Zero no Tsukaima (version française):Volume1 Chapter3: Difference between revisions
mNo edit summary |
mNo edit summary |
||
Line 120: | Line 120: | ||
Miss Longueville était à son bureau, assise comme si rien ne s'était passé. Sir Osman avait les mains derrière son dos, et se tourna vers le visiteur avec un air grave. C'était un retour en place vraiment rapide. | Miss Longueville était à son bureau, assise comme si rien ne s'était passé. Sir Osman avait les mains derrière son dos, et se tourna vers le visiteur avec un air grave. C'était un retour en place vraiment rapide. | ||
"J- | "J-J-J'ai une grande nouvelle !" | ||
"Il y a plus de grandes nouvelles. Tout n'est plus qu'une succession de petits évènements." | "Il y a plus de grandes nouvelles. Tout n'est plus qu'une succession de petits évènements." | ||
Line 150: | Line 150: | ||
<center>* * *</center> | <center>* * *</center> | ||
--- A compléter ( | C'était juste avant l'heure du dîner quand ils finirent finalement à remettre en ordre la salle de classe que Louise avait mis en désordre. Comme punition, l'utilisation de la magie pour nettoyer avait été interdite, donc cela prit un temps considérable. Mais de toute façon, Louise ne pouvait pas vraiment utiliser la plupart des sorts, donc cela ne changeait pas grand chose pour elle. Mme. Chevreuse avait repris connaissance deux heures après avoir subie l'explosion, mais bien qu'elle soit revenue pour faire la classe, elle ne fit pas d'autre leçon sur la Transmutation durant toute la journée. Il semblerait qu'elle en ait été assez traumatisée. | ||
Ayant fini de remettre en ordre, Louise et Saito se dirigeaient vers la cantine pour le dîner. | |||
Sur le chemin, Saito se moqua de Louise de nombreuses fois. Après tout, c'était la faute de Louise si il avait du faire tout ce travail manuel à l'instant. C'était Saito qui avait porté la nouvelle vitre pour la fenêtre. C'était Saito qui avait déplacé tous les lourds bureaux. Et bien sûr, c'était Saito qui avait nettoyé la salle de classe noire de suie avec un chiffon. Tout ce que Louise avait fait était de nettoyé quelques bureaux, et avec réticence. | |||
''Je dois dormir sur le sol. La nourriture est mauvaise. Et en plus de ça, je dois laver des sous-vêtements (Même si je ne l'ai pas encore fait).'' | |||
Avec tout ces mauvais traitements de la part de Louise, il était impossible à Saito de rester silencieux après la découverte de son point faible. Il la taquina comme si il n'y avait pas de lendemain. | |||
"'Louise la Zéro.' Maintenant je comprends~ C'était vraiment parfait~ Un taux de réussite de zéro. Mais une noble malgré ça... fantastique !" | |||
Louise resta silencieuse, ce qui incitait Saito encore plus. | |||
"Transmutation ! Ah ! Kaboom ! Transmutation ! Ah ! Kaboom ! Oh, je me suis loupé ! Seule 'la Zéro' se loupe comme ça !" | |||
Saito dansait en tournant autour de Louise, en levant les bras à chaque fois qu'il disait "kaboom", imitant une explosion. C'était une interprétation très détaillée. | |||
"Maîtresse Louise. Ce modeste familier a composé une chanson pour vous." dit Saito, en inclinant la tête avec respect. Bien sûr, c'était un geste vide, une complète dérision. | |||
Les sourcils de Louise se crispèrent. Saito était si content qu'il ne remarqua pas qu'elle était sur le point d'exploser. | |||
"Pourquoi ne pas la changer alors ?" | |||
"'Lou-Lou-Louise est un cas si désespéré~ Une magicienne qui ne peut même pas utiliser la magie ! Cependant ce n'est pas un problème ! Parce qu'elle est une fille...'" | |||
Saito se tenait l'estomac quand il éclata de rire. | |||
"Bwahahaha !!" | |||
Il riait de sa propre blague. Peut-être était-il aussi un cas désespéré. | |||
<center>* * *</center> | |||
Quand ils arrivèrent dans la cantine, Saito tira la chaise de Louise. | |||
"Souvenez-vous, ma lady. Ne lancer aucun sort sur la nourriture. Imaginez le désordre si elle explosait." | |||
Louise s'assit sur la chaise sans rien dire. Saito était complètement satisfait, ayant pu se moquer de Louise plusieurs fois. Cette victoire totale compensait ce que cette impertinente et vaniteuse Louise lui faisait subir. Même ce faible repas ne le dérangeait plus tant que ça. | |||
