Utsuro no Hako:Tome 1 27755th time

From Baka-Tsuki
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WIP

"Allez, n'y a-t-il pas quelque chose de différent chez moi aujourd’hui ? Hm ?"

Kokone s'approche de moi, ressemblant toujours à la même. Elle m'avait déjà posé cette question avant. C'était déjà quoi la bonne réponse ?

"...Tu t'es mis du mascara."

"Ooh ! Bien joué, Kazu-kun !"

On dirait que j'avais raison.

"...Alors, comment c'est ?"

"Oui, tu es mignonne" Dis-je sans hésitation. Encore une fois, la réponse est correcte. Je n'étais pas trop sérieux, mais Kokone est satisfaite au moment où elle entend "mignonne" et hoche la tête avec un sourire.

"Mhm, mhm. Je vois, tu as de grands espoirs Kazu-kun. Hey, toi—celui à la personnalité tordue ! Tu devrais suivre son exemple."

Elle croise les bras avec satisfaction et tourne sa tête vers Daiya.

"Je préfère arracher cette langue plutôt que de dire ça"

"Ah, la planète entière pousserait un soupir de soulagement. S'il-vous-plait faîtes donc."

"Non, pas ma langue—Je parle de la tienne"

"Haha ! Donc tu désires un intense baiser langoureux avec moi ? Pitié ne te laisse pas emporter par ta fascination pour moi~"

Sans même prendre conscience de la situation où je suis, ils commencent à s'insulter à la vitesse de la lumière, comme d'habitude.

Peu après, Daiya soulève la question de l'étudiant transférée.

"S'il-te-plaît, Viens vite Otonashi-san"



"Je suis Aya Otonashi. Je ne suis intéressée par personne sauf Kazuki Hoshino et le propriétaire"

A ce moment, la salle de classe devient bruyante.

Umm, Otonashi-san ? Tu es une nouvelle élève, alors bien sûr tu peux éviter tes camarades de classe le premier jour. Mais ça fait presque un an que je suis dans cette classe, donc ça marche pas pour moi, tu vois ?

"Qu'est ce qu'elle veut dire par 'le propriétaire' ? De quoi est-il propriétaire ? Veut-elle dire 'la personne qui possède Hoshino' ?

"Cela ne serait ce pas tout simplement sa 'petite copine' ?"

"Ce qui veut dire que Kazuki-kun a une 'petite copine' et que la nouvelle élève Otonashi-san la cherche, mais pourquoi ?

"Je suppose qu'il y avait quelque chose entre lui et Otonashi-san. Peut être qu'ils sortaient ensemble... Donc il joue double jeu ?!"

"Exactement ! Ca doit être ça ! Et c'est plus marrant !"

"Donc tout en étant troublé par des sentiments d'haine et d'amour, elle a pourchassé Hoshino et a intégré notre école. Je suis sûre de ça.

"Ce qui veut dire... que Hoshino a séduit une telle beauté ?! Sérieux !!"

Nos camarades de classe continue à leur guise tout en nous ignorant, nous, le centre de leur discussion. Où diable leurs viennent ces idées ?

"Donc, Hoshino... tu ne faisais que t'amuse de moi..."

"Quoi ?! Tu étais l'autre victime ?!"

"Non... J'étais probablement juste un extra... La troisiè-non, il doit y en avoir d'autres."

"Quoi...le salaud !"

Kokone faisait semblant de pleurer pendant que Daiya en profitait pour faire entendre sa voix d'une manière qu'il ne fait normalement pas. Sérieusement, pourquoi ces deux là s'entendent seulement dans ces situations...

"...Voilà qui est ennuyeux" murmura Otonashi-san. "Grâce à toi, je suis devenue encore plus sujette à curiosité."

Err... En quoi est ce que c'est ma faute ?



Juste après le premier cours, Otonashi-san et moi nous précipitons dehors. Alors que certains de mes camarades naturellement m'encouragent, je sens aussi quelques regards assoiffés de sang de certains des garçons—Mais pas le temps de se tracasser sur ça.

