No Game No Life : Tome 2 Prologue

Prologue - Opening

Partie 1

Quand vous tombez sur une porte fermée dans un RPG.

Avez-vous déjà pensé à ça ?

"Si seulement je pouvais faire exploser cette porte par magie", ou une idée du même genre.

Et pourtant, vous ne pouvez pas. Pourquoi ?

À cause des "règles"

-Les jeux sont différents de la vraie vie

Bien sûr il y a ceux qui disent qu’ils ne peuvent pas faire la différence

Mais, est-ce qu’ils se sont demandés 'pourquoi ils sont différents'

Probablement qu’ils pensent 'ceci est réel, cela ne l’est pas'

Dans ce cas, j’aimerais vous demander si le sport fait partie de la réalité, ou pas ? Mais ce ne sera pas nécessaire.

En effet, la raison qui différencie le jeu de la réalité est quelque chose de bien plus fondamental que ça ! C’est "les règles sont absolues"

Revenons à notre exemple de la porte. Si vous choisissiez d’ignorer les règles et que vous preniez l’option du choix réaliste. Vous pourriez exploser toute les portes sur votre chemin sans aucune hésitation.

Mais, si le monde touchait à sa fin et que, quelque part, il y a une porte qui a besoin d’une clé pour être ouverte pour le sauver. Prendriez-vous le temps de chercher la clé ?

Si c’est acceptable de prendre tout ce qu’il y a derrière cette porte sous prétexte que vous avez la clé, alors il n’y a aucune raison qui vous empêche de faire la même chose sans la clé, bien que vous puissiez être poursuivie pour destruction de biens privés !

Et quand bien même vous rencontreriez une porte si résistante que même une magie capable de réduire en poussière le roi démon ne serait même pas suffisante. Pourquoi ne pas détruire le mur.

Vous pourriez même penser différemment et utiliser cette même porte indestructible en tant que bouclier. Vous pourriez d’emblée allez affronter le roi démon.

Idem avec l’épée légendaire dans le rocher , pourquoi ne pas simplement détruire la roche ?

Pourtant, personne ne fait jamais ça ! Pourquoi ?

Tout simplement, car *ce serait pas intéressant*.

Oui, bien sûr ! Les règles sont créées afin que la quête et, point culminant, l’objectif final soit plus intéressant.

Aux échec, ce serait mettre le roi adverse échec et mat. Au football, ce serait mettre plus de buts, et, dans un RPG, ce serait de pourfendre le dernier boss.

Avec ces évidences clarifiées, si on passe outre les règles qui mènent à 'l’objectif final', alors on perd tout le charme.

En conséquence, les règles des jeux sont "une référence absolue commune à tous"

Je suis sûr que vous voyez maintenant

La réalité n’a pas de 'condition de victoire', pas de fin

La victoire n’est pas garantie en accomplissant certaines conditions, ni de paix créée en battant certains ennemis

Le prince et la princesse ne vécurent pas heureux pour toujours.

Peu importe bénie ou malchanceux, riche ou pauvre, tous rencontrent la même 'impasse funèbre' sans exception

Ainsi, les gens ont toujours créé leurs propres 'conditions de victoire', et ont créé leurs propres règles adaptées à cet objectif.

'Je gagne si j’ai plus d’argent, je gagne si je m’amuse'. Mais penser à une condition de victoire est, en soi, la même chose que perdre.

Maintenant, imaginons :

Vous jouez aux échec et, soudainement, votre adversaire se met, à son bon plaisir, à faire des déplacements ridicules.

Sans jamais mettre votre roi en échec, sans modestie, avec un grand sourire, il affirme qu’il a gagné.

... Du coup, ne voudriez-vous pas devenir violent ? Ne serait-il pas plaisant de le frapper ?

Et s’il y avait un jeu où tout le monde jouait comme ça ?

Ho oui ! ça s’appelle 'la réalité'

-Est-ce que les jeux et la réalité sont si différents ?