Alors que la maigre soupe et le pain servis était toujours douloureux à subir, c'était une assez bonne contrepartie pour avoir ri autant plus tôt. | |||
"Donc, Fondateur quelque chose. Votre Majesté la Reine. Merci beaucoup pour cette nourriture ridicule. Itadakimasu." | |||
Alors qu'il allait manger, le plat fut retiré. | |||
"Qu'est-ce que tu fais ?!" | |||
"C-C-C..." | |||
"'C-C-C'?" | |||
Les épaules de Louise tremblaient de colère, tout comme sa voix. Apparemment, elle avait réussi à contrôler sa colère jusqu'à ce qu'ils atteignent la table. Probablement pour pouvoir punir de manière appropriée. | |||
"C-C-C-Ce familier, comment oses-t-il dire de t-t-t-telles choses à son m-m-m-maître ?" | |||
Saito se rendit compte qu'il avait été trop loin. | |||
"Je suis désolé ! Je ne le dirais plus, alors rends-moi ma nourriture !" | |||
"Non ! Absolu~~ment pas ! Non !" cria Louise, son mignon visage déformé par la colère. | |||
"Une suppression de repas pour chaque fois que tu as dit 'Zéro' ! Et c'est définitif ! Pas d'exceptions !" | |||
<center>* * *</center> | |||
Après ça, Saito sortit de la cantine sans avoir manger quoique ce soit. | |||
''Je n'aurais pas dû être si sarcastique...'' Mais il était trop tard pour avoir des regrets. | |||
"Haa, je meurs de faim... Zut..." | |||
Serrant son estomac, il s'appuya sur un mur avec une main. | |||
"Est-ce qu'il y a un problème ?" | |||
Il se tourna et vit une fille avec un air normal dans un uniforme de servante et portant un grand plateau en argent, qui le regardait de manière inquiète. Ses cheveux noirs était parés avec élégance d'un serre-tête, et ses taches de rousseur étaient mignonnes. | |||
"Ce n'est rien..." Saito agita sa main gauche. | |||
"Est-ce que par hasard vous ne seriez pas celui qui est devenu le familier de Miss Vallière... ?" | |||
Il semblerait qu'elle ait aperçu les runes inscrites sur la main gauche de Saito. | |||
"Tu me connais ?" | |||
"Un petit peu. C'est devenu une rumeur, tu sais, qu'un roturier soit appelé par la magie d'invocation." | |||
La fille souriait de manière adorable. C'était le premier sourire insouciant que Saito avait vu depuis son arrivée dans ce monde. | |||
"Es-tu aussi une magicienne ?" demanda Saito. | |||
"Oh non, pas moi. Je suis une roturière, juste comme toi. Je sers la noblesse ici en faisant des tâches domestiques." | |||
''Je suis en réalité de la Terre et pas un roturier, mais c'est probablement inutile d'essayer d'expliquer.'' Saito décida de simplement se présenter. | |||
"Je vois... Eh bien, je suis Hiraga Saito. Enchanté." | |||
"C'est un nom assez étrange... Je suis Siesta." | |||
A ce moment-là, l'estomac de Saito gronda. | |||
"Tu dois avoir faim." | |||
"Oui..." | |||
"S'il te plait suis-moi." | |||
Siesta commença à marcher. | |||
<center>* * *</center> | |||
--- A compléter (24%) --- |
Revision as of 11:03, 5 February 2008
Chapitre Trois : Légende
Mr. Colbert était un professeur qui avait dédié vingt années de sa vie à l'Académie de Magie de Tristain et était maintenant un de ses piliers.
Son nom runique était "Colbert le Serpent de Feu", et naturellement, il était un magicien spécialisé dans la magie de feu.
Depuis l'Invocation de Familier de Printemps quelques jours plus tôt, il s'était intéressé au garçon roturier que Louise avait invoqué. Ou plus précisément, il était particulièrement intéressé par les runes qui étaient apparues sur la main gauche du
garçon. C'étaient des runes inhabituelles. Et donc ces dernières nuits il s'était isolé dans la librairie et avait examiné de nombreux livres.
La librairie de l'Académie de Magie de Tristain se trouvait dans la même tour que la cantine. La bibliothèque était incroyablement grande. Elle était impressionnante car composée de rangées de livres d'environ 30 mètres de haut alignées contre
le mur. Et c'était à juste titre, puisque cet endroit regroupait l'histoire de tout ce qui avait eu lieu depuis la création du nouveau monde en Halkeginia par le Fondateur Brimir.
Colbert était maintenant dans la section de la bibliothèque portant le nom "Bibliothèque de Fenia" à laquelle seuls les professeurs avaient accès.