On se pose à notre endroit habituel: l'arrière du bâtiment de l'école.

On ne prendra plus la peine de revenir en classe.

"Je vois. Travailler avec toi veut dire que je m'engouffre directement dans ton réseau de relations. Mince... voilà qui n'est pas pratique."

Non, je suis à peu près sûr que le problème vient de ce que tu leurs a dis.

"Mais c'est la première fois en 27 755 itérations que les rejeter a eu un effet négatif. C'est vraiment amusant."

"Umm, je ne sais pas si tu devrais trouver ça drôle..."

"Sois pas comme ça. Même pour moi les nouvelles expériences sont assez palpitantes. Et les circonstances ont beaucoup changé juste parce qu'on travaille ensemble. Voilà un changement bienvenu."

"Qu'est ce que tu veux dire ?"

"Il y a pu avoir des indices que je n'ai pas remarqué quand j'étais seule"

De mon point de vue, ça vaut définitivement le coup de coopérer, mais... euh...

Étonnamment, elle pourrait avoir raison. Après tout, elle ne savait pas comment la classe 1-6 marchait avant aujourd'hui. Elle ne peut pas comparer aujourd'hu avec les jours d'avant. Pas exemple elle ne sait pas que mon amour pour Mogi-san a évolué entre aujourd'hui et hier—c'est-à-dire pendant la Classe Rejetée.

"Mais qu'est ce qu'on fait maintenant, spécifiquement ?"

"...A propos de ça, Kazuki. J'y réfléchissais encore et suis arrivé à la conclusion que tu pourrais encore être la clé de la Classe Rejeté."

"Hein ? Tu me suspectes encore ?"

"Ce n'est pas ça. Laisse moi te poser une question: comment est ce que tu gardes ta mémoire ?"

"Eh... Qui sait ?"

"C'est un vrai mystère, hein ? Je peux sentir certaines différences entre toi et les autres, mais n'est-ce pas étrange que tu sois le seul qui garde sa mémoire."

"Eh bien... je suppose oui."

"Donc, je suppose que ta faculté est également motivée par les objectifs du propriétaire."

"E..ehh...?"

"Tu es lent, comme toujours. En d'autres termes, il pourrait aussi être dans l'intérêt du propriétaire que tu gardes tes souvenirs."

Le but de la Classe Rejetée est que je garde ma mémoire ?

"C'est impossible. Je ne garde pas tout le temps ma mémoire, non ? Sans toi, j'aurais probablement continué à perdre ma mémoire comme tout le monde."

"Effectivement, c'est le défaut de mon hypothèse. Cependant, il est possible que le maintien de la mémoire est tout aussi corrompu que la reproduction de ce monde du passé. On pourrait expliquer cela si tu prends en compte cette contradiction: le passé ne peut être complètement reproduit si tu conserves ta mémoire."

Cela serait effectivement possible. Mais cela me semble absurde.

"Déjà, pourquoi est-ce qu'on me laisserait conserver ma mémoire ?"

"Comment est ce que je devrais le savoir ?" répond-elle crûment. "Mais je sais qu'elle sentiment pousse les gens le plus."

"Quoi ?"

Otonashi-san me fixe profondément des yeux et dit.

"L'amour"

"...l'amour...?"

Son regard terrifiant m'empêche un instant de lier le mot à son sens. Aah l'amour ?

"Otonashi-san, c'était assez romantique de ta part."

Otonashi-san me regarde avec froideur.

"De quoi ? Un amour suffisamment intense n'est pas différent de la haine de toute façon"

"Pas différent de la haine ?" Je suis déconcerté "...I-Ils sont complètement différents !"

"Ce sont la même chose. ...Non, ils sont différents. L'amour est juste pire que la haine, les gens ne se rendent pas compte à quel point c'est dégoûtant. C'est juste répugnant"

Répugnant, hein...

"Ca n'a pas d'importance maintenant. Kazuki, y a-t-il une personne que tu as en tête ?"

"Tu veux dire quelqu'un qui est amoureux de moi? Impossible qu'il—"

J'allais dire qu'il n'y avait personne comme ça, mais je me rappelle tout d'un coup.