<<C’est le cas, sans l’ombre d’un doute>>

Et je dirais, aux gens qui pensent fièrement ça :

Surtout, ne les mélangeaient pas, ughh—— *tire la langue*

Part 2

Huit moniteurs de vingt-trois pouces a l'écran large. C'était tout leur monde

Une petite planète, treize mille kilomètres de diamètre a son équateur. Un monde avec ça surface couverte d'un réseaux de fibres optiques... Terre. Sur cette planète, le concept de distance à été oublié. Se connecter a Internet permettait de transmettre des pensées aussi rapidement pour faire le tour du monde sept fois par seconde. Il était possible de se connecter avec une personne à l'autre bout de la planète comme s'ils était du même coté.

--Des personnes disent que le mondes s’élargissait infiniment. --Mais ils pensaient que le monde avait rétrécit nous étouffant.

Tout ce qui était nécessaire a la vie peut être découvert en un seul clic. les boîtes abandonnées ont volé la pièce proche de sa largeur originale. Dans cet espace clos où la lumière artificielle de leurs étalages les aimait--non, de l'autre côté de ces moniteurs, l'espace net construit en hexadécimal--c'était leur monde entier. Entravant la pièce même ou se trouvait d’avantages de PC et de consoles. Les câbles connectée entre eux et de nombreux contrôleurs, ces choses-là ont volé leurs quartiers de faite a ce qu'il 'y ai jamais autant d'espace pour marcher. Illuminé dans ce cadre, deux visages dépourvus d'expression. Ceux-ci appartenaient au frère et à la sœur qui menaient actuellement une bataille féroce contre des joueurs inconnus de l'autre côté du globe. Le frère était un jeune homme avec des cheveux noir et des yeux noirs. La sœur était une fille avec des cheveux blanc et des yeux rouges. Le contenue de l'écran était chaotique, tandis que le contenu de la pièce l'était encore. Les écouteurs du frère et de la sœur monopolisaient même le son de leurs vrai monde. Tout ce qui pouvait être entendu dans la pièce était inorganique, des bruits de métal et les clics de la paire.

--Ils pensaient que le monde avait rétrécit. Les Réseaux de données électroniques permettaient de voir l'autre côté de la planète sans bouger. Mais ce qui a conduit à un tsunami de données qui a dépassé de loin les limites de la cognition individuelle. L'explosion de données n'a pas crée de connections infini, mais l'opposé. Le surplus d'information est u poison quoi enferme les personnes dans leurs petit monde ou tout est basé sur se qu'il veulent entendre. De nombreuses petite communauté fermées. Isolées, toujours plus petites, avec des idéologie individuelles. Et un autre endroit, un autre domaine distinct dans le onde plus loin qu'un moniteur... Parfois ils se concentrent si fort qu'ils tombent dans l'illusion qu'ils sont actuellement dans un autre monde. Qu'ils n'étaient pas la lie de la société, des héros liés, se levant pour sauver des pays. Parfois, ils étaient des mages, parfois ils étaient des commandos d'élite, parfois des assassins. Le dénominateur commun était que le monde tournait toujours autour d'eux. Des codes de victoire clairs ont été établis.

Le jeune homme laissa échapper un soupir. vingt-trois pouces d'écran large d'un moniteur. Depuis combien de temps sont-ils devenus son monde entier ?

les deux règnes invaincus dans toutes sortes de jeux. Dans le petit monde au-delà du moniteur, ils étaient pratiquement une légende urbaine. Dans la petite sphère de jeu qu'ils ont revendiquée, ils étaient vraiment des héros, tout comme dans les jeux eux-mêmes. Mais chaque fois qu'ils détournaient le regard, la scène était toujours la même. Artificiel, calme, à l'étroit. Le petit monde isolé ... de la lie de la société. Dans ces moments, le jeune homme se retrouve accablé par un sentiment de dysphorie, la sensation de jamais vu: est-ce vraiment ma chambre? Prenant la pensée plus loin, il se demandait paresseusement sans fondement dans la réalité - Est-ce vraiment le monde dans lequel je devais vivre?

