Kagerou Days : Tome 1 Chapitre 2

From Baka-Tsuki
Jump to navigation Jump to search

Kisaragi Attention[edit]


« Wow, bonjour, Momo ! Tu es encore très belle aujourd'hui !»

« Oui ... ahaha... »

Me courbant un peu, je passai vite devant. Et avec celle ci, c'est donc la trente sept fois.

Si j'avais utilisé le chemin que prenaient la plupart des étudiants pour aller à l’école, j'aurai certainement gagné du temps mais déviant de cette route, je traversai le quartier commerçant désert, ou en général il n'y avait pas beaucoup de personnes la matin; mais le quartier commençait doucement à s'animer.

Des magasins vers la direction dans laquelle je me dirigeai, des gens apparurent soudainement les uns après ; commençant des conversations avec moi, tous en même temps.

« Oh, Momo ! Tu vas à l'école ? Ça doit être dur, de devoir y aller même si on est en vacances d'été ! »

« U-umm... oui, c'est vrai... haaha... »

La trente huitième fois.

Après avoir maladroitement salué le marchand de légumes qui surgi soudainement de nulle part, je regardai devant moi et je vis que les rues commençaient à se remplir de monde.

« ...Tch !»

J'ai hésité pendant un moment, mais ce n’était pas le moment d’être perdu. Après m'être baissé à cause du volet du marchand de légumes, et m'être tourné à droite à la pharmacie, je m'enfuis vers une petite allée.

Courant presque, je vérifiai ma montre.

Avec ça, je suis assez chanceux pour aujourd'hui.

Si aujourd'hui avait été une mauvaise journée, je serai à ce moment précis entrain de retourner chez moi.

C'est possible que je puisse peut être rentré par les portes de l’école bien avant leur fermeture aujourd'hui.

Mon rythme s’accéléra spontanément, et lorsque je suis arrivé à la fin de la jonction en forme de T, j'ai tourné à droite. A ce moment — Je réalisai la naïveté de mes pensées.

A l’arrêt de bus situé en fac de moi, peut être était ce parce que le us avait été retardé, il y avait assez de personne pour remplir deux bus, debout et alignée. Un homme qui se trouvait derrière me remarqua, et au moment ou il éleva la voix, les "yeux" de chaque personne regardèrent simultanément vers ma direction.

... Mauvais. Ça sentait mauvais pour moi.

Grimaçant au même moment qu'eux m'acclamaient, je vis par hasard l'horloge accroché vers le haut de l'arrêt de bus; et je palis en lisant l'heure. Ma montre n'avait peut être plus de batterie, mais j'ai eu l'impression que le temps ne s'était pas écoulé.

Un « huu..» s'échappa de ma bouche, mais il fut noyé par le chant bruyant des cigales.


« Gaaah... ! Comme je le pensais ... »

Les portes de l’école avaient été fermé, les portes étaient si serrés que pas une âme ne pourrait passer à travers.

Et de toute façon si il y avait assez de place pour permettre à une personne de passer alors la porte ne servirait à rien, et dans ce sens, je suppose que l'on peut dire qu'elle faisait son travaillait admirablement.

Le 14 Août à 9 h 10 min

J'ai essayé d'arriver à l'heure, mais je suis arrivé bien trop tard pour ne serait-ce qu'assister à la fin de la première heure, de 8h à 9h.

Même si j'ai réussi a évite les attaques des personnes à l’arrêt de bus, à cet instant il était déjà clair pour moi que j'arriverai en retard.

Dans la rue, la chanson que j'ai chantée, nommé " Tout le monde aime la Jeunesse"; bon, le titre n'est pas très accrocheur, mais les musique parlant d'amour étaient très présentes en ce temps de l'année, et puis le poster de mon nouvel album était accroché.

De plus, sur un écran géant était diffuse un clip ou l'on me voit danser, en portant une robe parsemé de froufrou, et juste à droite se trouvait un magasin de disques qui venait de sortir le CD juste aujourd'hui, et une longue queue ou attendaient les personnes voulant L’édition limité du produit (qui inclut un poster).