Il y a une personne.

Si elle ne rigolait pas quand elle m'a avoué au téléphone, alors il y a un candidat.

"On dirait que tu as pensé à quelqu'un."

"......"

"Qu'est ce qu'il y a ?"

"...Err, eh bien. Cette fille qui m'aime, elle n'est pas forcément le coupable, pas vrai ?"

"Bien sûr que non. Ce n'est pas suffisant pour prouver sa culpabilité. Mais il n'y a aucune raison de ne pas enquêter sur cette possibilité"

"Enfin... je veux dire, c'est impossible qu'elle soit la coupable."

"Qu'est ce qui te fait dire ça ?"

Je sais que je ne veux juste pas qu'elle soit le coupable.

"Nous avons autant de temps que nous voulons tant que nous restons à l'intérieur de la Classe Rejeté. Nous devons profiter de chaque occasion pour se rapprocher du propriétaire."

"...Mais jusqu'à maintenant tu n'as jamais réussi avec cette méthode, non ?"

"Tu es vraiment rude aujourd'hui, tu le sais ? Mais tu as raison. Pourtant, nous avons comme nouvel indice que la conservation de ta mémoire fait partie des intentions du propriétaire. Je n'ai jamais enquêté avec cette piste avant. On pourrait obtenir de nouvelles informations comme ça."

"Mais—"

"Ne voudrais-tu pas l'innocenter le plus rapidement possible justement parce que tu lui fais confiance ?"

Oui. Otonashi-san a raison.

Je dois également avoir mes doutes sur cette personne, ce qui ne me donne pas envie d'enquêter sur elle.

"......Ok j'ai compris. Je vais t'aider."

"Tu ne devrais pas juste m'aider, mais prendre les devants"

Elle a raison. Je suis celui qui veut sortir de cette Classe Rejetée

...Mais... Quelque chose m'a fortement dérangé depuis un bout de temps maintenant. Il y a quelque chose de bizarre.

"Eh bien, allons-y."

"A-Attends une seconde"

"Pourquoi tu hésites ?! Ma patience commence a atteindre ses limites !"

Ce qui me dérange— ah, je vois.

Quand j'identifie la source de ce malaise, mes oreilles s'échauffent.

"Mh ? Qu'est ce qui se passe Kazuki ? Ton visage est rouge."

"Ah, non, c'est juste que—"

Pourquoi est ce qu'elle m'appelle 'Kazuki' au lieu de 'Hoshino'?

"Quoi ? De quoi tu parles ? ...Hé, pourquoi ton visage ne s'arrête pas de rougir ?"

"...D-Désolé. Oublie"

Depuis quand est ce qu'elle m'appelle par mon prénom ? Pas même mes parents ne s’adressent à moi comme ça. [1]

"...? ...Euh ok, je suppose ? En tout cas, allons-y."

'Otonashi-san' me tourna son dos et commença à marcher.

"O-Ouais...."

Est-ce que je devrais aussi commencer à l'appeler par autre chose que 'Otonashi-san' ? Si je suivais son exemple, je devrais l'appeler...'Aya' ?

...Nononononon !!! Je peux pas ! Je peux pas ! Hors de question !!!

Il faut au moins 'Aya-san'... Non, c'est toujours inadmissible. Mais 'Otonashi-san' fait trop réservé. Il faut quelque chose de plus facile à dire et un peu plus décontractée.

"Ah..."

Une idée me vient. C'est aussi assez embarrassant à dire, mais puisque j'ai déjà utilisé ce nom plusieurs fois, ça devrait marcher.

"......Maria."

Quand je murmure son nom à voix basse, 'Otonashi-san' s'arrête et se retourne. Ses yeux écarquillés.

"Ahh ! D-Désolé !!" Je m'excuse instinctivement après avoir remarqué son brusque réflexe.

"...Pourquoi tu t'excuses ? Tu m'as juste surprise"

"...Alors tu n'es pas en colère ?"

"Pourquoi je serais en colère ? Appelle moi comme tu veux."