"Oui, tu as raison."

Une voix répondu a son monologue éternel. Sora interrogeait le même monde ou lui et sa sœur regardaient de nombreuses fois, mais soudainement debout a l’intérieur-- un garçon pas familier, souriant innocemment. --Attend. Sora c'était vu avant ? Il chercha dans sa mémoire, mais avant qu'il puisse parler, le garçon avait disparu.

"Ce n'est pas là que vous étiez censé vivre. Alors..." Et--

"C'est pourquoi je vous ai donner une nouvelle vie."

Passé et présent, fiction et réalité. Tout les souvenirs de Sora étaient brouillés. Sa conscience de plus en plus brumeuse a commencé à dépouiller la réalité du monde. C'est alors qu'il réalisa soudainement - l'habitude.

"......Oh, je voit. C'était un rêve."

Alors, comme tous les rêves...il se fini. Impossible d'identifier précisément quand, sa conscience reviendra...

Part 3

Le Royaume d'Elkia : La Capitale Elkia. Dans cette ville, la dernière ville de l'Immanity après avoir perdu son territoire dans une offre ratée pour la domination après l'autre. Dans un couloir du Château Royale, une fille marchait mal à l'aise, Stephanie Dola. Une fille rousse, au yeux bleu et une fille noble sans le vouloir le meilleur élevage, la petite fille du roi précédant.

-Cependant, la fatigue profonde qu'indiquaient les cernes sous ses yeux et ses lourdes démarches privaient la jeune femme de son raffinement naturel. Serrant les cartes à jouer avec un sourire effrayant, se frayant un chemin vers la chambre à coucher du roi, elle donna l'impression au lieu de ... un fantôme.

"Heh, heh-heh-heh... c'est le jour où vous obtenez ce qui vous arrive."

Alors que le nouveau soleil venait récolter sa conscience après la nuit, Stephanie - alias Steph - ricana nerveusement

"Sora, tu est réveiller, pas vrai?! C'est le matin !"

Bam, bam. Ces mains préoccupés avec des cartes, Steph frappa la porte, adressent rudement le roi avec son prénom. Mais...

"Beeep. La partie que tu as composé prétend n'est pas disponible"

"--Huh?"

La voix qui demanda cela depuis l’intérieur de la salle n'était pas celle du roi. Plutôt, c'était une impression chancelante, monotone d'une femme.

"S'il te plait éloigne-toi immédiatement de la porte et assure-toi de ne pas entrer."

"--Sora, c'est une sorte de blague ?"

"Non, je suis sérieux mec."

"Pour l'amour de dieux ! Je rentre, ok ?!"

Il jouait probablement à un jeu de toute façon--attend, en faite, il le faisait définitivement. Submergée pas l'iritation de la fatigue, comme si elle avait donnée un coup de pied a la porte--non, actuellement en train de donner un coup de pied dans celle-ci-- Steph entra dans la chambre royale pour y trouver...

"Désolé Je suis si désolé Je ne blaguait vraiment pas Honnêtement, je ne peut pas maintenant Je n'ai rien dit vraiment Je suis serieux s'il te plait Je suis désolé Je suis désolé..."

--Le roi, se balançant sur le lit, secouant la tête, demande pardon proprement. Il tremblait a vu d’œil piteusement. Cependant, Steph, ayant vu une chose similaire auparavant, regarda la pièce et parla. La chambre était en bazar avec tellement de livre qu'il n'y avait pas de place pour s'asseoir. Des livre ainsi que de nombreux jeux. Mais ce qui fit se poser des questions a Steph était l'absence d'une chose qui devait être là mais qui ne l'était pas.

"...Hm? Sora, tu est seul ?"

"Oui Je suis seul Si seul que je n'ai plus aucunes raison de vivre probablement jamais être née dans la première place Je suis désolé après que tu sois partit Je vais juste être un bon garçon et me contrôler donc s'il te plait--"

"...Grand-frère...? Tu fait une crise..."