Dans les rangées de livres dont les élèves avaient libre accès, il n'avait pas trouvé de réponses le satisfaisant.
Utilisant un sort de Lévitation, il flottait dans les airs au niveau d'une rangée qui était hors d'atteinte et la parcourrait intensément à la recherche d'un livre particulier.
Ses efforts furent récompensés quand son regard tomba sur le titre du livre.
C'était un très vieux livre où le familier utilisé par le Fondateur Brimir était décrit.
Son attention était focalisée sur un paragraphe particulier écrit dans celui-ci, et quand il le lut avec fascination, ses yeux s'ouvrirent en grand.
Il compara un passage du livre avec l'esquisse qu'il avait faite des runes sur la main du garçon.
"Ah !" dit-il avec surprise. A ce moment-là, il perdit la concentration nécessaire pour maintenir sa Lévitation et tomba presque jusqu'au sol.
Tenant le livre, il descendit sur le sol avec précipitation et courut hors de la bibliothèque.
Sa destination était le Bureau du Principal.
Le Bureau du Principal se trouvait au dernier étage de la tour. Sir Osman, l'actuel Principal de l'Académie de Magie de Tristain, était assis avec ses coudes posés sur son élégant bureau en séquoia, en ayant l'air de s'ennuyer terriblement tandis qu'il caressait sa barde blanche et cheveux.
Il enlevait paresseusement des poils des narines avec une pince, quand il murmura lentement "hrm" et ouvrit un tiroir du bureau.
A l'intérieur, il y récupéra un narguilé.
A ce moment-là, Miss Longueville, la secrétaire qui était en train d'écrire quelque chose sur l'autre bureau placé de l'autre côté de la pièce, agita sa plume d'oie.
Le narguilé s'envola dans les airs et atterrit dans la main de Miss Longueville. Sir Osman marmonna de manière déprimée, "Est-ce amusant d'enlever les petits plaisirs d'un vieil homme, Miss..."
"Vénérable Osman, m'occuper de votre santé est aussi une partie de mon travail."
Sir Osman se leva de sa chaise et marcha vers Miss Longueville de manière digne. Il se plaça derrière Longueville qui était assise sur une chaise, et ferma les yeux avec un air grave.
"Chaque jour qui passe est si paisible, trouver quoi faire pour passer le temps devient un véritable problème."
Les rides gravées profondément sur le visage d'Osman montre seulement des indices de l'histoire de ce qu'il a vécu. Certains disent qu'il a 100 ans, voire 300 ans. Personne ne connaît son véritable age. Il est même possible qu'il ne le connaît plus non plus.
"Vénérable Osman," dit Miss Longueville, sans enlever ses yeux de sa plume d'oie qui écrivait sur un parchemin.
"Qu'y a-t-il ? Miss ..."
"S'il vous plait arrêtez de dire que vous n'avez rien à faire comme excuse pour me toucher les fesses."
Sir Osman ouvrit alors légèrement la bouche et commença à déambuler par petits pas.
"S'il vous plait arrêtez de prétendre d'être sénile quand la situation tourne mal," ajouta Miss Longueville avec une voix sans émotion. Sir Osman soupira profondément. C'était un soupir portant le poids de beaucoup de souffrance.
"Où se trouve la vérité ultime ? Y avez-vous pensé ? Miss ..."
"Où qu'elle soit, je vous assure, ce n'est pas sous ma jupe, donc arrêtez de glisser votre souris sous le bureau."
Sir Osman baissa la tête et murmura avec un visage qui semblait triste.
"Montsognir."
Une petite souris apparut de dessous le bureau de Miss Longueville. Elle courut vers la jambe d'Osman, se percha sur son épaule, et leva la tête. Des noix furent sorties d’une poche et placées devant le visage de la souris.
"Chu chu" La souris émit des petits bruits de joie.
"Tu es mon unique véritable ami fiable, Montsognir."
La souris commença à grignoter la noix. Elle disparut rapidement, et la souris recommença à émettre des petits bruits de joie "Chu chu".
"Ah, oui, oui. Tu en veux plus ? Très bien, je vais t'en donner plus. Mais tout d'abord, j'aimerais avoir ton rapport, Montsognir."
"Chu chu"
"Je vois. Blanc. Un blanc pur, hrm. Cependant Miss Longueville devrait continuer avec le noir. N'est-ce pas, mon adorable Montsognir ?"
Les sourcils de Miss Longueville se crispèrent.
"Vénérable Osman."
"Qu'y a-t-il ?"
"La prochaine fois que vous faites ça, je ferais un rapport au palais."
"Kah! Pensez-vous que je pourrais être le Principal de cette Académie si j'avais peur du palais ?!"