"J-Je vois..."

Otonashi-sa... non, la bouche de 'Maria's' se détend.

"Mais parmi tous les choix possibles, tu as quand même choisi Maria... Heh"

"Ah, euh... si tu n'aimes pas..."

"Ca ne me dérange pas. J'ai juste une nouvelle fois confirmé quelque chose."

"Err... Qu'est ce que tu as confirmé ?"

Pour une raison qui m'est inconnue, Maria sourit tendrement.

"Que toi, Kazuki, es un compagnon amusant."



Je fouiller dans quelque chose.

Nous sommes retourné dans la salle de classe, et maintenant je fouille dans les affaires de la fille qui avait l'air de m'aimer.

Bien sûr, je ne le fais pas car je le veux, et je me sens aussi très miteux.

Là, elle est en Education Physique. Maria a décidé qu'au lieu de lui parler directement, on devrait saisir cette opportunité pour chercher des indices dans ses affaires.

Puisque je suis silencieusement arrivé à la même conclusion, j'ai obéi tout en me sentant miteux.

Au fait, cette fouille ne peut porter ces fruits que si je suis celui qui le fait. Maria a déjà cherché à travers les affaires de tout le monde, plusieurs fois. A en juger par l'état actuel des choses, elle n'a rien trouvé d'utile jusqu'à maintenant, ce qui était assez attendu. Maria ne va pas remarquer les changements suspects puisqu'elle ne nous a connu que une journée.

"Euhhh..."

La fille a tracé des traits propres et colorés pour structurer ses manuels. Ses notes sont écrites soigneusement avec des petites et rondes lettres. Et elle a utilisé beaucoup de couleurs ici aussi. Un chat est dessiné sur le bord gauche de l'une est page. Et voilà un autre dessin sur la page suivante, au même endroit. Le même chat à la page suivante... A ce moment là j'ai réalisé que c'était un folioscope. Quand je le feuillette, le chat s'envole sur une fusée, fusée qu'il a faite à partir d'une boîte de conserve. Je souris avant que le regard noir de Maria me contrôle.

Tout compte fait, j'ai trouvé un tas de trucs de filles. Ses affaires sont généralement de couleur rose ou blanche. Son iPod est rempli de J-Pop. Son portefeuille n'est pas à l'intérieur de son sac, elle doit probablement le porter sur elle.

"Oh!"

Je trouve un téléphone portable soigneusement décoré- une mine de renseignements personnels.

J'espérais trouver des indices, mais le portable est verrouillé, je ne peux pas creuser plus loin... mais d'un autre côté, je suis soulagé que je ne puisse pas le faire.

Je vérifie la trousse à maquillage à côté du miroir rose. Ca, ça devrait être le fond de teint, ça un rouge à lèvre, ça un eye-liner, et là les ciseaux qu'elle utilise pour égaliser ses sourcils, et enfin un objet qui semble tout à fait nouveau ... du mascara, je suppose.

"—"

Oh?

Quelque chose est étrange.

"As-tu trouvé quelque chose, Kazuki ?"

"......Je ne sais pas encore..."

Je fouille à travers le contenu de trousse une fois encore. Je ne pense pas qu'il y a un indice à l'intérieur.

"Maria, est-ce que tu remarques quelque chose d'étrange à propos de cette trousse ?"

"Non ? J'ai déjà cherché à l'intérieur avant, mais je n'avais rien trouvé de spécial—"

Son visage se fige en plein milieu de sa phrase.

"—attends, ça ne se peut pas. Elle ne devrait pas avoir cet objet. Impossible que en 27 755 boucles j'ai raté ça. Mais... apparemment—"

"Hein ? Tu as trouvé quelque chose ?"

"...Kazuki. Après avoir vu ça, tu aurais tu sentir quelque chose."

"...Hein ? ...Mhh, bah, je pensais qu'elle n'était pas du genre à se maquiller."

"Bon Sang !"

Maria se crispe amèrement son visage.

I continue de chercher à l'intérieur de la pochette pour plus d'indice. A l'intérieur je sens quelque chose de familier et le sort.