Le roi blablatait presque sans voix, une voix frêle. La reconnaissant immédiatement, Steph fit un signe et murmura : "Donc Shiro est la. Qu'es que tu fait ?" "--Huh?"

A cette révélation, Sora tourna sa tête dans la direction de Shiro. Elle avait dû tomber en dormant. Une fille si blanche que la neige, croupissant au bout du lit. Sora bougea pour embrasser sa sœur.

"Ahhhhhhh, je suis si heureux! Oh mon Dieu ma soeur !"

Le frère se collait à sa sœur, Shiro. La sœur le considère comme un gros dormeur... Ce qui n'est probablement pas exclusif.

"...Grand-frère..., c'est probablement trop..."

"Quoi ? Est-ce que tu dit que tu ne comprend pas les sentiments de ton frère?!"

"Alors, ce soir! Pendant que tu dormira, je te mettrait dans le placard ! Et quand tu te réveillera, ce ne sera pas--"

".........!...Hk...Ngh..."

Avant qu'il fini de parler, Shiro avait déjà des larmes au yeux, l'imaginant peut-être.

"Tu voit ?! Maintenant tu voit se que je ressent?'

"...Je suis déso-lé... Je suis... Déso-lé, pour ne pas mieux dormir..."

Pendant que Shiro s'excusait, Sora hocha la tête.

"Non, je m'excuse. Je suis allez trop loin. Je suis un mauvais frère pour te faire imaginer une telle catastrophe."

"...Hk...Yeah..."

A ce point, l'homme--qui un moment avant était en train de secouer la vie et suppliait piur se faire pardonner-- se tourna fort, fier, devant Steph avec une proclamation.

"Donc ça doit être la faute du lit ! Steph, débarrasse-toi de ce lit et dépose un futon !"

"H-hngg?!"

Steph, qui regardais les frère et sœur comme si elle avait déjà vu ça, élevant la voix dans la panique avec un dilemme devant elle.

"C'-c'est-c'est le lit de la chambre royale ! Sais-tu combien d'histoire il--?"

"Peu importe, dormant ou non, si Shiro quitte mes côtés, ce sera la faute du lit. Peut-être est-il incliné ?"

Shiro hocha en signe d'agrément. Steph pensa-- C'est si ridicule.

"Je te fait savoir que ce lit est assez pour abriter une famille complète !"

"Alors vend le et abrite une famille. C'est un bon truc. Il y aura une famille heureuse."

"T-t-tu..."

Steph, tremblante ne savant pas quoi dire au règne tyrannique de Sora, quelque-chose occupait le roi.

"Ah, oui. Les choses qui sont dans cette chambre ont appartenu à l’ancien roi-- ton grand-père."

Il semblait que la réaction de Steph avait déclenché quelque chose au sein de Sora. Claquant des mains, il dit inspiré.

"Donc c'est ce qu'on va faire : Steph, à partir d'aujourd'hui, c'est notre chambre."

"Quoi--!... Mais--c'est la chambre du roi!"

"Et je suis roi. De toutes les chambres, même si c'est une niche, elle deviendra la chambre royale."

Maintenant une tête fière, le roi jeta un sophisme comme si il respirait.

"Donc obtient moi une chambre dans le château, ou une chambre de servante. Pour le lit, tu devrait juste mettre un matelas sur le sol."

Un moment, Steph n'était pas capable de le suivre quand Sora dit qu'un futon serait bon, même mieux. Après quelques secondes, elle réagi.

"Un-une chambre de servante...? On parle du terrain du château ! C'est du bois tu sais ?!"

"Mm ? Maintenant je ne peut pas l'ignorer. Est-ce-que tu dissers le bois ?"

Sora raclât de la gorge avec un ahem et commença.