Sir Osman cria avec les yeux exorbités. C'était une démonstration impressionnante, complètement inattendue de la part d'un faible vieil homme.
"Ne soyez pas si agitée car j'ai jeté un oeil à vos sous-vêtement ! Avec une telle attitude, vous louperez l'age d'être mariée ! Haa~~ Etre jeune à nouveau~~ Miss ..."
Le vénérable Osman commença à caresser les fesses de Miss Longueville avec un air digne.
Miss Longueville se leva et donna des coups de pied à son patron sans dire un mot.
"Je suis désolé. Arrêtez. Ca fait mal. Je ne le ferais plus. Vraiment."
Le vénérable Osman se couvrit la tête et se recroquevilla. Miss Longueville respirait fortement tout en continuant à donner des coups de pied à Osman.
"Ack ! Comment pouvez-vous ! Traiter une personne âgée ! De cette façon ! Hé ! Ouch !"
Ce moment si "paisible" fut interrompu par une intrusion soudaine.
La porte fut ouverte avec vigueur, et Colbert pénétra à l'intérieur.
"Vénérable Osman !"
"Qu'y a-t-il ?"
Miss Longueville était à son bureau, assise comme si rien ne s'était passé. Sir Osman avait les mains derrière son dos, et se tourna vers le visiteur avec un air grave. C'était un retour en place vraiment rapide.
"J-J-J'ai une grande nouvelle !"
"Il y a plus de grandes nouvelles. Tout n'est plus qu'une succession de petits évènements."
"S'il vous plait regardez ça !"
Colbert passa à Osman le livre qu'il venait tout juste d'avoir lu.
"C'est "Les Familiers du Fondateur Brimir," n'est-ce pas ? Vous continuez à lire de la littérature ancienne ? Si vous avez le temps de faire ça, pourquoi ne pas plutôt imaginer de meilleurs moyens pour collecter les frais scolaire de ces aristocrates négligents ? Monsieur, err... Qu'est-ce que c'était déjà ?"
Sir Osman pencha la tête.
"C'est Colbert ! Vous avez oublié ?!"
"Oui, oui. Maintenant je m'en souviens. Mais comme vous parlez si rapidement je ne l'ai jamais vraiment saisi. Donc, Colby, qu'y a-t-il à propos de ce livre ?"
"S'il vous plait regardez aussi ceci !"
Colbert lui donna alors l'esquisse des runes de la main gauche de Saito.
Au moment où il les vit, l'expression d'Osman changea. Ses yeux brillèrent d'une lumière grave.
"Miss Longueville, pouvez-vous sortir ?"
Miss Longueville se leva et quitta la pièce. Osman parla seulement après avoir confirmer qu'elle était sortie de la pièce.
"Expliquez-moi tout en détail, Monsieur Colbert ..."
C'était juste avant l'heure du dîner quand ils finirent finalement à remettre en ordre la salle de classe que Louise avait mis en désordre. Comme punition, l'utilisation de la magie pour nettoyer avait été interdite, donc cela prit un temps considérable. Mais de toute façon, Louise ne pouvait pas vraiment utiliser la plupart des sorts, donc cela ne changeait pas grand chose pour elle. Mme. Chevreuse avait repris connaissance deux heures après avoir subie l'explosion, mais bien qu'elle soit revenue pour faire la classe, elle ne fit pas d'autre leçon sur la Transmutation durant toute la journée. Il semblerait qu'elle en ait été assez traumatisée.
Ayant fini de remettre en ordre, Louise et Saito se dirigeaient vers la cantine pour le dîner. Sur le chemin, Saito se moqua de Louise de nombreuses fois. Après tout, c'était la faute de Louise si il avait du faire tout ce travail manuel à l'instant. C'était Saito qui avait porté la nouvelle vitre pour la fenêtre. C'était Saito qui avait déplacé tous les lourds bureaux. Et bien sûr, c'était Saito qui avait nettoyé la salle de classe noire de suie avec un chiffon. Tout ce que Louise avait fait était de nettoyé quelques bureaux, et avec réticence.
Je dois dormir sur le sol. La nourriture est mauvaise. Et en plus de ça, je dois laver des sous-vêtements (Même si je ne l'ai pas encore fait).
Avec tout ces mauvais traitements de la part de Louise, il était impossible à Saito de rester silencieux après la découverte de son point faible. Il la taquina comme si il n'y avait pas de lendemain.
"'Louise la Zéro.' Maintenant je comprends~ C'était vraiment parfait~ Un taux de réussite de zéro. Mais une noble malgré ça... fantastique !"