La voiture de ma Manager, qui est stationnée à l'extérieur de l'école, avait la clim' ce qui en ce temps d’été me donnait l'impression d’être au paradis. Dans le siège conducteur à coté de moi, un femme avec des cheveux courts et un air fatigué semblait venir tout juste du travail, même si il n’était que neuf heure, était penché contre le guidon, soupirant.

« D-Désolé... m-mais, tu sais ! Aujourd'hui, il s'est passé que, um... le bus fut retardé, donc les étudiants ... »

J'essayai de passer rapidement sur le sujet en faisant des signe avec mes mains, mais je fus restreinte par un soupir profond; « Haaa ...»

« Ce n'est pas comme si je ne comprenais pas ce que tu ressens... Je sais que tu n'aimes pas te démarquer en allant à l’école avec une voiture.» « ... Umm, Oui.»

« Je voulais respecter tes sentiments aussi longtemps que possible, mais comme je le pensais, c'est déjà... Je pensais que j'allais avoir tôt ou tard cette conversation avec toi...»

Puisqu'elle avait commencé à parler d'une manière apologétique (pour s'excuser), je commençais à penser que je devais m'excuser.

Après que quelque seconde de silence soit passé, je regardai ma montre, et réaliser qu'il était bientôt l'heure de la pause.

« ... Ah, je dois y aller ! Umm, je te contacterai plus tard ! Désolé ! »

Je devais aller en cours maintenant sinon je raterai encore un autre cours.

Après m’être levé du siège passager, je me tournai et je me suis légèrement incliné en direction de la voiture, et Je la vis me faire au revoir de la main arborant un sourire qui semblait dire « Ah la la... »

Lorsque les feux de détresse de la voiture furent éteints et qu'elle démarra, je m'inclinai vers elle encore une fois.

Je me dirigeai vers l'entrée des professeurs qui était à coté de la porte imposante qui clôturait la cours de l’école et le bâtiment principal.

Du au changement de température entre mon passage de la voiture givrée à cette chaleur intense, je sentais de la sueur s’amasser sur mon front. La chose est que, peu importe que mon uniforme était coller à mon dos à cause de l’évènement de l’arrêt de bus, j'ai vraiment beaucoup sué en courant dans cette chaleur. Quelle pagaille. Je veux juste rentrer chez moi et prendre une douche.

Et juste au moment où j'ai passé la porte de l’école, la sonnerie retentit.

Uh Oh. Une fois que la pause de dix minutes se terminera, le prochain cours commencera. Trottinant, j'atteignais l'entrée des professeurs, et appuyai sur le petit bouton de l'interphone. Quelque seconde plus tard, le haut parleur émettait un bruit de sonnerie. La musique qui en sortait était caractéristique de chaque école, et le fait qu'elle sorte d'un si petit haut parleur, me donnai l’impression d’être dans une autre dimension. En ne faisant que penser au fait que j'allai rentrer dans quelque minutes me décourageai presque.

« Comment puis-je vous aider ?»

« Ah, oui, je suis Kisaragi, première année... Je suis arrivée en retard pour mes cours supplémentaires, donc je me demandais si vous pouviez, s'il vous plait, m'accorder l'autorisation de rentrer... »

Cela ne fait que quatre mois depuis mon arrivée à cette école, mais la personne avec laquelle j'ai le plus doit bien être elle. Le fait que les conversations à travers l'interphone comptaient pour 90% de mes conversations au lycée, me rendait un peu triste.

« Ah Kisaragi. Bon bah, je vais t'ouvrir la porte, tu n'a plus qu'à aller à la salle des professeurs.»

Le fait que je n'ai plus besoin de demander une excuse, faisait que mon Salut ne pouvait se faire que si je m’énervais ou doutais de moi

« Je suis désole... Merci ... »

Avec un son de cliquetis, la porte s'ouvrit, et je l'ai poussé pour entrer à l'intérieur du bâtiment. La porte se ferma naturellement derrière moi, et un cliquetis derrière moi m'indiqua qu'elle se verrouilla.

Back to Kagerou 2 Return to Sommaire Forward to Kagerou 3