"C'est supérieur en ventilation, absorbance, résistance aux séismes, au vent, et tout. Vraiment, un château si loin de tomber est concerné. Aussi longtemps que tu regarde pour les feux, il n'y à pas d'architectures similaires aux Japonais--"

Dans le milieu de son diatribe, Sora semblait penser à quelque chose. Cherchant sa tablette, qui était sur le chargeur solaire à la fenêtre...

"Oh, je le savais. J'ai un livre sur l'architecture Japonaise."

"...Quoi?"

"Bien, construisons une maison sur le sol du château!"

"Huh...?"

Laissant Steph derrière ne réussissant pas à le suivre, Sora s'en alla.

"Tu en penses quoi, Shiro ? Notre rêve, pas vrai ? Tu ne penses pas que c'est un bonne idée ?"

"...Où... veut-tu la construire ?"

"Heh-heh, je sais exactement ce qui te concerne, ma chère soeur !!"

Il accentua ses paroles avec de l'anglais. Comme si il disait, "Tu pense que ton frère n'y aurait pas pensé ?"... Il pointa, bam--la cour du château.

"Ici, c'est plus près des quartiers où les servantes restent, donc nous n'aurons aucun problème pour se faire approvisionner. C'est aussi près des cuisines, donc nous pouvons nous enfermer comme toujours ! Il y a aussi une brise, et les personnes passent par là ! De plus, grâce aux murs du château, il n'y aura pratiquement aucun rayons de soleil le matin. Peut-tu imaginer une meilleure place qu’ici ?!"

Shiro leva la main au vanteries de Sora.

"... Pas d'objections..."

"Bien ! Donc, Steph."

"Uh, um, ou-oui ?"

steph se tenait bouche bée, impressionné par ces développements.

"Obtient-nous des experts sur l'architecture du bois. Ouais, c'est probablement un style inconnu dans ce monde, donc je suppose que nous allons avoir besoins des meilleurs artisans et une vingtaine d'employés ? Je suppose que si ont explique comment avoir le bois, ils devraient faire attention à ces détails."

--Par une longue introduction, les frère et sœur sont Sora et Shiro--les roi et reine d'Elkia, la dernière nation de la race humaine, appelée "Immanity". Qui avait passé des jours sans quitter leurs chambre. Qui avait lu et jouer à des jeux vidéos toute la journée ainsi que la nuit faisant des demandes déraisonnables. --C'est cela qu'ont appelles tyrannie.

"~~Sora ! Soit près pour un jeu !!"

Steph apparue à court de patience avec les tyrans. Elle mélangea les cartes dans ses mains. Pour aujourd'hui-- Elle voudra leurs faire pleuvoir une punition divine sur eux.

--Mais "--...Oh ?"

À la simple impression du mot "jeu", les yeux de Sora se rétrécirent, toutes les émotions extinctes. Pensant que Steph avait vu ces transformations plusieurs fois avant, mais ça la faisait frissonner. L'homme piteux qui avait frissonner venait soudainement de se métamorphoser en un grand frère bête et idiot. Alors avec le changement, le contenu de son cœur était exposé quoi qu'elle fasse, elle était dans la paume de sa main-- son calme mécanique donnait cette illusion. Avec cette audace militaire, sa tête devint celle du maître du jeu.

--Considèrant sa réponse plus critique, Steph tomba dans un flash de chaleur dans son visage et un saut dans son cœur pendant qu'il regardait dans ses yeux. L'héritage du jeu auquel elle avait joué avec lui avant... La preuve que l'onglet de sa défaite cuisante n’a pas été oubliée... Cela semblait émoustiller la réponse avec laquelle Steph était arrivée. Comme ses oreilles devenaient rouges et ses yeux se détournaient, Sora demanda :

"Tu es en train de me défier à un jeu sous Aschente?"

"Uh, pourquoi, oui... C'est exactement ce que ça veut dire."

"Le 5eme commandement... La personne défiée... À le droit de déterminer... Le jeu."