Louise resta silencieuse, ce qui incitait Saito encore plus.
"Transmutation ! Ah ! Kaboom ! Transmutation ! Ah ! Kaboom ! Oh, je me suis loupé ! Seule 'la Zéro' se loupe comme ça !"
Saito dansait en tournant autour de Louise, en levant les bras à chaque fois qu'il disait "kaboom", imitant une explosion. C'était une interprétation très détaillée.
"Maîtresse Louise. Ce modeste familier a composé une chanson pour vous." dit Saito, en inclinant la tête avec respect. Bien sûr, c'était un geste vide, une complète dérision.
Les sourcils de Louise se crispèrent. Saito était si content qu'il ne remarqua pas qu'elle était sur le point d'exploser.
"Pourquoi ne pas la changer alors ?"
"'Lou-Lou-Louise est un cas si désespéré~ Une magicienne qui ne peut même pas utiliser la magie ! Cependant ce n'est pas un problème ! Parce qu'elle est une fille...'"
Saito se tenait l'estomac quand il éclata de rire.
"Bwahahaha !!"
Il riait de sa propre blague. Peut-être était-il aussi un cas désespéré.
Quand ils arrivèrent dans la cantine, Saito tira la chaise de Louise.
"Souvenez-vous, ma lady. Ne lancer aucun sort sur la nourriture. Imaginez le désordre si elle explosait."
Louise s'assit sur la chaise sans rien dire. Saito était complètement satisfait, ayant pu se moquer de Louise plusieurs fois. Cette victoire totale compensait ce que cette impertinente et vaniteuse Louise lui faisait subir. Même ce faible repas ne le dérangeait plus tant que ça.
Alors que la maigre soupe et le pain servis était toujours douloureux à subir, c'était une assez bonne contrepartie pour avoir ri autant plus tôt.
"Donc, Fondateur quelque chose. Votre Majesté la Reine. Merci beaucoup pour cette nourriture ridicule. Itadakimasu."
Alors qu'il allait manger, le plat fut retiré.
"Qu'est-ce que tu fais ?!"
"C-C-C..."
"'C-C-C'?"
Les épaules de Louise tremblaient de colère, tout comme sa voix. Apparemment, elle avait réussi à contrôler sa colère jusqu'à ce qu'ils atteignent la table. Probablement pour pouvoir punir de manière appropriée.
"C-C-C-Ce familier, comment oses-t-il dire de t-t-t-telles choses à son m-m-m-maître ?"
Saito se rendit compte qu'il avait été trop loin.
"Je suis désolé ! Je ne le dirais plus, alors rends-moi ma nourriture !"
"Non ! Absolu~~ment pas ! Non !" cria Louise, son mignon visage déformé par la colère.
"Une suppression de repas pour chaque fois que tu as dit 'Zéro' ! Et c'est définitif ! Pas d'exceptions !"
Après ça, Saito sortit de la cantine sans avoir manger quoique ce soit.
Je n'aurais pas dû être si sarcastique... Mais il était trop tard pour avoir des regrets.
"Haa, je meurs de faim... Zut..."
Serrant son estomac, il s'appuya sur un mur avec une main.
"Est-ce qu'il y a un problème ?"
Il se tourna et vit une fille avec un air normal dans un uniforme de servante et portant un grand plateau en argent, qui le regardait de manière inquiète. Ses cheveux noirs était parés avec élégance d'un serre-tête, et ses taches de rousseur étaient mignonnes.
"Ce n'est rien..." Saito agita sa main gauche.
"Est-ce que par hasard vous ne seriez pas celui qui est devenu le familier de Miss Vallière... ?"
Il semblerait qu'elle ait aperçu les runes inscrites sur la main gauche de Saito.
"Tu me connais ?"
"Un petit peu. C'est devenu une rumeur, tu sais, qu'un roturier soit appelé par la magie d'invocation."
La fille souriait de manière adorable. C'était le premier sourire insouciant que Saito avait vu depuis son arrivée dans ce monde.
"Es-tu aussi une magicienne ?" demanda Saito.
"Oh non, pas moi. Je suis une roturière, juste comme toi. Je sers la noblesse ici en faisant des tâches domestiques."
Je suis en réalité de la Terre et pas un roturier, mais c'est probablement inutile d'essayer d'expliquer. Saito décida de simplement se présenter.
"Je vois... Eh bien, je suis Hiraga Saito. Enchanté."
"C'est un nom assez étrange... Je suis Siesta."
A ce moment-là, l'estomac de Saito gronda.
"Tu dois avoir faim."
"Oui..."
"S'il te plait suis-moi."
Siesta commença à marcher.
--- A compléter (24%) ---