Kagerou Days : Tome 1 Kagerou 3
Je me demande quand fut le commencement. Le véritable commencement.
Pour les cours d’été, on était supposé aller à la maison de la famille de Hiyori qui habitaient dans la campagne.
Si je me rappelle bien, c’était ce que l’on était censé faire.
Je me demande, quel était le prénom de la personne aux cheveux blancs qui se trouvait à la maison. Je crois que c’était prénom très bizarre, mais je ne peux pas trop parler sur les autres aussi. Un prénom comme Hibiya est moyennement bizarre. Cette grande personne qui faisait les choses à son rythme.
Peut-être que je devrais demander à Hiyori, elle s’en souvient probablement.
J’ai l’impression, d’avoir déjà posé ces questions plusieurs fois par le passé.
Je me demande, quel était son nom… bon peu importe.
Maintenant que j’y pense, je me demande ou est allé Hiyori. Je suis sûr que l’on a quitté la maison ensemble. A-ton déjà était, une fois, seul comme cela. Je sens que cela est déjà arrivé, mais en même temps je sens que ce n’est jamais arrivé.
Huh …. Il commence même à pleuvoir.
C’est probablement la première fois, je crois …
À l’intérieur du rêve qui continue de se répéter.
la pluie que la météo n’avait pas prédite changea le paysage de la ville.
La voix des criquets qui criaient tellement et la chaude brume aussi était complètement cachée par les ombres aujourd’hui.
« Hé… toi. »
« Qu’est qu’il y a ? »
« Es-tu venu ici tout seul? »
« Non …… Je suis venu avec une amie, mais on a été séparé.»
« Une amie ?»
« Oui. On est tout le temps ensemble. Mais je sens que l’on ne va pas pouvoir se voir aujourd’hui… »
« Je vois. Veux-tu “la” voir ?»
« …. Je veux. »
« Je vois. Alors cela se passera bien. Toi, et elle aussi, allez sûrement… »
« … Où vas-tu ? »
« Cela ne me dérange pas si tu me suis, mais es-tu sûr que tu ne vas pas le regretter ? »
« Oui.»
« Aide …. ?»
« Alors, viens avec moi. Les personnes comme toi, les personnes qui aident, seront sûrement entrain d’attendre. »
« — — C’est pour cela, n’oublie jamais ce qu’il s’est produit aujourd’hui. »
« Parce qu’il y a sûrement quelque chose que leurs yeux et tes yeux peuvent voir. »