Shiro marmonna le commandement qu'elle avait mémorisée. --C'est un commandement absolument obligatoire que le Dieu a mit sur ce monde. Une loi immuable qui ne peut pas être remise en cause pour des raisons.

"Hmmm... Et maintenant... Tu me-- challenge ? Sur le jeu de mon choix ?"

-Le jeu avait déjà commencé. Steph avait préparée son contre sur le manœuvrent de la psychologie de Sora.

"Oh, cher moi... Pourriez-vous suggérer que vous, les plus grands joueurs parmi les humains, ne me divertissez pas avec un jeu en dehors de votre spécialité?" Malgré que Steph avait désespérément prévue de dire cette ligne de prpratiqueà la dire. Sa voix craqua un peu, et elle semblait en train de lire un script. Sora rit et lui sourit béatement.

"Je vois. Donc tu as déjà un petit argument prêt sous la main-- quel est ton pari ?"

Quand on joue à un jeu sous les 10 commandements, quoi parier est aussi une partie des négociations.

"Heh-heh-heh... Si je gagne--"

Mais, comme si la question était ce qu'elle attendait, Steph sourit en retour.

"Sora, ===Tu deviendra une personne décente !==="

Whammo---- !...Le doigt de Steph pointent Sora. Et--silence.

"Uh...uh... ?"

"Oh, je vois. "Tu m'as eu cette fois." C'est cette sorte de réaction à laquelle Steph s'attendait. Cependant, Sora cria avec des étoiles dans les yeux :

"C'est--vrai-- si les commandement sont absolues, alors ce genre de choses seraient possibles ?!"

"Hungh ?!"

Alors que Sora balançait cela à Steph avec un enthousiasme imprévisible, le visage de Steph tourna au pourpre.

"J-j-je veux dire, tu m'as commandé de tomber amoureuse de toi... Ce qui veux dire--"

--C'est vrai. À la fin de leur précédent jeu, à travers quelques tours de ruses, Sora commanda à Steph de tomber amoureuse de lui. C'était évident qu'elle avait été forcé de tomber amoureuse de lui contre sa volonté. Cependant...

"J-je vois... Je n'avais pas envisager cela-- !!"

C'est ce que cela signifie d'avoir la chance de son côté. Sora regarda attentivement le ciel mais ravalant, il cria une nouvelle fois.

"A--alors, ne dit pas "une personne décente" met ton pari et comme ça 'j'aurais une vie'!"

"--Avoir une... vie? Qu'est que c'est supposé dire ?"

"C'est une expression. C'est comme être une personne décente... Aller! Parions ça, jouons... Je vais perdre !!"

"Uh, et-et bien..."

Tandis que Steph compris tard, incertaine de parier avec cette réponse maniaque, les freins ont soudainement claqué sur une direction inattendue.

"Sora, tune peux pas... perdre contre quelqu'un d'autre que...moi..."

"Quoi--?! Ma--ma chère sœur, est-tu en train de bloquer la vie de ton grand frère?"

"Blanc ne peux pas... perdre..."

"Ngk--!"

C'est vrai : Sora (Ciel) et Shiro (Blanc). Quand les caractères de leurs noms se combinent, ils forment kuuhaku : "Blank". Et " " ne peut pas perdre. C'était une promesse que les deux c'étaient échangés dans leurs ancien monde--. Dans un monde sans règles, c'était une règle absolue et immunitable qu'ils avaient établit pour eux-mêmes. Mais maintenant Sora regardait en arrière avec désespoir comme tombé du paradis en enfer.

"C'est... Mais! Je veux dire, c'est impossible que je perde contre contre Steph en jouant sérieusement !"

"Quo-?!"

Les frère et sœur ignoraient l'expression crispée de Steph et se chamaillèrent.

"...Je m'en fiche..."

"A--Allez, juste pense ! Une vie, une vraie vie, avec des fleurs et des étincelles et d'autres trucs ! Sh-Shiro, faisons ça ! Tu le règle comme la condition. Il n'y a pas de problème si c'est toi, n'est-ce pas ? Je vais perdre avec tout ce que j'ai ! Aller, peut-être les échecs...?"