"Ah—"

Ca se déclenche...

Quand je vois les emballages familiers, mes souvenirs refont surface.

« Est-ce que tu aurais accepté ma confession si j'avais choisi une approche différente ? »

« Aah, d'accord. Alors j'ai juste besoin de continuer à me confesser jusqu'à ce que je réussisse, n'est-ce pas ? »

Pas possible.

Pas possible.

Pas possible.

Je ne peux pas croire à une telle absurdité.

C'est juste une coincidence. Cela doit être juste une coïncidence, mais les souvenirs qui refont surface dans mon esprit sont bien trop ridicules pour n'être que le produit de mon imagination—

"—Maria, qu'est ce que t'adore grignoter ?"

"...Pourquoi est-ce que tu parles de ça ?" Maria me regarde et fronce les sourcils "...Hé, qu'est ce qui se passe Kazuki ? Tu n'as pas l'air de se sentir bien !"

"...Tu sais, mon snack préféré, c'est l'Umaibō."

Je montre l'objet que j'ai enlevé de la trousse.

C'est un emballage d'Umaibō.

« J'aime particulièrement la saveur Corn Potage. Mais je suis le seul à le savoir parce que ça n’intéresse personne. Je mange souvent des Umaibō dans la salle de classe, mais pour ce qui est de la saveur, j'en mange de tous les goûts tout le temps. Personne ne devrait savoir que j'aime Umaibō aromatisé au Corn Potage le plus ! »

« Mais tu n'aimes pas le goût Teriyaki Burger tant que ça ? »

« Quel goût aimes-tu le plus ? »

Je prie m'être trompé et jette un œil à l'emballage encore une fois.

Peu important combien de fois je le regarde, rien ne change.

Ce n'est pas assaisonné au Teriyaki Burger. C'est un Umaibō au Corn Potage.

Les souvenirs qui sont revenus me crient dessus.

The memories that have resurfaced are screaming at me.

Even if it's just coincidence that she has a Corn Potage flavored Umaibō in her bag—the images from my just-retrieved memories are undeniable.

She is—the owner.

"Kazuki."

Maria firmly grips my shoulders. Her nails bite into my flesh and bring me back to reality.

"She is definitely the owner. We've finally arrived at our goal... well, not quite."

After Maria spits out these words with great bitterness, I ask, "What do you mean?"

"Someone who makes such a stupid mistake could never have deceived me for 27,755 'School Transfers'."

"But Maria, you have to admit that you didn't know who the owner was, right?"

"That's not true. I probably discovered her identity several times already, but I couldn't retain the knowledge that she's the owner."

"Eh? Why not?"

"I can't say for sure, but I'm guessing that's another function of the Rejecting Classroom. It would make sense. The Rejecting Classroom works as long the owner herself believes that she's inside an unchanging loop. But if someone knew that she's the owner, this prerequisite would crumble away. Hence, as soon someone discovers that she's the owner, that memory gets erased."

"...But we know who the owner is this time."

"Certainly. But that's no cause to rejoice," Maria says in a vexed tone. "If we don't do something about it this time, we're going to lose this clue yet again."

I see. Unless we defeat the owner during this round, we will forget everything we found out during this iteration and begin our search for the culprit from scratch once more.

Maria is clearly annoyed and chews on her lips. Having only one chance to accomplish something might be very irritating, since she's gotten so used to being able to redo everything.

"...But Maria, life's a contest decided by a single round, isn't it? No matter how small the matter is, there's no reset button to return to the last save point."

I'm pretty fond of that line myself, but Maria stares at me with cold eyes.

"What's this misdirected encouragement supposed to achieve?"

She even sighs.

"S-Sorry... you just looked a little irritated."

Upon hearing my apology, Maria relaxes a tiny bit.

"Yeah, I sure am. But not because our situation is unfavorable."

"...but rather?"

"Don't you get it? Although I repeatedly discovered that she's the owner, the Rejecting Classroom has not ended yet. Don't you get what that means?"

I tilt my head.

