

Finalement, il repoussa une à une la horde de jolies femmes.

Et comme il le faisait toujours, il attrapa la main de Shiro et s'enfuit, ne comprenant rien à ce qui lui arrivait...

Partie 2

À l'ouest de Lucia se trouve le continent de Valar.

Il y a encore deux mois, ce territoire était connu sous le nom de Tírnóg, l'état du Gard Elfique.

Sept jours auparavant, il s'agissait d'une enclave du Commonwealth en cours de reconquête ( ).

Elle était désormais occupée par la République d'Elkia.

Sorte de nouvelle frontière pour l'Immanité, la ville a conservé une partie de sa splendeur elfique d'origine tout en accueillant en masse ses nouveaux résidents, des fuyards de la République.

Toutes les routes de la ville se rejoignaient en son centre, où se dressait un grand bâtiment blanc. A l'origine manoir de l'Elfe qui gouvernait Tírnóg, il avait été transformé en bâtiment public pour le redéveloppement de l'Elkian.

Aujourd'hui, c'est un bureau du gouvernement de la République d'Elkia.

A l'intérieur, il abritait une salle d'assemblée où un parlement ad hoc discutait... Non... cela ne pouvait pas être considéré comme une discussion. La conversation s'était transformée en un échange d'invectives amères sur ...

Rien d'étonnant à cela, puisque la plupart des membres présents étaient issus de l'ancienne Confédération Commerciale - des espions de diverses races.

En d'autres termes : Des parasites qui ont utilisé leurs mécènes pour se surpasser les uns les autres et se remplir les poches. Des traîtres qui se sont détournés de leur pays pour leur profit personnel.

Il n'y avait aucun espoir d'un discours constructif de la part de ceux qui s'intéressaient d'abord à eux-mêmes et à leurs partenaires étrangers.

Et maintenant, ces mêmes personnes se vantaient d'être les Elkia légitimes, ceux qui servaient vraiment l'Immanité. C'était comme une mauvaise blague, et pire que tout : Ils y croyaient vraiment...

Je sais que les choses doivent être difficiles en ce moment dans le Commonwealth, mais la République est en fait une poubelle pleine de nobles et de politiciens corrompus.

Sous son sourire enjolivé, une jeune femme maudit secrètement le parlement tout entier en franchissant la porte.

Dès qu'elle a franchi la porte le silence se fait.

Les conseillers ont cessé de se chamailler au pied levé dès qu'ils ont vu deux femmes entrer dans l'hémicycle.

Rien d'étonnant à cela. Ces deux-là étaient la raison pour laquelle les conseillers étaient si bavards au départ.

Elles les avaient amenés ici juste à temps pour que Stéphanie Dola puisse les punir. Les traîtres s'assirent dans un silence impatient.

Une ravissante Elfe aux cheveux d'or pâle suivait sans mot dire une Immanité aux cheveux noirs dans la salle. Sans se soucier des regards indiscrets des conseillers, cette dernière s'installa à la tête de l'assemblée.

Ces deux femmes étaient :

L'inspecteur général délégué du Gard elfique, Fiel Nirvalen.

Et juste devant elle : la présidente du parlement de la République d'Elkia, Chlammy Zell. "Maintenant... Venez, que le jeu commence."

Chlammy arborait un sourire diabolique et tordu, ses yeux étaient pleins de dégoût lorsqu'elle prononça sa déclaration.

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