"...Mais...Je refuse..."

"Aah, Dieu, merde! Steph!!"

"O-Oui?!"

Sora mit ses mains ensembles en supplications et plaida avec elle depuis son coeur.

"Je vais le demander si sur une chance sur un million-- non, un nombre inexpressif sans être imaginaire de chances, tu pourrais actuellement avoir un jeu auquel tu pourrais me battre ! Je t'en supplie, Steph !! Réponds à mes espoirs, plus petits qu'un quantum!!"

"Heh, heh-heh... heh-heh-heh... heh-heh-heh-heh-heh-heh-heh... Tu l'as demandé, mec !!"

Sa tête tordue par la pluie d'insultes verbales, Steph rigola.

"Le jeu est-- le blackjack!"

......

"--...Hhhhh..."

"...Hff..."

Alors que les frères et soeurs lancèrent leurs propres soupirs accompagnés de leurs propres sens, Steph vacilla, incapable de saisir l'implication des deux.

"Uh, quoi ? Qu'est-ce que c'est que ça ?! J'ai une chance a ce jeu ?!"

Alors que Sora venait juste de soupirer une fois de plus et que Shiro semblait avoir perdue tout intérêt, Steph hurla :

"Je suis le dealer ! Sora est le joueur ! Ça va éviter que Sora triche, et même s'il triche, je peux l'attraper et gagner ! Le talent n'a rien à voir si c'est un jeu de pure chance, pas vrai ?!"

Sora regardant par la fenêtre, une seule larme brillante sur sa joue.

"Le caractère pour "fugace" s'écrit avec 'personne' sur la gauche et 'rêve' sur la droite... Bon, peut importe. Steph, ne perds pas espoir. Je suis sûr que la prochaine fois tu va blah blah blah."

Alors que Sora jouait avec ses ongles et se lançait paresseusement dans son discours de victoire, Steph grinçait des dents devant lui.

"C--comment ose-tu...?! J-Juste attends ! Aschente!

Ce mot était un serment qui engageait une personne a un pari contraignant sous les Dix Commandements-- mais.

"Oui, oui... Aschente."

"Oh,en y pensant, j'ai oubliée de dire ce que j'allais parier..."

"Ouais... Tout est bon, vraiment...Hff..."

"T-Toi--!"

Avec la conviction absolue de Sora d'une victoire imminente la piquant, Steph silencieusement essaya de ne pas être secouée.

--C'est vrai, calme toi. C'est ta chance. À l'intérieur, Steph releva le bout de sa bouche et se vanta. Un jeu de pure chance ? Tellement drôle. Même si elle a été occupé, il en va qu'elle s'est entraînée a faire un tour toute la nuit et était confiante. Le dealer mélange les cartes. Ce qui veut dire qu'elle peut aligner les cartes après les avoir mélanger de manière a avoir l'air légitime, et elle pourrait gagner. Il n'y avait aucun moyens de le prouver. Le huitièmes des Dix Commandements : "Si de la triche est découverte dans un jeu, ce sera compté comme une défaite" -- ce qui veut dire que tant que la triche n'est pas découverte, tu peut tricher ! ("Heh-heh-heh-heh... Tu vas regretter le jour où tu m'as prise de haut !")

--Mais Steph n'avait pas réalisée... Un piège comme cela ne serait jamais assez pour sécuriser sa victoire contre Sora...

Part 4

À l'horizon, des pièces d'échecs se profilaient, assez massives pour atteindre n'importe qui, comme si les montagnes les plus hautes étaient de simples piédestals pour eux. Perché au dessus de la pièce du roi, bougeant ses jambes, un garçon s'assis.

"Hmm... C'est compliqué de se décider par où commencer."

Semblant penser à comment débuter une histoire qu'il écrivait, le garçon sembla finalement penser à quelque chose avant de bouger la plume.