I don't know if it's directed against me, the culprit or herself, but Maria then spits out some words with great irritation:

"I've lost to the owner many times already."



"Kokone."

"Oh, the master of love, Kazuki Hoshino, has finally arrived!"

As always, Kokone is jokingly teasing me.

It's lunch break at the moment. Maria and I ended up skipping all of our morning classes together, so everyone started teasing us. But thanks to Maria's complete silence, our classmates gave up on teasing us very quickly. Their curious glances are still focused on us though. Well, that's only to be expected.

"Listen, Kokone. To tell you the truth—"

I stop myself. Because Kokone's face has shifted from soft to serious, and she's tugging me by my sleeves.

After taking a peek at Maria, Kokone leads me out of the classroom.

"Kazu-kun, please don't evade my question and give me an honest answer instead."

Right beside the door, Kokone lets go of my sleeve and continues speaking.

"What's the nature of your relationship with Otonashi-san?"

"...Why do you ask?"

I say, despite already knowing the answer. Kokone drops her gaze, and fails to reply.

"I can't describe my relationship with Maria very easily."

Kokone remains quiet, still staring at the ground.

"But I love someone other than Otonashi-san."

Kokone widens her eyes when she hears my words and looks at me.

"So—"

But Kokone doesn't say anything else. She does shift her gaze—which I pick up on right away.

She peers into the classroom and searches for someone.

Her eyes stop moving.

And they are focused on—Kasumi Mogi.

As of March 1st I haven't fallen in love with Mogi-san yet. And during this iteration, the 27,755th, I haven't come in contact with her in any way.

"Kokone, to tell you the truth, there's something I'd like you to do. That is—"

"Yeah. You don't have to say it. I think our conversation up till now has clarified everything for me," Kokone says with a smile. "The cooking room after school—does that work for you? I'll tell you everything then and there!"

Why the cooking room, I wonder for a moment—but right, Kokone is a member of the home economics club.

"We'll probably be the only ones there today."

When I nod, she looks at me again. I can't guess at the thoughts hidden behind her face.

"Kazuki."

Maria, who has been watching us from beyond the door, calls out to me. That's probably the sign for me to back off.

I tell Kokone "later," and am about to turn around.

"Ah, wait a sec!"

Kokone stops me. I stop moving and look at her again.

"Um, can I ask? Ah, but you don't have to answer of course..."

"What is it?"

"Who is the person you love, Kazu-kun?"

I answer on the spot.

"Mogi-san!"

The instant she hears that, Kokone looks down and hides her face. But I noticed her expression already.

Kokone was smiling.



School has ended.

We hear someone screaming inside the cooking room. As we enter, we immediately realize that everything has gone awry.

We missed this exceptional chance.

As planned, Kokone Kirino and Kasumi Mogi are in the cooking room. No, more precisely—Kasumi Mogi and what was once Kokone Kirino are present.

The cooking room is stained in blood.

The culprit is holding a blood-stained kitchen knife.

"Kazu-kun."

Even though she has noticed me, her expression stays exactly the same.

"...W-why—"

I don't get it. Why did she do something like that?

Covered in blood, Mogi-san looks at me. She's as expressionless as always. But I notice a light that flickers in her eyes and condemns me.

Aah, yeah. Right. I'm definitely also to blame for this situation.

"Die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die, die"

Mogi-san restlessly murmurs something resembling a curse.

I don't want to hear that. I just want to cover my ears. But I can't even do that. I lost control over my body as soon as I saw Mogi-san's blood-stained body. Her words invade my ears. I desperately try to avoid grasping the meaning of those words. But it's futile—the words overwhelm me like an avalanche, they descend upon me and cover my paralyzed body.

Mogi-san is speaking.

She is speaking the words that condemn me.

"Die!"


  1. C'est bien connu, au Japon, c'est une preuve de familiarité que d'appeler quelqu'un par son prénom, et encore plus sans honorifique. On s'addresse plutôt via le nom de famille. Bien que dans les lights novels/mangas et autres, les auteurs ont tendance à exagérer la gêne de ces situations. Je suppose que mon visage est encore plus rouge maintenant.
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