Editing Date A Live:Tome 5 Chapitre 4

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=== Partie 8 ===
 
=== Partie 8 ===
 
Soudain, *whack**whack**whack*… alors qu’elle réfléchissait, le bruit du vent extérieur retentit comme un tremblement de terre, *criii**criii*, les murs extérieurs de l’hôtel commencèrent à craquer.
 
 
Il y avait diverses réactions parmi les étudiants à l’intérieur de celui-ci : ceux qui allumèrent la télévision pour s’informer sur la météo, ceux qui étaient effrayés par le tonnerre, et qui s’empressèrent de se cacher sous leur futon, et ceux qui étaient nonchalants et qui rigolaient en disant que c’était une bonne chose que la tempête ne soit pas arrivée pendant l’après-midi.
 
 
Néanmoins, bien évidemment, personne ne quitta l’hôtel afin d’éviter d’être emporté par le vent.
 
 
… Tous, à l’exception de Tobiichi Origami.
 
 
« … »
 
 
Elle mit silencieusement ses chaussures et posa ses mains sur la porte de l’hôtel.
 
 
La raison était simple et quelconque : lorsqu’elle était allé voir Shidou, précédemment, elle avait appris par Aii, qui logeait dans la même chambre que Tohka, que cette dernière avait été vue en train de sortir de l’hôtel avec lui.
 
 
Les actions d’Origami avait été rapides : elle avait dégagé les mains de Aii, qui avaient tenté de l’attraper pour l’amener à leur partie de jeu de cartes et, alors qu’elle courait vers l’entrée de l’hôtel, à mi-chemin, elle reçut un avertissement de la part de Tamae sur le fait « qu’elle ne devait pas courir dans les couloirs ». Les jambes d’Origami ne pouvaient pas s’arrêter à cause d’une tempête.
 
 
Elle n’était déjà pas contente d’apprendre que Shidou et Tohka étaient sortis ensemble, mais, pire encore, au cours d’une tempête comme celle-ci, il était extrêmement dangereux de sortir dans les alentours de l’hôtel à cause de la proximité avec la mer. Elle devait ramener Shidou aussi vite que possible.
 
 
La tempête était forte, mais elle n’était pas assez forte pour qu’on ne puisse pas marcher dehors. Origami poursuivit sa route…
 
 
« … ?! »
 
 
Elle ressentit une présence derrière elle et, immédiatement, elle s’écarta en sautant de sa position.
 
 
A cet instant, provenant de l’endroit où Origami se trouvait, *clash*, un bruit métallique se fit entendre.
 
 
« Que… »
 
 
Origami regarda la chose qui venait d’apparaître-là et ses sourcils le levèrent légèrement.
 
 
Elle vit une chose qui avait forme humaine avec son poing enfoncé dans le sol.
 
 
Pendant un moment, Origami pensa qu’il s’agissait d’un membre de l’AST. En réalité, ce genre d’équipement était similaire à une CR-Unit, donc similaire aux équipements officiels de l’AST. Elle ressentit un léger mal de tête au moment où le Territory s’activa à bout portant. Il n’y avait, très certainement, aucune erreur possible sur le fait qu’il avait activé un Realizer.
 
 
Mais… non, l’unité que cette chose portait n’était clairement pas humaine.
 
 
Un extérieur inorganique qui faisait penser à quelque chose qui n’avait pas de vie. Il avait également des mains et des jambes crochues uniquement conçues pour leur efficacité.
 
 
C’était une machine à l’apparence humaine qui était généralement désignée comme un robot ou une poupée.
 
 
« Qu’est-ce que c’est… que ce bordel ? »
 
 
Laissa échapper Origami comme si elle extirpait cette voix hors de sa gorge. Le Realizer ne pouvait être contrôlé que par un cerveau humain. Donc, pour qu’un robot humanoïde comme celui-ci puisse utiliser un Territory…
 
 
« Kuh… »
 
 
Ce genre de réflexion fut bien vite interrompu, la poupée inorganique bondit vers Origami.
 
 
Elle réussit à l’esquiver de justesse et à prendre autant de distance qu’elle put.
 
 
« Qui es-tu ? »
 
 
Misant sur ce mince espoir, elle essaya de lui parler, mais, comme prévu, elle ne répondit pas. Au lieu de cela, sans montrer la moindre réaction, elle attaqua plusieurs fois consécutives.
 
 
« … »
 
 
Origami esquiva au cheveu près, elle avait une sensation étrange.
 
 
Autant qu’elle pouvait le constater, la poupée était équipée d’un équipement basique tel que l’épée laser et le pistolet, mais, pour diverses raisons, elle ne témoignait aucune intention de l’utiliser contre elle, elle se contentait d’attaquer à mains nues.
 
 
C’était comme…si elle essayait de capturer Origami qui était désarmée… comme si elle était là pour l’empêcher d’aller plus loin.
 
 
« … ne me dérange… »
 
 
Esquivant par un bond en arrière, la voix d’Origami trembla de colère. Malgré le fait que le danger s’approchait de Shidou, elle était coincée ici.
 
 
Et, ainsi… à cet instant précis…
 
 
« … Tobiichi Origami, qu’est-ce que tu fais ? C’est dangereux dehors, dépêche-toi de revenir à l’hôtel. »
 
 
C’était la voix endormie du professeur Murasame Reine. Lorsqu’elle avait quitté l’hôtel, elle avait probablement été aperçue par quelqu’un, personne qui venait actuellement vers elle.
 
 
« … Professeur, rentrez ! »
 
 
Mais, avant même qu’elle ait pu finir sa phrase, la poupée avec qui elle se battait, *creak**creak*, tourna sa tête en direction de Reine.
 
 
« … hmmm ? Qui es-tu ? Je suis désolée mais notre étudiante… »
 
 
Elle prononça ces mots à l’intention de la poupée, mais, elle s’interrompit, très probablement, en remarquant que la personne à qui elle s’adressait n’était pas humaine.
 
 
Mais, c’était trop tard. La poupée changea de cible et chargea avec ses bras vigoureux tels des souches d’arbres en direction de Reine.
 
 
« Kuh… »
 
 
Après qu’Origami ait soupiré, immédiatement, elle frappa le sol du pied et poussa Reine.
 
 
L’instant d’après…
 
 
« Ka…ha… »
 
 
Elle reçut un violent coup dans l’estomac qui la projeta facilement en arrière.
 
 
Une douleur intense frappait son flanc et sa respiration devint difficile. Sa conscience s’embruma et sa vision devint floue.
 
 
« Professeur… dépêchez-vous, enfuyez-v… »
 
 
En même temps qu’elle aperçut la silhouette d’une poupée dans le dos de Reine, elle sombra dans l’inconscience.
 
   
 
=== Partie 9 ===
 
=== Partie 9 ===

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