"'--Il était une fois, il existait un monde dans lequel toute violence était strictement interdit, et tout les conflits devaient êtres résolut par le jeu, telle était la règle absolue' Ouais. Je suppose que ça en jette. Plus ou moins ?"

Acquiesçant du haut de la pièce plus haute que les cieux, le garçon regarda loin dans l'horizon et murmura :

"Je me demande si elle va commencer à bouger... La première pièce."

Le nom du garçon était Tet. Il était le créateur suprême de ce lieu-- Disboard, un monde où tout était décidé par le jeu. Avant que l'ancienne Grande Guerre des Dieux ne le mette sur le trône comme Seul et Unique Dieu, il était connu comme le Dieu des Jeux. Et maintenant, ce Seul et Unique Dieu admirait l'horizon, comme s'il projetait ses pensées à un amour lointain.

--Question : est-ce un signe de la chute de l'Immanity ?

Cette voix hautaine résonna soudainement dans l'air.

Ou : est-ce un signe que vous allez émettre un coup ?

Semblant un peu agacé par l'intrusion, Tet sourit tout de même.

"On m'espionne quand je me parle à moi-même ? Je ne peux pas dire que j'apprécie beaucoup ton hobby."

L'être qui espionnait Tet, le Seul et Unique Dieu, était capable de communiquer avec lui, quoique difficilement. Sans aucun doute, c'était l'un des Old Deus, classés premiers parmis les races-- bien que leurs pouvoirs soient limités. Bien sûr pour le Seul et Unique Dieu, son identité était évidente, bien qu'elle ne soit pas particulièrement intéressante.

--Question : distorsion spatio-temporelle observée avant l'arrivée des nouveaux monarques Immanitiens. Déduction que vous êtes intervenus : vrai, ou faux ?

À cette question, Tet répliqua seulement : "Vous êtes vraiment d'un ennui." Comme s'il était sur le point de rencontrer de nouveau son amour, Tet souria impatiemment. "Je ne suis pas du côté de personne. Tu n'as pas besoin de comprendre. Continue juste de jouer à ton jeu sans intérêt." Puis avec un sourire qui inspirait à de grands espoirs au milieu de grand désespoirs :

"Ils arrivent. Au pas de ma porte--et vous ne pouvez pas l'en empêcher." Comme s'il il était (littéralement) incapable de voir la voix dématérialisée devant lui, il tourna son regard vers la dernière ville de l'Immanity-- Elkia. Même si, aux yeux du Seul et Unique Dieu, même un millier d'années devaient sembler lui passer en un clignement d'œil, ses yeux étaient comme celui d'un enfant attendant devant la porte d'entrée, attendant avec impatience de partir au parc d'attraction, incapable de patienter cinq minutes que ses parents de préparent. Confirmant que la présence derrière la voix qui avait résonné dans l'air avait disparue avec un ffp, Tet murmura :

"S'il vous plaît, ne me faites pas patienter trop longtemps, Blanc." Il frappa le bord de la pièce sûr laquelle il s'asseillait avec ses talons. "Je peux difficilement patienter. Si vous me faites patienter trop longtemps-- je vais être obligé de venir vous visiter, n'est-ce pas." Tordant sa bouche en un sourire, il murmura : "Oh, c'est vrai. Ensuite--" Apparemment ayant trouvé comment continuer son histoire, Tet tourna sa plume.

"'Un jour, un duo de joueurs fut invité depuis un autre monde à une contrée de l'Immanity, la race la plus mal classée parmi les Ixseeds. Arrivant aux derniers remparts des Immanity-- à Elkia-- ils la défendirent des autres races et devinrent roi et reine-- et c'est ainsi que tout commença'... Ça me plaît!"

--Les gribouillis qu'il écrit, maintenant une histoire, seraient bientôt un récit épic qui se transmettrait de générations en générations. Écrit par le Dieu lui-même, présageant les dieux à venir. En d'autres termes : le prologue d'un nouveau mythe--.

Références

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